Toutes les gares se ressemblent
Et tous les ports crèvent d'ennui
Toutes les routes se rassemblent
Pour mener vers l'infini
Dans la cohue de l'existence
Se trouve toujours un passant
Qui n'a pas eu de ligne de chance
Et qui devint un émigrant
Regarde-le comme il promène
Son coeur au-delà des saisons
Il traverse des murs de haine
Des gouffres d'incompréhension
A chaque nouvelle frontière
Espérant enfin se fixer
Il fait une courte prière
Vers ce ciel qui l'a oublié
Regarde-le, il déambule
Sans jamais savoir ou il va
Il marche comme un somnambule
Et les gens le montrent du doigt
Le monde entier file la haine
Le ciel là-haut n'y comprend rien
Les heureux forment une chaîne
En se tenant par la main
Pas moyen d'enter dans la danse
Le calendrier a son clan
Si tu n'a pas de ligne de chance
Tu resteras un émigrant
Regarde-le comme il promène
Son coeur au-delà des saisons
Il traverse des murs de haine
Des gouffres d'incompréhension
A chaque nouvelle frontière
Espérant enfin se fixer
Il fait une courte prière
Vers ce ciel qui l'a oublié
Regarde-le, il déambule
Sans jamais savoir ou il va
Il marche comme un somnambule
Et les gens le montrent du doigt
Mais pour écouter sa misère
Le ciel un jour le fait tomber
Les bras en croix, face contre terre
Pour embrasser la liberté
venerdì 30 aprile 2010
giovedì 29 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO A TOUT JAMAIS
Quand nous aurons fermé les yeux
À tout jamais, à tout jamais
À l'instant du dernier adieu
J'en aurai encore du regret
J'en aurai encore du remords
Et partirai avec ma peine
Et pour peu que je me souvienne
Ce mal n'en sera que plus fort
Car nous avons fermé nos coeurs
À tout jamais, à tout jamais
Pour remplacer tant de bonheur
Par du chagrin et des regrets
Lorsque les siècles bout à bout
À tout jamais, à tout jamais
Aurons mis le passé sur nous
Et que l'oubli sera complet
S'il reste encore une lueur
S'il reste encore un rien de flamme
Sous la cendre tiède de l'âme
Qui paraît-il jamais ne meurt
Pour trouver le calme infini
À tout jamais, à tout jamais
Tout comme au temps de notre vie
Mon amour je te chercherai
T'appellerai
Te trouverai
Te garderai
À tout jamais
À tout jamais, à tout jamais
À l'instant du dernier adieu
J'en aurai encore du regret
J'en aurai encore du remords
Et partirai avec ma peine
Et pour peu que je me souvienne
Ce mal n'en sera que plus fort
Car nous avons fermé nos coeurs
À tout jamais, à tout jamais
Pour remplacer tant de bonheur
Par du chagrin et des regrets
Lorsque les siècles bout à bout
À tout jamais, à tout jamais
Aurons mis le passé sur nous
Et que l'oubli sera complet
S'il reste encore une lueur
S'il reste encore un rien de flamme
Sous la cendre tiède de l'âme
Qui paraît-il jamais ne meurt
Pour trouver le calme infini
À tout jamais, à tout jamais
Tout comme au temps de notre vie
Mon amour je te chercherai
T'appellerai
Te trouverai
Te garderai
À tout jamais
mercoledì 28 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO TON DOUX VISAGE
Ton doux visage
Que caresse un autre que moi
Ton doux visage
Je l'entrevois
Dans ces images
Qui viennent sans fin se jeter
A l'abordage
De mes pensées
Ton doux visage
Vient hanter mes nuits sans amour
Comme un mirage
En contre-jour
Sous l'éclairage
Des souvenirs en noir et blanc
De mon cinéma personnel et permanent
Ton doux visage
Debout planté sur mon passé
Me dévisage
Et fait sauter
Le maquillage
Qui cherche à masquer vainement
Le mal de l'âge
L'oeuvre du temps
Je suis l'otage
De mes regrets, de mes passions
Et du chantage
Que des chansons font avec rage
A mon coeur par des mots d'amour
Quand ma mémoire hurle au scandale et au secours
Ton doux visage
Qui m'obsède et me fait souffrir
Est l'héritage
De souvenirs
Et d'effeuillages
Baisers volés et doigts tremblants
Dans ton corsage
Sur tes printemps
Et les ancrages
Au bout des sens, au creux du lit
Les engrenages
De la folie
De ces ravages
Pour deux coeurs sans dessus dessous
Jouant au jeu de la mort lente et l'amour fou
Ton doux visage
Je l'ai perdu à tout jamais
C'est un ratage
Et je le sais
De ce naufrage
Je sortirai in extremis
Non sans dommage
Du temps jadis
De mes voyages
Dans tes yeux tendres et ton corps chaud
De ces rivages
J'ai dans la peau
Ton doux visage
Émergeant du flou de l'oubli
Pour briller au creux de mon âme et de mes nuits
Car ton visage
Ce doux visage
Est le visage
De ma vie
Que caresse un autre que moi
Ton doux visage
Je l'entrevois
Dans ces images
Qui viennent sans fin se jeter
A l'abordage
De mes pensées
Ton doux visage
