Marseille mon ami
Dès l'entrée à l'école
Avec toi j'ai appris
Que l'on a rien pour rien
Entre les coups de coeurs
Et ceux pris dans la gueule
Vaincu ou bien vainqueur
J'ai trouvé mon chemin
Marseille mes amours
Un peu tendre un peu brute
Tu as pétri mes jour
Et chassé mes complexes
En me jetant tout cru
Dans les bras de tes putes
Qu'ont le coeur et le cul
Comme la porte d'Aix
Allez vaï Marseille
A l'ombre ou au soleil
Bois ton pastis et chante
Ces refrains de Scotto
Qui t'habillaient si bien
Allez vaï Marseille
Va donner des conseils
Aux joueurs de pétanque
Parle fort, parle haut
Et conteste le point
Prends la voix de César
Prends le ton de Panisse
Et que Dieu te bénisse
De mentir avec art
Allez vaï Marseille
Ton ciel est sans pareil
Et ta mer abusive
Qui vient lécher tes rives
S'étirant au soleil
Marseille tu trafiques
Et vis de contrebande
Tu joues avec les flics
T'aimes les armes à feu
Tu te veux Chicago
Mais tu as le coeur tendre
Le plus mauvais mélo
Te met les larmes aux yeux
Marseille lâche-moi
Moi qui connais tes failles
Tu ne me trompes pas
Quand tu joues les malfrats
Ne fais pas le malin
Je sors de tes entrailles
J'ai tété à ton sein
Et j'ai joui dans tes bras
Allez vaï Marseille
A l'ombre ou au soleil
Bois ton pastis et chante
Ces refrains de Scotto
Qui t'habillaient si bien
Allez vaï Marseille
Va donner des conseils
Aux joueurs de pétanque
Parle fort, parle haut
Et conteste le point
Mais à l'heure où l'amour
Tel un vent de Provence
Mi-léger, mi-violent
Vient perturber tes jours
Allez vaï Marseille
Va courtisez Mireille
Elle t'attend brûlante
Et fais-lui des enfants
Qui auront ton accent
Marseille
lunedì 30 novembre 2009
COM'E' TRISTE VENEZIA
Com'è triste Venezia
Charles Aznavour
EMI
Anno:1995
Charles Aznavour
EMI
Anno:1995
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domenica 29 novembre 2009
CHARLES AZNAVOUR AND THE CLAYTON-HAMILTON JAZZ ORCHESTRA
Charles Aznavour and the Clayton-Hamilton Jazz Orchestra
Charles Aznavour
EMI
Anno:2009
Charles Aznavour
EMI
Anno:2009
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BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO L'AMOUR BON DIEU L'AMOUR
L'amour bon Dieu l'amour
Vainqueur ou bien perdant
L'amour je veux dormir
L'amour faut que je rentre
L'amour avec les yeux
L'amour avec le ventre
L'amour à contre coeur
L'amour à contre temps
L'amour bon Dieu l'amour
Présenté par parents
Avec un vieux débris
En attendant qu'il lâche
L'amour en viager
Pour le magot qu'il cache
Où jeunesse et beauté
S'offrent au plus mourant
L'amour
Avec des hauts avec des bas de soie
Avec une ingénue avec une cocotte
L'amour à la cosaque en conservant ses bottes
L'amour de 5 à 7 l'amour à la papa
L'amour bon Dieu l'amour
Qui rend fou qui rend fort
Dans la paille ou le foin
Avec une sultane
Les jupes retroussées comme une paysanne
Et qui du bouche à bouche
Conduit au corps à corps
L'amour bon Dieu l'amour
Ça tourne à l'obsession chacun à sa façon
Le voit et l'interprète
Il encombre les coeurs il fait tourner les têtes
Se glisse dans le lit et les conversations
L'amour bon Dieu l'amour
Qu'on fait à temps perdu
L'amour sain
L'amour jeu l'amour entre deux portes
Celui qui met à plat et celui qui transporte
Avec des accessoires ou avec les mains nues
L'amour en travesti
En faux cul et faux sein
L'amour fleur d'oranger
Qui appelle sa mère
L'amour vient je te prends
Sous la porte cochère
L'amour hurle moins fort
Pense un peu aux voisins
L'amour bon Dieu l'amour
On y revient toujours
Tout comme l'assassin
Sur le lieu de son crime
Déchiré mais heureux d'être encore sa victime
Car on atteint jamais le sommet sans amour
L'amour bon Dieu l'amour
C'est aussi le bonheur
C'est l'attente mêlée de joie et de souffrance
C'est la porte qui s'ouvre
Et lettres qui s'élancent
C'est l'espoir qui fleurit
Là où le doute meurt
L'amour bon Dieu l'amour
C'est l'âme en mille éclats
C'est les yeux qui se cherchent
Et des mains qui se pressent
C'est un mot murmuré
Infini de tendresse
C'est le don permanent
De son coeur et de soi
Ce sont les volets clos
Deux ombres dans la nuit
Qui pudiquement nues
Se gorgent de je t'aime
Rien d'entendre des jeux qui sont toujours les mêmes
Qui sèment le plaisir et font germer la vie
L'amour bon Dieu l'amour
C'est l'espoir qu'un beau jour
Un être auréolé de grâce et de mystère
Vienne nous emporter aux confins de la terre
Où nous n'existerons qu'au seul nom de l'amour
Vainqueur ou bien perdant
L'amour je veux dormir
L'amour faut que je rentre
L'amour avec les yeux
L'amour avec le ventre
L'amour à contre coeur
L'amour à contre temps
L'amour bon Dieu l'amour
Présenté par parents
Avec un vieux débris
En attendant qu'il lâche
L'amour en viager
Pour le magot qu'il cache
Où jeunesse et beauté
S'offrent au plus mourant
L'amour
Avec des hauts avec des bas de soie
Avec une ingénue avec une cocotte
L'amour à la cosaque en conservant ses bottes
L'amour de 5 à 7 l'amour à la papa
L'amour bon Dieu l'amour
Qui rend fou qui rend fort
Dans la paille ou le foin
Avec une sultane
Les jupes retroussées comme une paysanne
Et qui du bouche à bouche
Conduit au corps à corps
L'amour bon Dieu l'amour
Ça tourne à l'obsession chacun à sa façon
Le voit et l'interprète
Il encombre les coeurs il fait tourner les têtes
Se glisse dans le lit et les conversations
L'amour bon Dieu l'amour
Qu'on fait à temps perdu
L'amour sain
L'amour jeu l'amour entre deux portes
Celui qui met à plat et celui qui transporte
Avec des accessoires ou avec les mains nues
L'amour en travesti
En faux cul et faux sein
L'amour fleur d'oranger
Qui appelle sa mère
L'amour vient je te prends
Sous la porte cochère
L'amour hurle moins fort
Pense un peu aux voisins
L'amour bon Dieu l'amour
On y revient toujours
Tout comme l'assassin
Sur le lieu de son crime
Déchiré mais heureux d'être encore sa victime
Car on atteint jamais le sommet sans amour
L'amour bon Dieu l'amour
C'est aussi le bonheur
C'est l'attente mêlée de joie et de souffrance
C'est la porte qui s'ouvre
Et lettres qui s'élancent
C'est l'espoir qui fleurit
Là où le doute meurt
L'amour bon Dieu l'amour
C'est l'âme en mille éclats
C'est les yeux qui se cherchent
Et des mains qui se pressent
C'est un mot murmuré
Infini de tendresse
C'est le don permanent
De son coeur et de soi
Ce sont les volets clos
Deux ombres dans la nuit
Qui pudiquement nues
Se gorgent de je t'aime
Rien d'entendre des jeux qui sont toujours les mêmes
Qui sèment le plaisir et font germer la vie
L'amour bon Dieu l'amour
C'est l'espoir qu'un beau jour
Un être auréolé de grâce et de mystère
Vienne nous emporter aux confins de la terre
Où nous n'existerons qu'au seul nom de l'amour
sabato 28 novembre 2009
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO AUTOBIOGRAPHIE
J'ai ouvert les yeux sur un meublé triste
Rue Monsieur Le Prince au Quartier Latin
Dans un milieu de chanteurs et d'artistes
Qu'avaient un passé, pas de lendemain
Des gens merveilleux un peu fantaisistes
Qui parlaient le russe et puis l'arménien
Si mon père était chanteur d'opérette
Nanti d'une vois que j'envie encore
Ma mère tenait l'emploi de soubrette
Et leur troupe ne roulait pas sur l'or
Mais ma soeur et moi étions à la fête
Blottis dans un coin derrière un décor
Tous ces comédiens chargés de famille
Mais dont le français était hésitant
Devaient accepter pour gagner leur vie
Le premier emploi qui était vacant
Conduire un taxi ou tirer l'aiguille
Ça pouvait ce faire avec un accent
Après le travail les jours de semaine
Ces acteurs frustrés répétaient longtemps
Pour le seul plaisir un soir par quinzaine
De s'offrir l'oubli des soucis d'argent
Et crever de trac en entrant en scène
Devant un public formé d'émigrants
Quand les fins de mois étaient difficile
Quand il faisait froid, que le pain manquait
On allait souvent honteux et fébrile
Au Mont de piété où l'on engageait
Un vieux samovar, des choses futiles
Objet du passé, auxquels on tenait
On parlait de ceux morts près du Bosphore
Buvait à la vie, buvait aux copains
Les femmes pleuraient, et jusqu'au aurores
Les hommes chantaient quelques vieux refrains
Qui venaient de loin, du fond d'un folklore
Où vivaient la mort, l'amour et le vin
Nous avions toujours des amis à table
Le peu qu'on avait on le partageait
Mes parents disaient: "Ce serait le diable
Si demain le ciel ne nous le rendait"
Ce n'était pas là geste charitable:
Ils aimaient les autres, et Dieu nous aidait
Tandis que devant poêles et casseroles
Mon père cherchait sa situation
Jour et nuit sous une lampe à pétrole
Ma mère brodait pour grande maison
Et nous avant que d'aller à l'école
Faisions le ménage et les commissions
Ainsi j'ai grandi sans contrainte aucune
Me soûlant la nuit, travaillant le jour
Ma vie a connu diverses fortunes
J'ai frôlé la mort, j'ai trouvé l'amour
J'ai eu des enfants qui m'ont vu plus d'une
Fois me souvenir le coeur un peu lourd
La la di la la la...