Vient hanter mes nuits sans amour
Comme un mirage
En contre-jour
Sous l'éclairage
Des souvenirs en noir et blanc
De mon cinéma personnel et permanent
Ton doux visage
Debout planté sur mon passé
Me dévisage
Et fait sauter
Le maquillage
Qui cherche à masquer vainement
Le mal de l'âge
L'oeuvre du temps
Je suis l'otage
De mes regrets, de mes passions
Et du chantage
Que des chansons font avec rage
A mon coeur par des mots d'amour
Quand ma mémoire hurle au scandale et au secours
Ton doux visage
Qui m'obsède et me fait souffrir
Est l'héritage
De souvenirs
Et d'effeuillages
Baisers volés et doigts tremblants
Dans ton corsage
Sur tes printemps
Et les ancrages
Au bout des sens, au creux du lit
Les engrenages
De la folie
De ces ravages
Pour deux coeurs sans dessus dessous
Jouant au jeu de la mort lente et l'amour fou
Ton doux visage
Je l'ai perdu à tout jamais
C'est un ratage
Et je le sais
De ce naufrage
Je sortirai in extremis
Non sans dommage
Du temps jadis
De mes voyages
Dans tes yeux tendres et ton corps chaud
De ces rivages
J'ai dans la peau
Ton doux visage
Émergeant du flou de l'oubli
Pour briller au creux de mon âme et de mes nuits
Car ton visage
Ce doux visage
Est le visage
De ma vie
martedì 27 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO PERDU
Les gens heureux n'ont pas d'histoire
J'en ai une et c'est tout vous dire
Elle a pris mon dernier sourire
Emporté mon dernier espoir
Les gens heureux vivent sans bruit
Ils n'ont pas de cris pas de larmes
Moi mon coeur lance un cri d'alarme
Car depuis ton départ je suis
Perdu
Comme un roi déchu de son trône
Perdu
Comme un ténor soudain aphone
Comme un prêtre sans foi
Comme un pianiste sans ses doigts
Chérie combien je suis perdu sans toi
Perdu
Comme une vie sans ambition
Perdu
Comme un marin sans horizon
Comme un pays sans loi
Comme un enfant au fond d'un bois
Chérie combien je suis perdu sans toi
Il aurait fallu
Quand ton coeur m'aimait tant
Arrêter les instants
Les instants et le temps
Il aurait fallu
Mais lorsque j'ai compris
J'étais seul dans la vie
Et depuis je suis
Perdu
Comme une ruche sans abeille
Perdu
Comme un jour t'été sans soleil
Une biche aux abois
Ou comme un feu de joie sans joie
Chérie combien je suis perdu sans toi
J'en ai une et c'est tout vous dire
Elle a pris mon dernier sourire
Emporté mon dernier espoir
Les gens heureux vivent sans bruit
Ils n'ont pas de cris pas de larmes
Moi mon coeur lance un cri d'alarme
Car depuis ton départ je suis
Perdu
Comme un roi déchu de son trône
Perdu
Comme un ténor soudain aphone
Comme un prêtre sans foi
Comme un pianiste sans ses doigts
Chérie combien je suis perdu sans toi
Perdu
Comme une vie sans ambition
Perdu
Comme un marin sans horizon
Comme un pays sans loi
Comme un enfant au fond d'un bois
Chérie combien je suis perdu sans toi
Il aurait fallu
Quand ton coeur m'aimait tant
Arrêter les instants
Les instants et le temps
Il aurait fallu
Mais lorsque j'ai compris
J'étais seul dans la vie
Et depuis je suis
Perdu
Comme une ruche sans abeille
Perdu
Comme un jour t'été sans soleil
Une biche aux abois
Ou comme un feu de joie sans joie
Chérie combien je suis perdu sans toi
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lunedì 26 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO C'EST MERVEILLEUX L'AMOUR
C'est merveilleux l'amour
C'est fantastique
C'est trop compliqué pour
Que ça s'explique
Ca va, ça vient, ça court,
C'est lunatique
C'est merveilleux l'amour
Heureux ou malheureux
C'est un dilemme
Qui pose aux amoureux
Plus d'un problème
C'est un jeu dangereux
Mais quand on aime,
C'est merveilleux l'amour
Ca crie, ça mène notre vie
Sur terre
Ca pleure
Et ça nous prend des heures
Entières
Et l'on a beau dire
Et l'on a beau faire
Quand on est dans ses doigts
Notre vie change
Car on subit sa loi
Qu'est un mélange de tourmants et de joies
Vraiment étrange
C'est merveilleux l'amour
C'est merveilleux l'amour
Qu'on se le dise
Ces instants qu'on savoure
Et qui nous grisent
Dont dépendent nos jours
Nous électrisent
C'est merveilleux l'amour
Ca vient sans s'annoncer
Sans crier gare
Un regard, un baiser
Hop ! ça démarre
Le bonheur est lâché
Dans la bagarre
C'est merveilleux l'amour
Ca vit de rêves et d'ennuis
Qui passent
C'est fier
Ca fait un bruit d'enfer
Ca casse
Et quoi que l'on pense
Et quoi que l'on fasse
Quand dans son tourbillon
Il nous entraîne
Ca prend des proportions
Sur-surhumaines
Et qu'on le veuille ou non
C'est une chaîne
Qui nous tient nuit et jour
C'est merveilleux, c'est merveilleux l'amour.