Rue Monsieur Le Prince au Quartier Latin
Dans un milieu de chanteurs et d'artistes
Qu'avaient un passé, pas de lendemain
Des gens merveilleux un peu fantaisistes
Qui parlaient le russe et puis l'arménien
Rue Monsieur Le Prince au Quartier Latin
Dans un milieu de chanteurs et d'artistes
Qu'avaient un passé, pas de lendemain
Des gens merveilleux un peu fantaisistes
Qui parlaient le russe et puis l'arménien
Si mon père était chanteur d'opérette
Nanti d'une vois que j'envie encore
Ma mère tenait l'emploi de soubrette
Et leur troupe ne roulait pas sur l'or
Mais ma soeur et moi étions à la fête
Blottis dans un coin derrière un décor
Tous ces comédiens chargés de famille
Mais dont le français était hésitant
Devaient accepter pour gagner leur vie
Le premier emploi qui était vacant
Conduire un taxi ou tirer l'aiguille
Ça pouvait ce faire avec un accent
Après le travail les jours de semaine
Ces acteurs frustrés répétaient longtemps
Pour le seul plaisir un soir par quinzaine
De s'offrir l'oubli des soucis d'argent
Et crever de trac en entrant en scène
Devant un public formé d'émigrants
Quand les fins de mois étaient difficile
Quand il faisait froid, que le pain manquait
On allait souvent honteux et fébrile
Au Mont de piété où l'on engageait
Un vieux samovar, des choses futiles
Objet du passé, auxquels on tenait
On parlait de ceux morts près du Bosphore
Buvait à la vie, buvait aux copains
Les femmes pleuraient, et jusqu'au aurores
Les hommes chantaient quelques vieux refrains
Qui venaient de loin, du fond d'un folklore
Où vivaient la mort, l'amour et le vin
Nous avions toujours des amis à table
Le peu qu'on avait on le partageait
Mes parents disaient: "Ce serait le diable
Si demain le ciel ne nous le rendait"
Ce n'était pas là geste charitable:
Ils aimaient les autres, et Dieu nous aidait
Tandis que devant poêles et casseroles
Mon père cherchait sa situation
Jour et nuit sous une lampe à pétrole
Ma mère brodait pour grande maison
Et nous avant que d'aller à l'école
Faisions le ménage et les commissions
Ainsi j'ai grandi sans contrainte aucune
Me soûlant la nuit, travaillant le jour
Ma vie a connu diverses fortunes
J'ai frôlé la mort, j'ai trouvé l'amour
J'ai eu des enfants qui m'ont vu plus d'une
Fois me souvenir le coeur un peu lourd
La la di la la la...
Rue Monsieur Le Prince au Quartier Latin
Dans un milieu de chanteurs et d'artistes
Qu'avaient un passé, pas de lendemain
Des gens merveilleux un peu fantaisistes
Qui parlaient le russe et puis l'arménien
venerdì 27 novembre 2009
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO MON EMOUVANT AMOUR
Tu vis dans un silence éternel et muet
Je traduis tes regards et lis dans tes sourires
Interprétant les mots
Que tes mains veulent dire
Dans ton langage étrange qui semble être un ballet
Un émouvant ballet que tu règles pour moi
De gestes façinants qui sont jamais les mêmes
Et quand tu bout des doigts tu murmures je t'aime
J'ai l'impression parfois comme entendre
Mon amour, mon amour, mon amour, mon amour
Mon amour, mon merveilleux amour, mon déchifrant amour, mon émouvant amour.
Comme pour te parler, je manquais de moyens
Me trouvant près de toi, comme en terre étrangère
Ne pouvant me servir d'aucun vocabulaire
A mon tour j'ai appris, le language des mains
Tu ris un peu de moi, car je suis maladroit,
Et fait souvent des gaffes
Je n'ai jamis été très fort en orthographe,
Mais j'ai tant à te dire
Et je t'aime si fort ...
Mon amour, mon amour, mon amour, mon amour
Mon amour, mon merveilleux amour, mon déchirant amour, mon émouvant amour
Mon amour, mon merveilleux amour, mon déchirant amour, mon émouvant amour.
Je traduis tes regards et lis dans tes sourires
Interprétant les mots
Que tes mains veulent dire
Dans ton langage étrange qui semble être un ballet
Un émouvant ballet que tu règles pour moi
De gestes façinants qui sont jamais les mêmes
Et quand tu bout des doigts tu murmures je t'aime
J'ai l'impression parfois comme entendre
Mon amour, mon amour, mon amour, mon amour
Mon amour, mon merveilleux amour, mon déchifrant amour, mon émouvant amour.
Comme pour te parler, je manquais de moyens
Me trouvant près de toi, comme en terre étrangère
Ne pouvant me servir d'aucun vocabulaire
A mon tour j'ai appris, le language des mains
Tu ris un peu de moi, car je suis maladroit,
Et fait souvent des gaffes
Je n'ai jamis été très fort en orthographe,
Mais j'ai tant à te dire
Et je t'aime si fort ...
Mon amour, mon amour, mon amour, mon amour
Mon amour, mon merveilleux amour, mon déchirant amour, mon émouvant amour
Mon amour, mon merveilleux amour, mon déchirant amour, mon émouvant amour.
giovedì 26 novembre 2009
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO MON AMI, MON JUDAS
Il n'est jamais aisé de juger sur la mine
Nous ne choisissons pas, on est choisi par eux
Qui se font une tête d'imbécile heureux
Et nous donnent le change en mettant la sourdine
Toujours là, toujours prêts, disponibles et serviables
Nageant comme un poisson dans la compromission
Un sourire accroché à cet air voulu con
Qui cache adroitement un autre air implacable
Mon ami, mon Judas
Joue le jeu ne te gêne pas
Courtise-moi, fais des courbettes
Jure que tu es mon ami
Dévoué, sincère et honnête
Que c'est à la mort, à la vie
Fais-toi tout humble et tout sourire
Dis-moi que j'ai un charme fou
Que j'ai de la classe et du goût
Et passe la brosse à reluire
Ça ne te coûte pas un sou
Nous facilitant tout, nous évitant les drames
Ils sont pour nous aider prêts à n'importe quoi
Même complaisamment à nous border parfois
S'ils nous trouvent au lit coucher avec leur femme
Prêts à veiller la nuit, prêts à danser la gigue
Pour mieux nous amuser, prêts à se mettre nus
Acceptant s'il le faut le coup de pied au cul
Se baissant gentiment pour pas qu'on se fatigue
Mon ami, mon Judas
Prends le physique de l'emploi
Flatte-moi de mon élégance
Dis-moi que je suis bon et beau
D'une étonnante intelligence
Que je choisi bien mon bordeaux
Mange mon caviar à la louche
Fume mes havanes au kilo
Et tapi derrière mon dos
Pense aux ristournes que tu touches
Et au prix de l'or en lingot
Mon ami, mon Judas
Dans l'ombre joue avec ta proie
Tire adroitement les ficelles
Tu n'es pas bouffon tu es roi
Je ne suis que polichinelle, moi,
Doux rêveur et tête de bois
Cher profiteur et parasite
Lorsque mon temps sera passé
Le citron mille fois pressé
Vends-moi, trahis-moi au plus vite
Et va-t-en compter tes deniers
Mon ami, mon Judas
Fais ton métier, crucifie moi
Nous ne choisissons pas, on est choisi par eux
Qui se font une tête d'imbécile heureux
Et nous donnent le change en mettant la sourdine
Toujours là, toujours prêts, disponibles et serviables
Nageant comme un poisson dans la compromission
Un sourire accroché à cet air voulu con
Qui cache adroitement un autre air implacable
Mon ami, mon Judas
Joue le jeu ne te gêne pas
Courtise-moi, fais des courbettes
Jure que tu es mon ami
Dévoué, sincère et honnête
Que c'est à la mort, à la vie
Fais-toi tout humble et tout sourire
Dis-moi que j'ai un charme fou
Que j'ai de la classe et du goût
Et passe la brosse à reluire
Ça ne te coûte pas un sou
Nous facilitant tout, nous évitant les drames
Ils sont pour nous aider prêts à n'importe quoi
Même complaisamment à nous border parfois
S'ils nous trouvent au lit coucher avec leur femme
Prêts à veiller la nuit, prêts à danser la gigue
Pour mieux nous amuser, prêts à se mettre nus
Acceptant s'il le faut le coup de pied au cul
Se baissant gentiment pour pas qu'on se fatigue
Mon ami, mon Judas
Prends le physique de l'emploi
Flatte-moi de mon élégance
Dis-moi que je suis bon et beau
D'une étonnante intelligence
Que je choisi bien mon bordeaux
Mange mon caviar à la louche
Fume mes havanes au kilo
Et tapi derrière mon dos
Pense aux ristournes que tu touches
Et au prix de l'or en lingot
Mon ami, mon Judas
Dans l'ombre joue avec ta proie
Tire adroitement les ficelles
Tu n'es pas bouffon tu es roi
Je ne suis que polichinelle, moi,
Doux rêveur et tête de bois
Cher profiteur et parasite
Lorsque mon temps sera passé
Le citron mille fois pressé
Vends-moi, trahis-moi au plus vite
Et va-t-en compter tes deniers
Mon ami, mon Judas
Fais ton métier, crucifie moi
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mercoledì 25 novembre 2009
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO ÇA PASSE
Ça passe
Un jour ce mal disparaîtra
Ça passe
Mon coeur peu à peu oubliera
La garce
Qui m'a joué
La farce
La comédie d'aimer
La parodie d'aimer
Ça passe
Viendra l'heure où ne tenant plus
En place
Je remonterai tout ému
La pente
Pour arracher
Vivante
De mes pensées
L'absente
Ça passe
Je connaîtrai d'autres saisons
Vivaces
Réapprendrai d'autres chanson
Et même
Mes lèvres à nouveau rediront
Je t'aime je t'aime
Ça passe
Au fil du temps le feu brûlant
Se tasse
Un amour meurt, un autre prend
Sa place
Qui d'un revers de main cassant
Le chasse, l'efface
Ça passe
Et blême
Mes lèvres à nouveau rediront
Je t'aime, je t'aime
Mes lèvres à nouveau rediront
Je t'aime, je t'aime
Ça passe
Je connaîtrai d'autres saisons
Vivaces
Réapprendrai d'autres chanson
Et même
Mes lèvres à nouveau rediront
Je t'aime je t'aime
Un jour ce mal disparaîtra
Ça passe
Mon coeur peu à peu oubliera
La garce
Qui m'a joué
La farce
La comédie d'aimer
La parodie d'aimer
Ça passe
Viendra l'heure où ne tenant plus
En place
Je remonterai tout ému
La pente
Pour arracher
Vivante
De mes pensées
L'absente
Ça passe
Je connaîtrai d'autres saisons
Vivaces
Réapprendrai d'autres chanson
Et même
Mes lèvres à nouveau rediront
Je t'aime je t'aime
Ça passe
Au fil du temps le feu brûlant
Se tasse
Un amour meurt, un autre prend
Sa place
Qui d'un revers de main cassant
Le chasse, l'efface
Ça passe
Et blême
Mes lèvres à nouveau rediront
Je t'aime, je t'aime
Mes lèvres à nouveau rediront
Je t'aime, je t'aime
Ça passe
Je connaîtrai d'autres saisons
Vivaces
Réapprendrai d'autres chanson
Et même
Mes lèvres à nouveau rediront
Je t'aime je t'aime
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martedì 24 novembre 2009
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO JE NE CONNAIS QUE TOI
Toi je ne connais que toi
Depuis qu'un matin froid
M'a jeté sur ta grève
Toi depuis toujours à moi
Et pour toujours ma joie
Le temps de cette vie trop brève
Sous les branches du bonheur
Dans les ombres du coeur
Lorsque parfois j'ai peur
J'entends comme un écho
Ta voix qui me fait chaud
Et qui m'a certains soirs
Sauvé du désespoir
Toi, toi qui connais les mots
Trop pleins pour être dits
Trop beaux pour être écrits
Toi musique de mon coeur
Toi qui fais qu'aussitôt
Près de toi je deviens meilleur
Toi vers qui mes bras se tendent
De toute éternité
Tu es ma vérité
Et quand on me demande
Ce qui me fait chanter
Je te montre du doigt
Je ne connais que toi
Depuis qu'un matin froid
M'a jeté sur ta grève
Toi depuis toujours à moi
Et pour toujours ma joie
Le temps de cette vie trop brève
Sous les branches du bonheur
Dans les ombres du coeur
Lorsque parfois j'ai peur
J'entends comme un écho
Ta voix qui me fait chaud
Et qui m'a certains soirs
Sauvé du désespoir
Toi, toi qui connais les mots
Trop pleins pour être dits
Trop beaux pour être écrits
Toi musique de mon coeur
Toi qui fais qu'aussitôt
Près de toi je deviens meilleur
Toi vers qui mes bras se tendent
De toute éternité
Tu es ma vérité
Et quand on me demande
Ce qui me fait chanter
Je te montre du doigt
Je ne connais que toi
lunedì 23 novembre 2009
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO UN CORPS
Un corps pour m'étendre à côté
Dans l'ombre, épaule contre épaule
Un corps frémissant que je frôle
Avant que de le posséder
Un corps pour me pencher dessus
Et par d'imperceptibles touches
Des doigts et de la bouche
En violer tous les inconnus
Un corps de femme, femme
Brûlant de mille flammes
Mi-tigresse et mi-biche
Ou bien encore en friche
Pudique et désarmant
Un corps frêle de femme-enfant
Un corps pour y damner mes nuits
Devenant moi-même le diable
D'un enfer désirable
Vivant sous ciel de lit
Un corps qui se dispute
Se prend de haute lutte
Ennemi ou complice
Au gré de son caprice
Tendre ou griffes dehors
Un corps à vaincre au corps à corps
Un corps pour y donner le jour
A une folle symphonie
En y semant la vie
Pour récolter l'amour
Dans l'ombre, épaule contre épaule
Un corps frémissant que je frôle
Avant que de le posséder
Un corps pour me pencher dessus
Et par d'imperceptibles touches
Des doigts et de la bouche
En violer tous les inconnus
Un corps de femme, femme
Brûlant de mille flammes
Mi-tigresse et mi-biche
Ou bien encore en friche
Pudique et désarmant
Un corps frêle de femme-enfant
Un corps pour y damner mes nuits
Devenant moi-même le diable
D'un enfer désirable
Vivant sous ciel de lit
Un corps qui se dispute
Se prend de haute lutte
Ennemi ou complice
Au gré de son caprice
Tendre ou griffes dehors
Un corps à vaincre au corps à corps
Un corps pour y donner le jour
A une folle symphonie
En y semant la vie
Pour récolter l'amour
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domenica 22 novembre 2009
CONCERTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO RENTRE CHEZ TOI ET PLEURE
Rentre chez toi et pleure
Moi j'ai tant pleuré pour toi
J'en ai passé des heures
A me tourmenter
Sans pouvoir t'oublier
Laisse couler tes larmes
Ton grand chagrin sur tes joues
La vie a tant de charme
Qu'elle effacera tout
Peines d'amour sont brèves
Ce n'est qu'un mauvais rêve
Dont tu t'eveilleras
Crois-moi
Laisse crier ta peine
Demain c'est un cri de joie
Qui brisera tes chaînes
Te ramenant vers moi
Rentre chez toi et pleure
Pleure, pleure.
Moi j'ai tant pleuré pour toi
J'en ai passé des heures
A me tourmenter
Sans pouvoir t'oublier
Laisse couler tes larmes
Ton grand chagrin sur tes joues
La vie a tant de charme
Qu'elle effacera tout
Peines d'amour sont brèves
Ce n'est qu'un mauvais rêve
Dont tu t'eveilleras
Crois-moi
Laisse crier ta peine
Demain c'est un cri de joie
Qui brisera tes chaînes
Te ramenant vers moi
Rentre chez toi et pleure
Pleure, pleure.
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO SHE
She
May be the face I can't forget
A trace of pleasure or regret
May be my treasure or the price I have to pay
She may be the song that summer sings
May be the chill that autumn brings
May be a hundred tearful things
Within the measure of the day.
She
May be the beauty or the beast
May be the famine or the feast
May turn each day into heaven or a hell
She may be the mirror of my dreams
A smile reflected in a stream
She may not be what she may seem
Inside a shell
She who always seems so happy in a crowd
Whose eyes can be so private and so proud
No one's allowed to see them when they cry
She may be the love that can and hope to last
May come to me from shadows of the past
That I remember till the day I die
She
May be the reason I survive
The why and where for I'm alive
The one I'll care for through the rough and rainy years
Me I'll take her laughter and her tears
And make them all my souvenirs
For where she goes I got to be
The meaning of my life is
She, she, she
May be the face I can't forget
A trace of pleasure or regret
May be my treasure or the price I have to pay
She may be the song that summer sings
May be the chill that autumn brings
May be a hundred tearful things
Within the measure of the day.