C'est fantastique
C'est trop compliqué pour
Que ça s'explique
Ca va, ça vient, ça court,
C'est lunatique
C'est merveilleux l'amour
Heureux ou malheureux
C'est un dilemme
Qui pose aux amoureux
Plus d'un problème
C'est un jeu dangereux
Mais quand on aime,
C'est merveilleux l'amour
Ca crie, ça mène notre vie
Sur terre
Ca pleure
Et ça nous prend des heures
Entières
Et l'on a beau dire
Et l'on a beau faire
Quand on est dans ses doigts
Notre vie change
Car on subit sa loi
Qu'est un mélange de tourmants et de joies
Vraiment étrange
C'est merveilleux l'amour
C'est merveilleux l'amour
Qu'on se le dise
Ces instants qu'on savoure
Et qui nous grisent
Dont dépendent nos jours
Nous électrisent
C'est merveilleux l'amour
Ca vient sans s'annoncer
Sans crier gare
Un regard, un baiser
Hop ! ça démarre
Le bonheur est lâché
Dans la bagarre
C'est merveilleux l'amour
Ca vit de rêves et d'ennuis
Qui passent
C'est fier
Ca fait un bruit d'enfer
Ca casse
Et quoi que l'on pense
Et quoi que l'on fasse
Quand dans son tourbillon
Il nous entraîne
Ca prend des proportions
Sur-surhumaines
Et qu'on le veuille ou non
C'est une chaîne
Qui nous tient nuit et jour
C'est merveilleux, c'est merveilleux l'amour.
domenica 25 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO AH!
Ah! lorsque ma poule
Roucoule
Je croule
Dans un monde étrange encore inexploré
Ah! elle m'enlace
M'embrasse
J'en passe
Car il y a des choses qu'on ne peux expliquer
Elle a son secret
D'où le tient-elle, qui le sait?
Mais la donzelle s'y connaît
Si bien que j'en suis stupéfait
Ah! car ce bolide
Avide
Me vide
Lorsque je la prend
Entre mes bras puissants
Ah! Ah! Ah! Ah!
J'ai connu par elle une quantité d'exclamations
Des ah! admiratifs
Puis des ah! négatifs
Des ah! idiots et des ah! expressifs
Des ah! contemplatifs
Des ah! longs et plaintifs
Qui tous me menèrent aux ah! explosifs
Ah! lorsque ma poule
Me couve
J'éprouve
Un plaisir immense qui me prend cent pour cent
Ah! ses yeux proposent
J'explose
Et j'ose
Lui dire des phrases qui lui remuent le sang
C'est un vrai volcan
Elle bouillonne
Constamment
Et me passionne
Follement
Bien qu'elle ait l'air d'une enfant
Ah! lorsque farouches,
Nos bouches
Se touchent
J'en perds la raison
Tellement que c'est bon
Ah! quand ma tigresse
Me presse
L'ivresse
Me tourne la tête et je suis envoûté
Ah! elle m'attaque
Et quoique
Je craque
De toutes ses forces elle me tiens serré
Je ne vois plus rien
Une seconde
Tout s'éteint
J'oublie le monde
Je l'étreins
Pour que son coeur se fonde au mien
Ah! c'est l'hécatombe
La bombe
Qui tombe
Si c'est ça l'amour
Ah! qu'on m'en donne
Donne donne
Nuit et jour
Roucoule
Je croule
Dans un monde étrange encore inexploré
Ah! elle m'enlace
M'embrasse
J'en passe
Car il y a des choses qu'on ne peux expliquer
Elle a son secret
D'où le tient-elle, qui le sait?
Mais la donzelle s'y connaît
Si bien que j'en suis stupéfait
Ah! car ce bolide
Avide
Me vide
Lorsque je la prend
Entre mes bras puissants
Ah! Ah! Ah! Ah!
J'ai connu par elle une quantité d'exclamations
Des ah! admiratifs
Puis des ah! négatifs
Des ah! idiots et des ah! expressifs
Des ah! contemplatifs
Des ah! longs et plaintifs
Qui tous me menèrent aux ah! explosifs
Ah! lorsque ma poule
Me couve
J'éprouve
Un plaisir immense qui me prend cent pour cent
Ah! ses yeux proposent
J'explose
Et j'ose
Lui dire des phrases qui lui remuent le sang
C'est un vrai volcan
Elle bouillonne
Constamment
Et me passionne
Follement
Bien qu'elle ait l'air d'une enfant
Ah! lorsque farouches,
Nos bouches
Se touchent
J'en perds la raison
Tellement que c'est bon
Ah! quand ma tigresse
Me presse
L'ivresse
Me tourne la tête et je suis envoûté
Ah! elle m'attaque
Et quoique
Je craque
De toutes ses forces elle me tiens serré
Je ne vois plus rien
Une seconde
Tout s'éteint
J'oublie le monde
Je l'étreins
Pour que son coeur se fonde au mien
Ah! c'est l'hécatombe
La bombe
Qui tombe
Si c'est ça l'amour
Ah! qu'on m'en donne
Donne donne
Nuit et jour
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sabato 24 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO TANT DE MONNAIE
Je suis releveur d'appareils automatiques
A toutes les heures j'ai des pièces métalliques
Je les entends qui sonnent, écoutez-les sonner
Quand elles s'entre choquent c'est moi qui suis choqué
Je dois vous avouer ce que j'ai
Tant de monnaie que cela m'exaspère
Tant de menu monnaie avouez que c'est une mauvaise affaire
Tant de monnaie m'alourdit m'aigrit le caractère
Voyez
Tant de monnaie dit le commerçant qu'a le sourire
Tant de menu monnaie, vous avez cassé votre tirelire
Tant de monnaie et je ne sais pas quoi lui dire
Avouez
Chez moi
J'en ai rempli trente six bouteilles
Parfois
Ça bourdonne dans mes oreilles
Je crie: assez!