She
May be the beauty or the beast
May be the famine or the feast
May turn each day into heaven or a hell
She may be the mirror of my dreams
A smile reflected in a stream
She may not be what she may seem
Inside a shell
She who always seems so happy in a crowd
Whose eyes can be so private and so proud
No one's allowed to see them when they cry
She may be the love that can and hope to last
May come to me from shadows of the past
That I remember till the day I die
She
May be the reason I survive
The why and where for I'm alive
The one I'll care for through the rough and rainy years
Me I'll take her laughter and her tears
And make them all my souvenirs
For where she goes I got to be
The meaning of my life is
She, she, she
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testi charles aznavour
sabato 21 novembre 2009
CONCERTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO PARTI AVEC UN AUTRE AMOUR
Le chagrin a fait son lit entre les plis de mon sourire
Et tracé comme un sillon de désespoir, là sur mon front
Mon passé est un vieillard dont la voix n'a plus rien à dire
Car le temps creuse entre nous un abîme sans fond
Afin que jamais plus je ne vois la lumière
Et la face des gens avec leur compassion
Que la mer déchaînée se jette sur la terre
Que se meure la vie, que s'éteigne le jour
Mon amour est parti avec un autre amour
Que le feu de l'enfer comme fétu de paille
Enflamme avec fureur les civilisations
Que la terre s'entrouve et que dans ses entrailles
Naisse un immense oubli qui durerait toujours
Mon amour est parti avec un autre amour
Puisque mon coeur blessé se bat dans les ténèbres
Je ne veux plus entendre parler de bonheur
Mais que le chant du vent devienne un chant funèbre
Pour que le monde entier partage ma douleur
L'orgueil et le chagrin dans mon coeur font un vide
Ma bouche a l'âpre goût de la désolation
Et ma tête est remplie par des idées sordides
Car mon coeur mon coeur n'a qu'un cri, le même nuit et jour
Mon amour est parti avec un autre amour.
Et tracé comme un sillon de désespoir, là sur mon front
Mon passé est un vieillard dont la voix n'a plus rien à dire
Car le temps creuse entre nous un abîme sans fond
Afin que jamais plus je ne vois la lumière
Et la face des gens avec leur compassion
Que la mer déchaînée se jette sur la terre
Que se meure la vie, que s'éteigne le jour
Mon amour est parti avec un autre amour
Que le feu de l'enfer comme fétu de paille
Enflamme avec fureur les civilisations
Que la terre s'entrouve et que dans ses entrailles
Naisse un immense oubli qui durerait toujours
Mon amour est parti avec un autre amour
Puisque mon coeur blessé se bat dans les ténèbres
Je ne veux plus entendre parler de bonheur
Mais que le chant du vent devienne un chant funèbre
Pour que le monde entier partage ma douleur
L'orgueil et le chagrin dans mon coeur font un vide
Ma bouche a l'âpre goût de la désolation
Et ma tête est remplie par des idées sordides
Car mon coeur mon coeur n'a qu'un cri, le même nuit et jour
Mon amour est parti avec un autre amour.
venerdì 20 novembre 2009
CONCERTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO L'AMOUR A FLEUR DE COEUR
Quand la nuit se délaie dans l'aurore naissante
Que le jour peu à peu étale sa clarté
Je m'éveille parfois pour mieux te contempler
Quand tu reposes encore en des poses innocentes
Bien souvent indescentes
Mêlées de pureté
Mon coeur est fou de joie quand il peut te surprendre
Etendue sans défense, alanguie sans défense, alan-
Guie, sans pouvoir
Tu ressembles à l'enfant qui sourit sans savoir
Et murmure des mots impossibles à comprendre
J'ai l'amour à fleur de coeur
Et mon coeur veille ta couche
Vit surr ma bouche
Qui veut crier
Et réveiller
Ton sommeil lourd
Car j'ai le coeur à fleur d'amour
J'ai l'amour à fleur de coeur
Et des crevées d'angoisses
Qui me surpassent
Et c'est normal
Ça me fait mal
Quand vient le jour
Car j'ai le coeur à fleur d'amour
Toi qui souris
Rêvant à je ne sais qui
Au fond tu ne sais pas
Tout ce qui passe en moi
J'ai l'amour à fleur de coeur
Qui me fait souffrir sans trêve
Lorsque tu rêves
Paisiblement
Toi mon tourment
Toi ma douleur
Quand j'ai l'amour à fleur de coeur.
Que le jour peu à peu étale sa clarté
Je m'éveille parfois pour mieux te contempler
Quand tu reposes encore en des poses innocentes
Bien souvent indescentes
Mêlées de pureté
Mon coeur est fou de joie quand il peut te surprendre
Etendue sans défense, alanguie sans défense, alan-
Guie, sans pouvoir
Tu ressembles à l'enfant qui sourit sans savoir
Et murmure des mots impossibles à comprendre
J'ai l'amour à fleur de coeur
Et mon coeur veille ta couche
Vit surr ma bouche
Qui veut crier
Et réveiller
Ton sommeil lourd
Car j'ai le coeur à fleur d'amour
J'ai l'amour à fleur de coeur
Et des crevées d'angoisses
Qui me surpassent
Et c'est normal
Ça me fait mal
Quand vient le jour
Car j'ai le coeur à fleur d'amour
Toi qui souris
Rêvant à je ne sais qui
Au fond tu ne sais pas
Tout ce qui passe en moi
J'ai l'amour à fleur de coeur
Qui me fait souffrir sans trêve
Lorsque tu rêves
Paisiblement
Toi mon tourment
Toi ma douleur
Quand j'ai l'amour à fleur de coeur.
giovedì 19 novembre 2009
CONCERTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO LE FEUTRE TAUPE
Il portait un feutre taupé
Il parlait par onomatopées
Il buvait des cafés frappés
Avec des pailles
Il était très dégingandé
Il fumait des camels parfumées
Et marchait à pas combinés
Boul'vard Raspail
Il suivait des inconnues
Chaque soirs le long des rues
Pour leur dire l'air ingénu
Doubi, doubi, doubi, douba
Il portait un feutre taupé
Il parlait par onomatopées
Il buvait des cafés frappés
Avec des pailles
Il était très imprudent
Car il risquait de se faire écraser tout
L'temps
Il fuyait en s'excusant
Tandis que les gens disaient en s'éloignant
Il portait un feutre taupé
Il parlait par onomatopées
Il buvait des cafés frappés
Avec des pailles
Il était très dégingandé
Il fumait des camels parfumées
Et marchait à pas combinés
Boul'vard Raspail
Il suivait une inconnue
Lui parlait d'un air ému
En voici c'que j'ai retn'u
Doubi, doubi, doubi, douba,
Elle était très interessée
Se laissa très très vite inviter
A prendre un bon café frappé
Avec des pailles
Elle lui plaisait fortement
Quand elle parlait il n'osait plus faire un mouv'ment
Elle riait d'son étonn'ment
Mais se laissa coutiser car justement ...
Elle aimait son feutre taupé
Son parlé par onomatopées
Et aussi les cafés frappés
Avec des pailles.
Elle était blonde platinée
Elle était fortement parfumée
Et prenait un air détaché
Un air canaille
Quand il lui disait
Chérie, vous êtes vraiment la femme de ma vie
En ajoutant ces mots gentils
Doubi, doubi, doubi, douba.
Plus tard ils se sont mariés
Cela fit un ménag' de cinglés
Qui s'balade à pas combinés
Boul'vard Raspail
Il faut les voir dans un cfé
Sur le comptoir buvant frappés
Des cafés, des cafés frappés
Avec des pailles.
Il parlait par onomatopées
Il buvait des cafés frappés
Avec des pailles
Il était très dégingandé
Il fumait des camels parfumées
Et marchait à pas combinés
Boul'vard Raspail
Il suivait des inconnues
Chaque soirs le long des rues
Pour leur dire l'air ingénu
Doubi, doubi, doubi, douba
Il portait un feutre taupé
Il parlait par onomatopées
Il buvait des cafés frappés
Avec des pailles
Il était très imprudent
Car il risquait de se faire écraser tout
L'temps
Il fuyait en s'excusant
Tandis que les gens disaient en s'éloignant
Il portait un feutre taupé
Il parlait par onomatopées
Il buvait des cafés frappés
Avec des pailles
Il était très dégingandé
Il fumait des camels parfumées
Et marchait à pas combinés
Boul'vard Raspail
Il suivait une inconnue
Lui parlait d'un air ému
En voici c'que j'ai retn'u
Doubi, doubi, doubi, douba,
Elle était très interessée
Se laissa très très vite inviter
A prendre un bon café frappé
Avec des pailles
Elle lui plaisait fortement
Quand elle parlait il n'osait plus faire un mouv'ment
Elle riait d'son étonn'ment
Mais se laissa coutiser car justement ...
Elle aimait son feutre taupé
Son parlé par onomatopées
Et aussi les cafés frappés
Avec des pailles.
Elle était blonde platinée
Elle était fortement parfumée
Et prenait un air détaché
Un air canaille
Quand il lui disait
Chérie, vous êtes vraiment la femme de ma vie
En ajoutant ces mots gentils
Doubi, doubi, doubi, douba.
Plus tard ils se sont mariés
Cela fit un ménag' de cinglés
Qui s'balade à pas combinés
Boul'vard Raspail
Il faut les voir dans un cfé
Sur le comptoir buvant frappés
Des cafés, des cafés frappés
Avec des pailles.
mercoledì 18 novembre 2009
CONCERTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO J'AI BU
J'ai bu
J'ai joué et j'ai tout mis sur le tapis
A la roulette de la vie
T'as tout gagné moi j'ai perdu
Alors j'ai bu
J'ai bu
J'ai dit les mots qui passaient en mon âme
Mais toi dans ta p'tit' têt' de femme
T'as pas compris qu'j'étais perdu
Alors j'ai bu
Et fou
J'ai compris malgré tes caresses
Dans la douceur de mon ivresse
Que tu mentais
J'ai bu
Pourtant je t'aimais d'un amour sincère
Mais un jour malgré mes prières
Tu m'as quitté n'en parlons plus
Alors j'ai bu
Fine, whisky, gin
Tous les alcools me sont permis
Ce qui m'chagrin'
Si des barmen je suis l'ami
Des réverbèr's je suis l'enn'mi
Sur le pallier
Le trou d'serrur' joue à cache-cache
Avec ma clef
Ma maison a un' drôl' de mine
Tous les objets font philippine
J'ai bu
J'ai joué et j'ai tout mis sur le tapis
A la roulette de la vie
T'as tout gagné moi j'ai perdu
Alors j'ai bu
J'ai bu
J'ai dit les mots qui passaient en mon âme
Mais toi dans ta p'tit' têt' de femme
T'as pas compris qu'j'étais perdu
Alors j'ai bu
Et saoul
J'ai vite oublié tes caresses
Je m'plais bien mieux dans mon ivresse
Et loin de toi
Je bois
Le trotoir n'est plus assez grand pour moi
En titubant j'crie à plein' voix
Les flics sont des p'tits potes à moi
Je bois
J'ai bu
J'ai joué et j'ai tout mis sur le tapis
A la roulette de la vie
T'as tout gagné moi j'ai perdu
Alors j'ai bu
J'ai bu
La radio joue un Avé Maria
Elle est marant' cett' chanson-là
Les parol's sont en auvergnat
J'ai bu
Et mou
Je m'suis couché sur le parquet
La chambre tournait sans arrêt
C'que j'étais gai
J'ai bu
J'ai bu
Je suis heureux et ce qui fait ma joie
Demain j'aurai la gueul' de bois
Et ne penserai plus à toi
Et c'est pourquoi
Qu'je bois .
J'ai joué et j'ai tout mis sur le tapis
A la roulette de la vie
T'as tout gagné moi j'ai perdu
Alors j'ai bu
J'ai bu
J'ai dit les mots qui passaient en mon âme
Mais toi dans ta p'tit' têt' de femme
T'as pas compris qu'j'étais perdu
Alors j'ai bu
Et fou
J'ai compris malgré tes caresses
Dans la douceur de mon ivresse
Que tu mentais
J'ai bu
Pourtant je t'aimais d'un amour sincère
Mais un jour malgré mes prières
Tu m'as quitté n'en parlons plus
Alors j'ai bu
Fine, whisky, gin
Tous les alcools me sont permis
Ce qui m'chagrin'
Si des barmen je suis l'ami
Des réverbèr's je suis l'enn'mi
Sur le pallier
Le trou d'serrur' joue à cache-cache
Avec ma clef
Ma maison a un' drôl' de mine
Tous les objets font philippine
J'ai bu
J'ai joué et j'ai tout mis sur le tapis
A la roulette de la vie
T'as tout gagné moi j'ai perdu
Alors j'ai bu
J'ai bu
J'ai dit les mots qui passaient en mon âme
Mais toi dans ta p'tit' têt' de femme
T'as pas compris qu'j'étais perdu
Alors j'ai bu
Et saoul
J'ai vite oublié tes caresses
Je m'plais bien mieux dans mon ivresse
Et loin de toi
Je bois
Le trotoir n'est plus assez grand pour moi
En titubant j'crie à plein' voix
Les flics sont des p'tits potes à moi
Je bois
J'ai bu
J'ai joué et j'ai tout mis sur le tapis
A la roulette de la vie
T'as tout gagné moi j'ai perdu
Alors j'ai bu
J'ai bu
La radio joue un Avé Maria
Elle est marant' cett' chanson-là
Les parol's sont en auvergnat
J'ai bu
Et mou
Je m'suis couché sur le parquet
La chambre tournait sans arrêt
C'que j'étais gai
J'ai bu
J'ai bu
Je suis heureux et ce qui fait ma joie
Demain j'aurai la gueul' de bois
Et ne penserai plus à toi
Et c'est pourquoi
Qu'je bois .
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martedì 17 novembre 2009
CONCERTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO IL PLEUT
Il pleut
Les pépins tristes compagnons
Comme d'immenses champignons
Sortent un par un des maisons
Il pleut
Et toute la ville est mouillée
Les maisons se sont enrhumées
Les gouttières ont la goutte au nez
Il pleut
Comme dirigés par un appel
Les oiseaux désertent le ciel
Nuages et loups
Les fenêtres, une larme à l'oeil
Semblent toutes porter le deuil
Des beaux jours
Il pleut
Et l'on entend des clapotis
La ville n'a plus d'harmonie
Solitaires, les rues s'ennuient
Il pleut
J'écoute
Quand s'égoutte
La pluie qui me dégoûte
Sur les chemins des routes
Et partout alentour
Les gouttes
Qui s'en foutent
Ne savent pas sans doute
Que mon coeur en déroute
A perdu son amour
Il pleut
Les pépins, tristes compagnons
Comme d'immenses champignons
Sortent un par un des maisons
Il pleut
Et toute la ville est mouillée
Les maisons se sont enrhumées
Les gouttières ont la goutte au nez
Il pleut
La nature est chargée d'ennuis
Là-haut tout est vêtu de gris
Le ciel est boudeur
Le nez aplati au carreau
J'attends, laissant couler le flot de mes pleurs
Il pleur
Dans mon coeur aux rêves perdus
Sur mon amour comme dans la rue
Et sur mes peines sans issue
Il pleut
Les pépins tristes compagnons
Comme d'immenses champignons
Sortent un par un des maisons
Il pleut
Et toute la ville est mouillée
Les maisons se sont enrhumées
Les gouttières ont la goutte au nez
Il pleut
Comme dirigés par un appel
Les oiseaux désertent le ciel
Nuages et loups
Les fenêtres, une larme à l'oeil
Semblent toutes porter le deuil
Des beaux jours
Il pleut
Et l'on entend des clapotis
La ville n'a plus d'harmonie
Solitaires, les rues s'ennuient
Il pleut
J'écoute
Quand s'égoutte
La pluie qui me dégoûte
Sur les chemins des routes
Et partout alentour
Les gouttes
Qui s'en foutent
Ne savent pas sans doute
Que mon coeur en déroute
A perdu son amour
Il pleut
Les pépins, tristes compagnons
Comme d'immenses champignons
Sortent un par un des maisons
Il pleut
Et toute la ville est mouillée
Les maisons se sont enrhumées
Les gouttières ont la goutte au nez
Il pleut
La nature est chargée d'ennuis
Là-haut tout est vêtu de gris
Le ciel est boudeur
Le nez aplati au carreau
J'attends, laissant couler le flot de mes pleurs
Il pleur
Dans mon coeur aux rêves perdus
Sur mon amour comme dans la rue
Et sur mes peines sans issue
Il pleut
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lunedì 16 novembre 2009
CONCERTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO TERRE NOUVELLE
On vient de découvrir une terre nouvelle
A des millions d'années-lumière dans le ciel
Là-bas au delà des montagnes de demain
Son ciel nouveau nous bâtira des lendemains
A coups de rêves
De pelletées de bonheur
Une aube neuve qui se lève
Pour nous bâtir des jours meilleurs
Et nous faire enfin voir la vie
Comme nul ne l'avait osé
Ces merveilles à l'infini
Par les yeux de la liberté
Sans souci de l'avenir de notre planète
Qui pourrait se désagréger, tomber en miettes
Nous partirons le coeur libre et les bras ouverts
Les yeux perdus dans tout le bleu de l'univers
Notre vieux monde
Dans l'épaisseur de la nuit
Tournera une folle ronde
Seul, avec nos millions d'ennuis
Seul, avec toutes les misères
Et le poids de tous les tourments
Que nous laisserons sur la terre
Pour nous enfuir plus librement
Et tous les hommes partiront main dans la main
Avec l'espoir de se créer des lendemains
Au creux desquels vivront jusqu'à l'éternité
En paix tous les hommes de bonne volonté
Nous partirons avec aux lèvres une chanson
Prêts à bâtir une autre civilisation
Dans laquelle vivront jusqu'à l'éternité
En paix tous les hommes de bonne volonté.