J'en suis obsédé
Tant de monnaie a déréglé ma vie tranquille
Tant de menu monnaie que j'entends teinter m'horripie
Tant de menu monnaie m'enverra un jour à l'asile
Dans un asile d'aliénés
J'ai changé de métier car je me faisais trop de bile
Et j'ai accepté celui de livreur à domicile
On me donne des pourboires ça fait plaisir je l'avoue
Mais quand vient le soir je crois devenir fou
Car tout comme avant
J'ai tant
Tant de monnaie que cela m'exaspère
Tant de menu monnaie avouez que c'est une mauvaise affaire
Tant de monnaie m'alourdit m'aigrit le caractère
Voyez
Tant de monnaie dit le commerçant qu'a le sourire
Tant de menu monnaie, vous avez cassé votre tirelire
Tant de monnaie et je ne sais pas quoi lui dire
Avouez
Oh! non
Ce n'est pas moi qui ai de la chance
Ce sont
Ceux qui ont de la banque de France
De beaux billets
Tandis que moi
Tant de monnaie que les gens m'en font le reproche
Tant de menu monnaie me dit-on abîme les poches
Tant de monnaie
Fait que mon complet paraît moche
Mon complet paraît tout usé
Et ça me rend fou
Toutes ces pièces de dix sous
Ces petites pièces de vingt sous
Venues de n'importe ou
Et je vous le dis entre nous
Toutes mes poches ont des trous
De minuscules trous
Et même d'immenses trous
Tant de monnaie que les gens m'en font le reproche
Tant de menu monnaie me dit-on abîme les poches
Tant de monnaie
Fait que mon complet paraît moche
Mon complet paraît tout usé
Tout usé
A toutes les heures j'ai des pièces métalliques
Je les entends qui sonnent, écoutez-les sonner
Quand elles s'entre choquent c'est moi qui suis choqué
Je dois vous avouer ce que j'ai
Tant de monnaie que cela m'exaspère
Tant de menu monnaie avouez que c'est une mauvaise affaire
Tant de monnaie m'alourdit m'aigrit le caractère
Voyez
Tant de monnaie dit le commerçant qu'a le sourire
Tant de menu monnaie, vous avez cassé votre tirelire
Tant de monnaie et je ne sais pas quoi lui dire
Avouez
Chez moi
J'en ai rempli trente six bouteilles
Parfois
Ça bourdonne dans mes oreilles
Je crie: assez!
J'en suis obsédé
Tant de monnaie a déréglé ma vie tranquille
Tant de menu monnaie que j'entends teinter m'horripie
Tant de menu monnaie m'enverra un jour à l'asile
Dans un asile d'aliénés
J'ai changé de métier car je me faisais trop de bile
Et j'ai accepté celui de livreur à domicile
On me donne des pourboires ça fait plaisir je l'avoue
Mais quand vient le soir je crois devenir fou
Car tout comme avant
J'ai tant
Tant de monnaie que cela m'exaspère
Tant de menu monnaie avouez que c'est une mauvaise affaire
Tant de monnaie m'alourdit m'aigrit le caractère
Voyez
Tant de monnaie dit le commerçant qu'a le sourire
Tant de menu monnaie, vous avez cassé votre tirelire
Tant de monnaie et je ne sais pas quoi lui dire
Avouez
Oh! non
Ce n'est pas moi qui ai de la chance
Ce sont
Ceux qui ont de la banque de France
De beaux billets
Tandis que moi
Tant de monnaie que les gens m'en font le reproche
Tant de menu monnaie me dit-on abîme les poches
Tant de monnaie
Fait que mon complet paraît moche
Mon complet paraît tout usé
Et ça me rend fou
Toutes ces pièces de dix sous
Ces petites pièces de vingt sous
Venues de n'importe ou
Et je vous le dis entre nous
Toutes mes poches ont des trous
De minuscules trous
Et même d'immenses trous
Tant de monnaie que les gens m'en font le reproche
Tant de menu monnaie me dit-on abîme les poches
Tant de monnaie
Fait que mon complet paraît moche
Mon complet paraît tout usé
Tout usé
venerdì 23 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO JE CHERCHE MON AMOUR
Prenez ma main guidez-moi sur la terre
Aveuglement, j'irai où vous irez
Portez mon coeur avide de lumière
Où le soleil rejoint l'éternité
Comme un pêcheur dont les filets sont vides
Désespéré à la tombée du jour
Cherche en son coeur un espoir qui le guide
Moi dans vos yeux je cherche mon amour
Mon amour
Mon amour
Menez ma vie sur la route éternelle
Où les amants sont baignés de clarté
Mon âme en vain espère une étincelle
Pour entrevoir le fond de vos pensées
Comme un berger par une nuit glaciale
Désorienté à l'heure du retour
Fouille le ciel pour chercher une étoile
Moi dans vos yeux je cherche mon amour
Mon amour
Mon amour
Aveuglement, j'irai où vous irez
Portez mon coeur avide de lumière
Où le soleil rejoint l'éternité
Comme un pêcheur dont les filets sont vides
Désespéré à la tombée du jour
Cherche en son coeur un espoir qui le guide
Moi dans vos yeux je cherche mon amour
Mon amour
Mon amour
Menez ma vie sur la route éternelle
Où les amants sont baignés de clarté
Mon âme en vain espère une étincelle
Pour entrevoir le fond de vos pensées
Comme un berger par une nuit glaciale
Désorienté à l'heure du retour
Fouille le ciel pour chercher une étoile
Moi dans vos yeux je cherche mon amour
Mon amour
Mon amour
giovedì 22 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO UNE ENFANT
Une enfant, une enfant de seize ans
Une enfant du printemps
Couchée sur le chemin...
Elle vivait dans un de ces quartiers
Où tout le monde est riche à crever
Elle avait quitté ses parents
Pour suivre un garçon, un bohème
Qui savait si bien dire "je t'aime"
Ça en devenait bouleversant
Et leurs deux coeurs ensoleillés
Partirent sans laisser d'adresse
Emportant juste leur jeunesse
Et la douceur de leur péché
Une enfant, une enfant de seize ans
Une enfant du printemps
Couchée sur le chemin...
Leurs coeurs n'avaient pas de saisons
Et ne voulaient pas de prison
Tous deux vivaient au jour le jour
Ne restant jamais à la même place
Leurs coeurs avaient besoin d'espace
Pour contenir un tel amour
Son présent comme son futur
C'était cet amour magnifique
Qui la berçait comme d'un cantique
Et perdait ses yeux dans l'azur
Une enfant, une enfant de seize ans
Une enfant du printemps
Couchée sur le chemin...
Mais son amour était trop grand
Trop grand pour l'âme d'une enfant
Elle ne vivait que par son coeur
Et son coeur se faisait un monde
Mais Dieu n'accepte pas les mondes
Dont il n'est pas le Créateur
L'amour étant leur seul festin
Il la quitta pour quelques miettes
Alors sa vie battit en retraite
Et puis l'enfant connut la faim
Une enfant, une enfant de seize ans
Une enfant du printemps
Couchée sur le chemin
...morte!...
Ahaaa...
Une enfant du printemps
Couchée sur le chemin...
Elle vivait dans un de ces quartiers
Où tout le monde est riche à crever
Elle avait quitté ses parents
Pour suivre un garçon, un bohème
Qui savait si bien dire "je t'aime"
Ça en devenait bouleversant
Et leurs deux coeurs ensoleillés
Partirent sans laisser d'adresse
Emportant juste leur jeunesse
Et la douceur de leur péché
Une enfant, une enfant de seize ans
Une enfant du printemps
Couchée sur le chemin...
Leurs coeurs n'avaient pas de saisons
Et ne voulaient pas de prison
Tous deux vivaient au jour le jour
Ne restant jamais à la même place
Leurs coeurs avaient besoin d'espace
Pour contenir un tel amour
Son présent comme son futur
C'était cet amour magnifique
Qui la berçait comme d'un cantique
Et perdait ses yeux dans l'azur
Une enfant, une enfant de seize ans
Une enfant du printemps
Couchée sur le chemin...
Mais son amour était trop grand
Trop grand pour l'âme d'une enfant
Elle ne vivait que par son coeur
Et son coeur se faisait un monde
Mais Dieu n'accepte pas les mondes
Dont il n'est pas le Créateur
L'amour étant leur seul festin
Il la quitta pour quelques miettes
Alors sa vie battit en retraite
Et puis l'enfant connut la faim
Une enfant, une enfant de seize ans
Une enfant du printemps
Couchée sur le chemin
...morte!...
Ahaaa...
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mercoledì 21 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO J'ENTENDS TA VOIX
J'entends un monde au fond de moi
Qui vibre et gronde et plein d'émoi
J'entends mon coeur qui bat très fort
Et tout autour de moi chuchote
J'entends un bruit, j'entends un pas
Et puis j'entends ta voix
La porte s'ouvre à deux battants
Et je découvre coeur battant
Ton regard clair, tes cheveux d'or
Qui tombent sur tes joues pâlottes
J'entends ton rire et pour ma joie
Chérie j'entends ta voix
Elle déverse avec chaleur
Des mots qui bercent mon bonheur
Et des merveilles par mon oreille
Jusqu'à mon coeur
Elle me trouble brouille mes yeux
Et je vois double c'est merveilleux
Je suis grisé, je perds le nord
Pauvre amoureux, je deviens roi
Lorsque j'entends ta voix
Car ta voix mon amour
C'est le flot de bonheur
Qui soudain me parcourt
Et m'inonde le coeur
Je suis en un instant
Prêt à n'importe quoi
Lorsque j'entends ta voix
Je me sens tout à coup
Pris dans un tourbillon
J'ai envie de crier
De perdre la raison
De chanter à tue-tête
Et monter sur les toits
Lorsque j'entends ta voix
Dans le silence de nos jeux
Elle s'élance à petit feu
Et puis s'enflamme
Parle à mon âme
Et peu à peu
J'oublie la vie, le temps qui court
Pour la folie de notre amour
Et sur mon coeur quand je te tiens
Soudain je ne perçois plus rien
Car tout se tait autour de nous
La vie le monde et ses remous
Pour que résonne seul en moi
L'écho de ta voix
Qui vibre et gronde et plein d'émoi
J'entends mon coeur qui bat très fort
Et tout autour de moi chuchote
J'entends un bruit, j'entends un pas
Et puis j'entends ta voix
La porte s'ouvre à deux battants
Et je découvre coeur battant
Ton regard clair, tes cheveux d'or
Qui tombent sur tes joues pâlottes
J'entends ton rire et pour ma joie
Chérie j'entends ta voix
Elle déverse avec chaleur
Des mots qui bercent mon bonheur
Et des merveilles par mon oreille
Jusqu'à mon coeur
Elle me trouble brouille mes yeux
Et je vois double c'est merveilleux
Je suis grisé, je perds le nord
Pauvre amoureux, je deviens roi
Lorsque j'entends ta voix
Car ta voix mon amour