A des millions d'années-lumière dans le ciel
Là-bas au delà des montagnes de demain
Son ciel nouveau nous bâtira des lendemains
A coups de rêves
De pelletées de bonheur
Une aube neuve qui se lève
Pour nous bâtir des jours meilleurs
Et nous faire enfin voir la vie
Comme nul ne l'avait osé
Ces merveilles à l'infini
Par les yeux de la liberté
Sans souci de l'avenir de notre planète
Qui pourrait se désagréger, tomber en miettes
Nous partirons le coeur libre et les bras ouverts
Les yeux perdus dans tout le bleu de l'univers
Notre vieux monde
Dans l'épaisseur de la nuit
Tournera une folle ronde
Seul, avec nos millions d'ennuis
Seul, avec toutes les misères
Et le poids de tous les tourments
Que nous laisserons sur la terre
Pour nous enfuir plus librement
Et tous les hommes partiront main dans la main
Avec l'espoir de se créer des lendemains
Au creux desquels vivront jusqu'à l'éternité
En paix tous les hommes de bonne volonté
Nous partirons avec aux lèvres une chanson
Prêts à bâtir une autre civilisation
Dans laquelle vivront jusqu'à l'éternité
En paix tous les hommes de bonne volonté.
domenica 15 novembre 2009
CONCERTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO A TE REGARDER
Tout le jour tu es loin de moi
Mais lorsque tombe la nuit
Que tu viens dormir prés de moi
J'oublie toute ma vie
Quand se ferment sur notre amour
Les portes de ton sommeil
En moi que de tourments s'éveillent
À te regarder
J'ai le coeur qui soupire
Je voudrais crier, sangloter ou bien rire
À te regarder
Je sens comme une angoisse
Si tu savais ce que tu tiens de place
À te regarder
J'ai le coeur qui chavire
Et mes pensées
Me font mal, me déchirent
Si tu devais rêver à quelqu'un d'autre
Et partager ces joies qui sont les nôtres
À te regarder
Quand la peur me domine
Pour arracher ce cri de ma poitrine
Je veux t'éveiller, te voir devenir blême
Et m'effondrer en te criant: "Je t'aime"
Mais lorsque tombe la nuit
Que tu viens dormir prés de moi
J'oublie toute ma vie
Quand se ferment sur notre amour
Les portes de ton sommeil
En moi que de tourments s'éveillent
À te regarder
J'ai le coeur qui soupire
Je voudrais crier, sangloter ou bien rire
À te regarder
Je sens comme une angoisse
Si tu savais ce que tu tiens de place
À te regarder
J'ai le coeur qui chavire
Et mes pensées
Me font mal, me déchirent
Si tu devais rêver à quelqu'un d'autre
Et partager ces joies qui sont les nôtres
À te regarder
Quand la peur me domine
Pour arracher ce cri de ma poitrine
Je veux t'éveiller, te voir devenir blême
Et m'effondrer en te criant: "Je t'aime"
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sabato 14 novembre 2009
CONCERTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO TOI
Toi, ce sont ces mains qui traînent
Le long de mon corps
Toi, c'est la vie qui s'enchaîne
A la mort
Pourtant toi
C'est bien plus que ma vie
Bien plus que la mort
Même l'amour est moins fort
Que ce nous qui nous unit
Et nous lie
Toi, c'est tout un monde où l'amour se déroule
Plein d'éternité
Monde
De rêves qui s'enroulent
De réalité
Toi, ce sont mes insomnies
Mes peines et mes joies
Et le souffle de ma vie
Y'a plus de ciel, y'a plus d'enfer
Y'a plus de terre plus d'espace
Il n'y a plus que toi et moi
Y'a plus de bien, y'a plus de mal
Mais dans nos coeurs il n'y a place
Rien que pour toi et moi
Toi, ce sont ces mains qui traînent
Le long de mon corps
Toi, c'est la vie qui s'enchaîne
A la mort
Pourtant toi
C'est bien plus que ma vie
Bien plus que la mort
Même l'amour est moins fort
Que ce nous qui nous unit
Et nous lie
Toi, c'est tout un monde où l'amour se déroule
Plein d'éternité
Monde
De rêves qui s'enroulent
De réalité
Toi, ce sont mes insomnies
Mes peines et mes joies
Et le souffle de ma vie
Pourtant toi
C'est bien plus que ma vie
Bien plus que la mort
Même l'amour est moins fort
Que ce nous qui nous unit
Et nous lie
oi, c'est tout un monde où l'amour se déroule
Plein d'éternité
Monde
De rêves qui s'enroulent
De réalité
Toi, ce sont mes insomnies
Mes peines et mes joies
Et le souffle de ma vie
Le long de mon corps
Toi, c'est la vie qui s'enchaîne
A la mort
Pourtant toi
C'est bien plus que ma vie
Bien plus que la mort
Même l'amour est moins fort
Que ce nous qui nous unit
Et nous lie
Toi, c'est tout un monde où l'amour se déroule
Plein d'éternité
Monde
De rêves qui s'enroulent
De réalité
Toi, ce sont mes insomnies
Mes peines et mes joies
Et le souffle de ma vie
Y'a plus de ciel, y'a plus d'enfer
Y'a plus de terre plus d'espace
Il n'y a plus que toi et moi
Y'a plus de bien, y'a plus de mal
Mais dans nos coeurs il n'y a place
Rien que pour toi et moi
Toi, ce sont ces mains qui traînent
Le long de mon corps
Toi, c'est la vie qui s'enchaîne
A la mort
Pourtant toi
C'est bien plus que ma vie
Bien plus que la mort
Même l'amour est moins fort
Que ce nous qui nous unit
Et nous lie
Toi, c'est tout un monde où l'amour se déroule
Plein d'éternité
Monde
De rêves qui s'enroulent
De réalité
Toi, ce sont mes insomnies
Mes peines et mes joies
Et le souffle de ma vie
Pourtant toi
C'est bien plus que ma vie
Bien plus que la mort
Même l'amour est moins fort
Que ce nous qui nous unit
Et nous lie
oi, c'est tout un monde où l'amour se déroule
Plein d'éternité
Monde
De rêves qui s'enroulent
De réalité
Toi, ce sont mes insomnies
Mes peines et mes joies
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venerdì 13 novembre 2009
CONCERTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO JE VEUX TE DIRE ADIEU
Puisque d'autres mains sur ton corps impudique
Sont venus prendre place où mes doigts ont couru
Et puisqu'un autre coeur donne au tien la réplique
Et que tes joies se fondent aux joies d'un inconnue
Je veux te dire adieu
Puisque tes reins se cambrent au nouvelles étreintes
Et que ta peau frémit sous un souffle nouveau
Puisqu'un autre que moi peut t'arracher tes plaintes
Faisant jallir de toi des râles et des mots
Puisque sur sa couche tu nies mon existance
En oubliant mon nom pour mieux crier le sien
Et que tu mords dans sa vie pour tisser ta jouissance
En lui disant ces mots que je croyais les miens
Blessé dans mon coeur même
Et parce que je t'aime
Je veux te dire adieu.
Sont venus prendre place où mes doigts ont couru
Et puisqu'un autre coeur donne au tien la réplique
Et que tes joies se fondent aux joies d'un inconnue
Je veux te dire adieu
Puisque tes reins se cambrent au nouvelles étreintes
Et que ta peau frémit sous un souffle nouveau
Puisqu'un autre que moi peut t'arracher tes plaintes
Faisant jallir de toi des râles et des mots
Puisque sur sa couche tu nies mon existance
En oubliant mon nom pour mieux crier le sien
Et que tu mords dans sa vie pour tisser ta jouissance
En lui disant ces mots que je croyais les miens
Blessé dans mon coeur même
Et parce que je t'aime
Je veux te dire adieu.
giovedì 12 novembre 2009
CONCERTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO LES CHERCHEURS D'OR
La longue horde de charriots
Trace des sillons dans la terre
Et le galop de ces cheveaux
Dans un grand bruit de sabots
Fait tourbillonner la poussière
Ya Ya Hue
Les hommes de tous les pays
Qui conduisent ces attelages
Ont quitté familles et amis
Et d'un élan sont partis
Courant au devant d'un mirage
Hi Han Hue
Claque ton fouet frappe ta bête
Marche ou crève mais non de non
Arrange-toi pour être en tête
Et tomber sur le bon filon
On a trouvé de l'or disait les journaux
En première page et le cri se répercutait
Ricochait et s'élançait de ville en ville et en villages
Hue Hue donc
Hommes simples ou aventuriers
Le coeur débordant d'espérence
Partirent en tête pour toucher, pour voir et pour posséder
Ce qu'ils croyaient être leur chance
Ya Ya Hue
Claque ton fouet frappe ta bête
Marche ou crève mais non de non
Arrange-toi pour être en tête
Et tomber sur le bon filon
Marche forcée, course éperdue
Faut avancer coûte que coûte
Très peu arriverons au but
Affaiblis, déçus et rompus
Beaucoup tomberont sur les routes
Ya Ya Hue
Tous les traîneurs qui crèveront
Iront à la fosse commune
Et très peu s'en retourneront
Riche et remplis d'illusions
Après avoir trouvé fortune
Ya Hue Ya
Claque ton fouet frappe ta bête
Marche ou crève mais non de non
Arrange-toi pour être en tête
Et tomber sur le bon filon.