C'est le flot de bonheur
Qui soudain me parcourt
Et m'inonde le coeur
Je suis en un instant
Prêt à n'importe quoi
Lorsque j'entends ta voix
Je me sens tout à coup
Pris dans un tourbillon
J'ai envie de crier
De perdre la raison
De chanter à tue-tête
Et monter sur les toits
Lorsque j'entends ta voix
Dans le silence de nos jeux
Elle s'élance à petit feu
Et puis s'enflamme
Parle à mon âme
Et peu à peu
J'oublie la vie, le temps qui court
Pour la folie de notre amour
Et sur mon coeur quand je te tiens
Soudain je ne perçois plus rien
Car tout se tait autour de nous
La vie le monde et ses remous
Pour que résonne seul en moi
L'écho de ta voix
martedì 20 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO LE CHEMIN DE L'ETERNITE
J'ai lassé ma vie de misère
Aux froides profondeurs de la Terre
Pour trouver grâce à mes prières
Trébuchant sous l'immense voûte
Tout ruisselant le coeur en déroute
J'ai suivi en cherchant ma route
Le chemin de l'éternité
Déchirant mes mains sur les pierres
Le corps souillé de sang et de terre
J'ai gravi comme un long calvaire
Le chemin de l'éternité
J'ai pleuré, souffert mais qu'importe
Puisqu'à présent mes peines sont mortes
Car je vois qu'il mène à ta porte
Le chemin de l'éterntité
Tout puissant enfante un orage
Pour qu'un éclair déchire un nuage
M'entrouvant ainsi le passage
Du chemin de l'éternité
Moi pour ne faire aucune souillure
Ne rien salir, je peux si cela te rassure
Sans hésiter ôter mes chaussures
Et les pieds nus
Les mains tendus
Je veux gagner
L'éternité.
Aux froides profondeurs de la Terre
Pour trouver grâce à mes prières
Trébuchant sous l'immense voûte
Tout ruisselant le coeur en déroute
J'ai suivi en cherchant ma route
Le chemin de l'éternité
Déchirant mes mains sur les pierres
Le corps souillé de sang et de terre
J'ai gravi comme un long calvaire
Le chemin de l'éternité
J'ai pleuré, souffert mais qu'importe
Puisqu'à présent mes peines sont mortes
Car je vois qu'il mène à ta porte
Le chemin de l'éterntité
Tout puissant enfante un orage
Pour qu'un éclair déchire un nuage
M'entrouvant ainsi le passage
Du chemin de l'éternité
Moi pour ne faire aucune souillure
Ne rien salir, je peux si cela te rassure
Sans hésiter ôter mes chaussures
Et les pieds nus
Les mains tendus
Je veux gagner
L'éternité.
lunedì 19 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO J'AIME PARIS AU MOIS DE MAI
J'aime Paris au mois de Mai,
Quand les bourgeons renaissent,
D'une nouvelle jeunesse,
S'emparent de la vieille cité,
Qui se met à rayonner,
J'aime Paris au mois de Mai,
Quand l'hiver ne délaisse,
Que le soleil caresse,
Ces vieux toits,
A peine éveillés,
J'aime sentir sur les places,
Dans les rues où je passe,
Ce parfum de muguet que chasse,
Le vent qui passe,
Il me plaît à me promener,
Par les rues qui s'faufilent,
A travers toute la ville,
J'aime Paris au mois de Mai,
J'aime le vent qui m'apporte,
Des bruits de toutes sortes,
Et les potins que l'on colporte,
De portes en portes,
Il me plaît à me promener,
En souriant aux filles,
Dans les rues qui fourmillent,
J'aime,
J'aime Paris au mois de Mai,
J'aime Paris au mois de Mai,
Avec ses bouquinistes,
Et ses aquarellistes,
Que le printemps a ramené,
Comme chaque année le long des quais,
J'aime Paris au mois de Mai,
La Seine qui l'arrose,
Mille peties choses,
Que je ne pourrait expliquer,
J'aime quand la nuit,
Etend la paix sur terre,
Et, que la ville soudain s'éclaire,
De millions de lumières,
Il me plaît à me promener,
Contemplant les vitrines,
La nuit qui me fascine,
J'aime,
J'aime Paris au mois de Mai.
Quand les bourgeons renaissent,
D'une nouvelle jeunesse,
S'emparent de la vieille cité,
Qui se met à rayonner,
J'aime Paris au mois de Mai,
Quand l'hiver ne délaisse,
Que le soleil caresse,
Ces vieux toits,
A peine éveillés,
J'aime sentir sur les places,
Dans les rues où je passe,
Ce parfum de muguet que chasse,
Le vent qui passe,
Il me plaît à me promener,
Par les rues qui s'faufilent,
A travers toute la ville,
J'aime Paris au mois de Mai,
J'aime le vent qui m'apporte,
Des bruits de toutes sortes,
Et les potins que l'on colporte,
De portes en portes,
Il me plaît à me promener,
En souriant aux filles,
Dans les rues qui fourmillent,
J'aime,
J'aime Paris au mois de Mai,
J'aime Paris au mois de Mai,
Avec ses bouquinistes,
Et ses aquarellistes,
Que le printemps a ramené,
Comme chaque année le long des quais,
J'aime Paris au mois de Mai,
La Seine qui l'arrose,
Mille peties choses,
Que je ne pourrait expliquer,
J'aime quand la nuit,
Etend la paix sur terre,
Et, que la ville soudain s'éclaire,
De millions de lumières,
Il me plaît à me promener,
Contemplant les vitrines,
La nuit qui me fascine,
J'aime,
J'aime Paris au mois de Mai.
domenica 18 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO VIVRE AVEC TOI
Avec des mots étranges
Mêlés à notre amour
Avec le même échange
Des joies qui nous entourent
Avec les yeux qui changent
De reflets nuit et jour
Vivre je veux vivre avec toi
Avoir le même empire
Ou les mêmes malheurs
Échangeant des sourires
Ou confondant nos pleurs
Mais partageant le pire
Comme on fait du meilleur
Vivre je veux vivre avec toi
Mêler nos idées
Nos deux coeurs, et nos voix, mon amour
Avoir un seul nom
Un seul sang, un seul toit pour toujours
Avec l'unique envie
D'avoir un seul destin
Et les mêmes folies
Dans ton coeur et le mien
Et traverser la vie
En se tenant la main
Vivre je veux vivre avec toi
Puisque mes jours
Dépourvus de bonheur
Se délivrent
Et s'enivrent
À l'approche de ton coeur
Puisque l'amour
Est vivant de chaleur
Et qu'il crie sa joie
Je veux vivre avec toi
Avec des mots étranges
Mêlés à notre amour
Avec le même échange
Des joies qui nous entourent
Avec les yeux qui changent
De reflets nuit et jour
Vivre je veux vivre avec toi
Avoir le même empire
Ou les mêmes malheurs
Échangeant des sourires
Ou confondant nos pleurs
Mais partageant le pire
Comme on fait du meilleur
Vivre je veux vivre avec toi
Mêler nos idées
Nos deux coeurs, et nos voix, mon amour
Avoir un seul nom
Un seul sang, un seul toit pour toujours
Avec l'unique envie
D'avoir un seul destin
Et les mêmes folies
Dans ton coeur et le mien
Et traverser la vie
En se tenant la main
Vivre je veux vivre avec toi
Mêlés à notre amour
Avec le même échange
Des joies qui nous entourent
Avec les yeux qui changent
De reflets nuit et jour
Vivre je veux vivre avec toi
Avoir le même empire
Ou les mêmes malheurs
Échangeant des sourires
Ou confondant nos pleurs
Mais partageant le pire
Comme on fait du meilleur
Vivre je veux vivre avec toi
Mêler nos idées
Nos deux coeurs, et nos voix, mon amour
Avoir un seul nom
Un seul sang, un seul toit pour toujours
Avec l'unique envie
D'avoir un seul destin
Et les mêmes folies
Dans ton coeur et le mien
Et traverser la vie
En se tenant la main
Vivre je veux vivre avec toi
Puisque mes jours
Dépourvus de bonheur
Se délivrent
Et s'enivrent
À l'approche de ton coeur
Puisque l'amour
Est vivant de chaleur
Et qu'il crie sa joie
Je veux vivre avec toi
Avec des mots étranges
Mêlés à notre amour
Avec le même échange
Des joies qui nous entourent
Avec les yeux qui changent
De reflets nuit et jour
Vivre je veux vivre avec toi
Avoir le même empire
Ou les mêmes malheurs
Échangeant des sourires
Ou confondant nos pleurs
Mais partageant le pire
Comme on fait du meilleur
Vivre je veux vivre avec toi
Mêler nos idées
Nos deux coeurs, et nos voix, mon amour
Avoir un seul nom
Un seul sang, un seul toit pour toujours
Avec l'unique envie
D'avoir un seul destin
Et les mêmes folies
Dans ton coeur et le mien
Et traverser la vie
En se tenant la main
Vivre je veux vivre avec toi
sabato 17 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO PRENDS GARDE À TOI
Prends garde à toi je vais t'aimer
Comme aucune femme n'a jamais pu t'aimer
Prends garde à toi je vais t'avoir
Comme aucune femme n'a jamais pu t'avoir
Je le veux, je le veux
Et tout ce que femme veut
Elle peut
J'ai rêvé toute mon enfance
De pouvoir un jour rencontrer
A un détour de l'existence
Robin des bois, Ivanhoé
Ces hommes forts et invincibles
En toi semble revoir le jour
C'est pourquoi je t'ai pris pour cible
Je vais te décocher l'amour
Prends garde à toi je vais t'aimer
Comme aucune femme n'a jamais pu t'aimer
Prends garde à toi je vais t'avoir
Comme aucune femme n'a jamais pu t'avoir
Je le veux, je le veux
Et tout ce que femme veut
Elle peut
Après la mairie et l'église
Lorsque j'aurai la bague au doigt
Je serai l'épouse soumise
Qui acceptera tout de toi
Car chez nous tu seras le maître
Ayant droit de vie et de mort
Mais au plus petit coup en traître
Ma main t'abattra sans remords
Prends garde à toi je vais t'aimer
Comme aucune femme n'a jamais pu t'aimer
Prends garde à toi je vais t'avoir
Comme aucune femme n'a jamais pu t'avoir
Je le veux, je le veux
Et tout ce que femme veut
Elle peut
Je t'accorde quarante-huit heures
Pour laver tes vieilles passions
Et te mets aussi en demeure
D'enterrer ta vie de garçon
Car pour ce qu'est des aventures
Tu peux mettre une croix dessus
Aujourd'hui c'est la fermeture
De la chasse au gibier charnu
Prends garde à toi je vais t'aimer
Comme aucune femme n'a jamais pu t'aimer