Trace des sillons dans la terre
Et le galop de ces cheveaux
Dans un grand bruit de sabots
Fait tourbillonner la poussière
Ya Ya Hue
Les hommes de tous les pays
Qui conduisent ces attelages
Ont quitté familles et amis
Et d'un élan sont partis
Courant au devant d'un mirage
Hi Han Hue
Claque ton fouet frappe ta bête
Marche ou crève mais non de non
Arrange-toi pour être en tête
Et tomber sur le bon filon
On a trouvé de l'or disait les journaux
En première page et le cri se répercutait
Ricochait et s'élançait de ville en ville et en villages
Hue Hue donc
Hommes simples ou aventuriers
Le coeur débordant d'espérence
Partirent en tête pour toucher, pour voir et pour posséder
Ce qu'ils croyaient être leur chance
Ya Ya Hue
Claque ton fouet frappe ta bête
Marche ou crève mais non de non
Arrange-toi pour être en tête
Et tomber sur le bon filon
Marche forcée, course éperdue
Faut avancer coûte que coûte
Très peu arriverons au but
Affaiblis, déçus et rompus
Beaucoup tomberont sur les routes
Ya Ya Hue
Tous les traîneurs qui crèveront
Iront à la fosse commune
Et très peu s'en retourneront
Riche et remplis d'illusions
Après avoir trouvé fortune
Ya Hue Ya
Claque ton fouet frappe ta bête
Marche ou crève mais non de non
Arrange-toi pour être en tête
Et tomber sur le bon filon.
mercoledì 11 novembre 2009
CONCERTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO JE T'AIME COMME CA
Tu es toute ma vie
Je ne sais pas pourquoi
Tu n'es pas très jolie
Mais je t'aime comme ça
Tes joies sont enfantines
Tes gestes maladroits
T'as l'air d'une gamine
Mais je t'aime comme ça
Tu cries sans raison
Tu mens avec aplomb
Et me donne des noms
Insensés
Qui font rire mes amis
Et lorsque je te dis
Que tout cela un jour doit changer
Tu te mets à pleurer
Moi pour te consoler
Dans mes bras je t'emporte
Et blottie contre moi
C'est bien toi la plus forte
Mais je t'aime comme ça
Mes yeux sont pleins de larmes
Comment expliquer ça
Tout en toi me désarme
Mais je t' aime comme ça
Tu as des défauts
Souvent tu parles trop
Et quand je suis par trop excédé
Je m'écris ça suffit
Mais lorsque tu souris
Avec un regard désemparé
Devant ton air perdu
Je me sens tout ému
Tu es toute ma vie
Je ne sais pas pourquoi
Tu n'es pas très jolie
Mais je t'aime comme ça.
Je ne sais pas pourquoi
Tu n'es pas très jolie
Mais je t'aime comme ça
Tes joies sont enfantines
Tes gestes maladroits
T'as l'air d'une gamine
Mais je t'aime comme ça
Tu cries sans raison
Tu mens avec aplomb
Et me donne des noms
Insensés
Qui font rire mes amis
Et lorsque je te dis
Que tout cela un jour doit changer
Tu te mets à pleurer
Moi pour te consoler
Dans mes bras je t'emporte
Et blottie contre moi
C'est bien toi la plus forte
Mais je t'aime comme ça
Mes yeux sont pleins de larmes
Comment expliquer ça
Tout en toi me désarme
Mais je t' aime comme ça
Tu as des défauts
Souvent tu parles trop
Et quand je suis par trop excédé
Je m'écris ça suffit
Mais lorsque tu souris
Avec un regard désemparé
Devant ton air perdu
Je me sens tout ému
Tu es toute ma vie
Je ne sais pas pourquoi
Tu n'es pas très jolie
Mais je t'aime comme ça.
martedì 10 novembre 2009
CONCERTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO L'EMIGRANT
Toutes les gares se ressemblent
Et tous les ports crèvent d'ennui
Toutes les routes se rassemblent
Pour mener vers l'infini
Dans la cohue de l'existence
Se trouve toujours un passant
Qui n'a pas eu de ligne de chance
Et qui devint un émigrant
Regarde-le comme il promène
Son coeur au-delà des saisons
Il traverse des murs de haine
Des gouffres d'incompréhension
A chaque nouvelle frontière
Espérant enfin se fixer
Il fait une courte prière
Vers ce ciel qui l'a oublié
Regarde-le, il déambule
Sans jamais savoir ou il va
Il marche comme un somnambule
Et les gens le montrent du doigt
Le monde entier file la haine
Le ciel là-haut n'y comprend rien
Les heureux forment une chaîne
En se tenant par la main
Pas moyen d'enter dans la danse
Le calendrier a son clan
Si tu n'a pas de ligne de chance
Tu resteras un émigrant
Regarde-le comme il promène
Son coeur au-delà des saisons
Il traverse des murs de haine
Des gouffres d'incompréhension
A chaque nouvelle frontière
Espérant enfin se fixer
Il fait une courte prière
Vers ce ciel qui l'a oublié
Regarde-le, il déambule
Sans jamais savoir ou il va
Il marche comme un somnambule
Et les gens le montrent du doigt
Mais pour écouter sa misère
Le ciel un jour le fait tomber
Les bras en croix, face contre terre
Pour embrasser la liberté
Et tous les ports crèvent d'ennui
Toutes les routes se rassemblent
Pour mener vers l'infini
Dans la cohue de l'existence
Se trouve toujours un passant
Qui n'a pas eu de ligne de chance
Et qui devint un émigrant
Regarde-le comme il promène
Son coeur au-delà des saisons
Il traverse des murs de haine
Des gouffres d'incompréhension
A chaque nouvelle frontière
Espérant enfin se fixer
Il fait une courte prière
Vers ce ciel qui l'a oublié
Regarde-le, il déambule
Sans jamais savoir ou il va
Il marche comme un somnambule
Et les gens le montrent du doigt
Le monde entier file la haine
Le ciel là-haut n'y comprend rien
Les heureux forment une chaîne
En se tenant par la main
Pas moyen d'enter dans la danse
Le calendrier a son clan
Si tu n'a pas de ligne de chance
Tu resteras un émigrant
Regarde-le comme il promène
Son coeur au-delà des saisons
Il traverse des murs de haine
Des gouffres d'incompréhension
A chaque nouvelle frontière
Espérant enfin se fixer
Il fait une courte prière
Vers ce ciel qui l'a oublié
Regarde-le, il déambule
Sans jamais savoir ou il va
Il marche comme un somnambule
Et les gens le montrent du doigt
Mais pour écouter sa misère
Le ciel un jour le fait tomber
Les bras en croix, face contre terre
Pour embrasser la liberté
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lunedì 9 novembre 2009
CONCERTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO AU CREUX DE MON EPAULE
Si je t'ai blessé,
Si j'ai noirci ton passé,
Viens pleurer,
Au creux de mon épaule,
Viens tout contre moi,
Et si je fus maladroit,
Je t'en prie,
Chérie pardonnes-moi.
Laisse ta pudeur,
Du plus profond de ton coeur,
Viens pleurer,
Au creux de mon épaule.
Oublie si tu veux,
Nos querelles d'amoureux,
Et chérie,
Nous pourrons être heureux.
Oh! Mon amour,
Ne m'enlève pas le souffle de ma vie,
Ni mes joies,
Pour ce qui ne fut, qu'un instant de folie,
Ne dis pas adieu,
Nous serions trop malheureux,
Viens pleurer,
Au creux de mon épaule,
Car si tu partais,
Si mon bonheur se brisait,
Mon amour, c'est moi qui pleurerait.
Oh! Oh! Mon amour !
Ne m'enlève pas, le souffle de ma vie,
Ni mes joies,
Pour ce qui ne fut,
Q'un instant de folie,
Ne dis pas adieu,
Nous serions trop malheureux,
Viesn pleurer,
Au creux de mon épaule,
Car si tu partais,
Si mon bonheur se brisait,
Mon amour,
C'est moi qui pleurerait.
Si j'ai noirci ton passé,
Viens pleurer,
Au creux de mon épaule,
Viens tout contre moi,
Et si je fus maladroit,
Je t'en prie,
Chérie pardonnes-moi.
Laisse ta pudeur,
Du plus profond de ton coeur,
Viens pleurer,
Au creux de mon épaule.
Oublie si tu veux,
Nos querelles d'amoureux,
Et chérie,
Nous pourrons être heureux.
Oh! Mon amour,
Ne m'enlève pas le souffle de ma vie,
Ni mes joies,
Pour ce qui ne fut, qu'un instant de folie,
Ne dis pas adieu,
Nous serions trop malheureux,
Viens pleurer,
Au creux de mon épaule,
Car si tu partais,
Si mon bonheur se brisait,
Mon amour, c'est moi qui pleurerait.
Oh! Oh! Mon amour !
Ne m'enlève pas, le souffle de ma vie,
Ni mes joies,
Pour ce qui ne fut,
Q'un instant de folie,
Ne dis pas adieu,
Nous serions trop malheureux,
Viesn pleurer,
Au creux de mon épaule,
Car si tu partais,
Si mon bonheur se brisait,
Mon amour,
C'est moi qui pleurerait.
domenica 8 novembre 2009
CONCERTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO PARCE QUE
Le samedi quand on a oublié l'heure
Que le métro a cessé son va-et-vient
Sans nous presser en marchant vers ta demeure
On est heureux avec des riens
Chaque dix pas, sous une porte cochère
On se blottit et nos deux corps n'en font qu'un
Loin du regard malicieux des réverbères
On est heureux avec des riens
Le jour qui cherche à se lever
Nous dit "Allez
Reprenez votre chemin "
On obéit juste un instant
Evidemment
Pour s'arrêter un peu plus loin
Notre parcours est semé de fantaisie
De rires clairs s'élançant vers le matin
Rien ne nous sert de nous compliquer la vie
On est heureux avec des riens
Nous jouons à nos rencontrer
Et pour flirter
C'est occasion rêvée
Pour ce, j'appelle à mon secours
Les mots d'amour
Que j'avais dit le premier jour
Mais lentement nous arrivons de la sorte
Dans ton quartier, dans ta rue et c'est la fin
Faut ce qu'il faut quelques pas et c'est ta porte
Ta main se crispe dans ma main
Nous restons là frissonnant de tout notre être
Quelques instants que l'on vole au lendemain
Puis regardons tristement vers ta fenêtre
Où ta maman veille sans fin
On se donne un dernier baiser
Et puis ca y est
Jusqu'à samedi prochain
Une voix dit en mon coeur lourd
Encore huit jours
Pour être heureux avec des riens
Mais quand j'aurai trouvé un meublé
Pour te garder
J'irai demander ta main
Et avec une augmentation
De mon patron
Nous serons heureux
Heureux avec des riens.
Que le métro a cessé son va-et-vient
Sans nous presser en marchant vers ta demeure
On est heureux avec des riens
Chaque dix pas, sous une porte cochère
On se blottit et nos deux corps n'en font qu'un
Loin du regard malicieux des réverbères
On est heureux avec des riens
Le jour qui cherche à se lever
Nous dit "Allez
Reprenez votre chemin "
On obéit juste un instant
Evidemment
Pour s'arrêter un peu plus loin
Notre parcours est semé de fantaisie
De rires clairs s'élançant vers le matin
Rien ne nous sert de nous compliquer la vie
On est heureux avec des riens
Nous jouons à nos rencontrer
Et pour flirter
C'est occasion rêvée
Pour ce, j'appelle à mon secours
Les mots d'amour
Que j'avais dit le premier jour
Mais lentement nous arrivons de la sorte
Dans ton quartier, dans ta rue et c'est la fin
Faut ce qu'il faut quelques pas et c'est ta porte
Ta main se crispe dans ma main
Nous restons là frissonnant de tout notre être
Quelques instants que l'on vole au lendemain
Puis regardons tristement vers ta fenêtre
Où ta maman veille sans fin
On se donne un dernier baiser
Et puis ca y est
Jusqu'à samedi prochain
Une voix dit en mon coeur lourd
Encore huit jours
Pour être heureux avec des riens
Mais quand j'aurai trouvé un meublé
Pour te garder
J'irai demander ta main
Et avec une augmentation
De mon patron
Nous serons heureux
Heureux avec des riens.
sabato 7 novembre 2009
CONCERTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO PARCE QUE
Parc' que t'as les yeux bleus
Que tes cheveux s'amusent à défier le soleil
Par leur éclat de feu
Parc'que tu as vingt ans
Que tu croques la vie, comme à un fruit vermeil
Que l'on ceuille en riant,
Tu te crois tout permis,
Et n'en fais qu'à ta tête
Désolée un instant prête à recommencer,
Tu joues avec mon coeur, comme une enfant gâtée,
Qui réclame un joujou pour le réduire en miettes
Parc'que j'ai trop d'amour,
Tu viens voler mes nuits du fond de mon sommeil
Et fais pleurer mes jours.
Mais prends garde, chérie, je ne répond de rien
Si ma raison s'égare, et si je perds patience
Je peux d'un trait rayer nos coeurs d'une existance
Dont tu es le seul but, elle l'unique lien.
Parc'que je n'ai que toi
Mon coeur est mon seul maître et maître de mon coeur
L'amour nous fait la loi
Parc'que tu vis en moi
Et que rien ne remplace les instant de bonheur
Que je prends dans tes bras
Je ne me soucierais, ni de Dieu ni des hommes
Je suis prêt à mourir si tu mourrais un jour
Car la mort n'est qu'un jeu
Comparée à l'amour
Et la vie n'est plus rien sans l'amour qu'elle nous donne
Parc'que je suis au seuil
D'un amour éternel je voudrais que mon coeur
N'en porte pas le deuil
Parce que
Parce que ...
Que tes cheveux s'amusent à défier le soleil
Par leur éclat de feu
Parc'que tu as vingt ans
Que tu croques la vie, comme à un fruit vermeil
Que l'on ceuille en riant,
Tu te crois tout permis,
Et n'en fais qu'à ta tête
Désolée un instant prête à recommencer,
Tu joues avec mon coeur, comme une enfant gâtée,
Qui réclame un joujou pour le réduire en miettes
Parc'que j'ai trop d'amour,
Tu viens voler mes nuits du fond de mon sommeil
Et fais pleurer mes jours.
Mais prends garde, chérie, je ne répond de rien
Si ma raison s'égare, et si je perds patience
Je peux d'un trait rayer nos coeurs d'une existance
Dont tu es le seul but, elle l'unique lien.
Parc'que je n'ai que toi
Mon coeur est mon seul maître et maître de mon coeur
L'amour nous fait la loi
Parc'que tu vis en moi
Et que rien ne remplace les instant de bonheur
Que je prends dans tes bras
Je ne me soucierais, ni de Dieu ni des hommes
Je suis prêt à mourir si tu mourrais un jour
Car la mort n'est qu'un jeu
Comparée à l'amour
Et la vie n'est plus rien sans l'amour qu'elle nous donne
Parc'que je suis au seuil
D'un amour éternel je voudrais que mon coeur
N'en porte pas le deuil
Parce que
Parce que ...
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venerdì 6 novembre 2009
CONCERTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO ÇA
Ça c'est une aubaine
Ça c'est merveilleux
Ça c'est un coup d'veine
Du tonnerre de Dieu
Ça c'est formidable
Ça c'est mieux que bon
Ça c'est incroyable
Une explosion
Mais c'est autre chose aussi
De plus doux, de plus tendre aussi
Plus cruel et plus âpre aussi
Qu'on ne peut expliquer ainsi
Ça c'est une aubaine
Ça c'est merveilleux
Ça c'est un coup d'veine
Je suis amoureux
Y'a du soleil sur son visage
De l'amour dans son coeur qui bat
Comme accroché à son corsage
La vie qui veut rire aux éclats
Y'a ses vingt ans qui vagabondent
Emportant mon coeur sur ses pas
Et je raconte à tout le monde
Et je crie par-dessus les toits
Ça c'est une aubaine
Ça c'est merveilleux
Ça c'est un coup d'veine
Du tonnerre de Dieu
Ça c'est formidable
Ça c'est mieux que bon
Ça c'est incroyable
Une explosion
Mais c'est autre chose aussi
De plus doux, de plus tendre aussi
Plus cruel et plus âpre aussi
Qu'on ne peut expliquer ainsi
Ça c'est une aubaine
Ça c'est merveilleux
Ça c'est un coup de veine
Je suis chérie, je suis mon doux
Je suis amoureux, aloureux
De vous.
Ça c'est merveilleux
Ça c'est un coup d'veine
Du tonnerre de Dieu
Ça c'est formidable
Ça c'est mieux que bon
Ça c'est incroyable
Une explosion
Mais c'est autre chose aussi
De plus doux, de plus tendre aussi
Plus cruel et plus âpre aussi
Qu'on ne peut expliquer ainsi
Ça c'est une aubaine
Ça c'est merveilleux
Ça c'est un coup d'veine
Je suis amoureux
Y'a du soleil sur son visage
De l'amour dans son coeur qui bat
Comme accroché à son corsage
La vie qui veut rire aux éclats
Y'a ses vingt ans qui vagabondent
Emportant mon coeur sur ses pas
Et je raconte à tout le monde
Et je crie par-dessus les toits
Ça c'est une aubaine
Ça c'est merveilleux
Ça c'est un coup d'veine
Du tonnerre de Dieu
Ça c'est formidable
Ça c'est mieux que bon
Ça c'est incroyable
Une explosion
Mais c'est autre chose aussi
De plus doux, de plus tendre aussi
Plus cruel et plus âpre aussi
Qu'on ne peut expliquer ainsi
Ça c'est une aubaine
Ça c'est merveilleux
Ça c'est un coup de veine
Je suis chérie, je suis mon doux
Je suis amoureux, aloureux
De vous.
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martedì 3 novembre 2009
CHARLES AZNAVOUR A MILANO E CATANZARO
Tutto pronto per il concerto di questa sera al Teatro degli Arcimboldi di Milano di Charles Aznavour. Il cantautore francese si esibirà poi il 6 Novembre al Politeama di Catanzaro. Puoi ancora acquistare i biglietti cliccando sul banner a lato.
lunedì 2 novembre 2009
BIGLIETTI CONCERTO CHARLES AZNAVOUR AL TEATRO DEGLI ARCIMBOLDI, MILANO
Grande evento domani 3 Novembre al Teatro degli Arcimboldi di Milano: Charles Aznavour in concerto! I biglietti possono ancora essere acquistati: clicca sul banner a lato.
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