Prends garde à toi je vais t'avoir
Comme aucune femme n'a jamais pu t'avoir
Je le veux, je le veux
Et tout ce que femme veut
Comme aucune femme n'a jamais pu t'aimer
Prends garde à toi je vais t'avoir
Comme aucune femme n'a jamais pu t'avoir
Je le veux, je le veux
Et tout ce que femme veut
Elle peut
J'ai rêvé toute mon enfance
De pouvoir un jour rencontrer
A un détour de l'existence
Robin des bois, Ivanhoé
Ces hommes forts et invincibles
En toi semble revoir le jour
C'est pourquoi je t'ai pris pour cible
Je vais te décocher l'amour
Prends garde à toi je vais t'aimer
Comme aucune femme n'a jamais pu t'aimer
Prends garde à toi je vais t'avoir
Comme aucune femme n'a jamais pu t'avoir
Je le veux, je le veux
Et tout ce que femme veut
Elle peut
Après la mairie et l'église
Lorsque j'aurai la bague au doigt
Je serai l'épouse soumise
Qui acceptera tout de toi
Car chez nous tu seras le maître
Ayant droit de vie et de mort
Mais au plus petit coup en traître
Ma main t'abattra sans remords
Prends garde à toi je vais t'aimer
Comme aucune femme n'a jamais pu t'aimer
Prends garde à toi je vais t'avoir
Comme aucune femme n'a jamais pu t'avoir
Je le veux, je le veux
Et tout ce que femme veut
Elle peut
Je t'accorde quarante-huit heures
Pour laver tes vieilles passions
Et te mets aussi en demeure
D'enterrer ta vie de garçon
Car pour ce qu'est des aventures
Tu peux mettre une croix dessus
Aujourd'hui c'est la fermeture
De la chasse au gibier charnu
Prends garde à toi je vais t'aimer
Comme aucune femme n'a jamais pu t'aimer
Prends garde à toi je vais t'avoir
Comme aucune femme n'a jamais pu t'avoir
Je le veux, je le veux
Et tout ce que femme veut
venerdì 16 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO APRES L'AMOUR
Nous nous sommes aimés,
Nos joies se sont offertes,
Et nos coeurs ont battu,
Poussés par cet instinct,
Qui unit les amants en se fichant du reste,
Tu glisses tes doigts par ma chemise entrouverte,
Et pose sur ma peau,
La paume de ta main,
Et les yeux mi-clos nous restons,
Sans dire un mot,
Sans faire un geste,
Après l'amour,
Quand nos corps se détendent,
Après l'amour,
Quand nos souffles sont courts,
Nous restons étendus,
Toi et moi,
Presques nus,
Heureux, sans rien dire,
Eclairés d'un même sourire,
Après l'amour,
Nous ne formons qu'un être,
Après l'amour,
Quand nos membres sont lourds,
Au sein des draps froissés,
Nous restons enlassés,
Après l'amour,
Au creux du jour,
Pour rêver .
Nos joies se sont offertes,
Et nos coeurs ont battu,
Poussés par cet instinct,
Qui unit les amants en se fichant du reste,
Tu glisses tes doigts par ma chemise entrouverte,
Et pose sur ma peau,
La paume de ta main,
Et les yeux mi-clos nous restons,
Sans dire un mot,
Sans faire un geste,
Après l'amour,
Quand nos corps se détendent,
Après l'amour,
Quand nos souffles sont courts,
Nous restons étendus,
Toi et moi,
Presques nus,
Heureux, sans rien dire,
Eclairés d'un même sourire,
Après l'amour,
Nous ne formons qu'un être,
Après l'amour,
Quand nos membres sont lourds,
Au sein des draps froissés,
Nous restons enlassés,
Après l'amour,
Au creux du jour,
Pour rêver .
giovedì 15 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO ON NE SAIT JAMAIS
On sait jamais
Comment l'amour vient aux amants
Comment il fait ou il s'y prend
Pour nous tenir dans ses filets
Mais tout à coup c'est merveilleux
Il y a des larmes plein nos joies
Des caresses au bout de nos doigts
Et des rêves au fond de nos yeux
On ne sait jamais
Mais pourquoi chercher à savoir
Nul n'a jamais eu ce pouvoir
On oublie tout quand l'amour naît
Plus rien ne peut nous retenir
Et fou d'amour et de désir
On se dit tant pis
Si l'on ne sait jamais
On ne sait jamais
Qaund on est pris par le bonheur
Si c'est l'esprit ou bien le coeur
Qui nous apporte ce bienfait
On a confiance en l'avenir
C'est à la vie comme à la mort
Et tant pis si l'on a eu tort
On met ça dans les souvenirs
On ne sait jamais
Et l'on se fiche éperdument
Du qui, du quoi, et du comment
On est heureux comme l'on est
Plus rien ne compte à notre vue
Que ce bonheur à coeur perdu
Qui nous dit
Tant pis
Si l'on ne sait jamais
On ne sait jamais
L'amour fait de nous ce qu'il veut
On est heureux ou malheureux
Tout est parfait ou rien n'est vrai
Parfois il reprend d'une main
Ce que de l'autre il a donné
Mais quand tout semble s'écrouler
Lorsque l'on croit n'avoir rien
On ne sait jamais
Nos yeux sont à peine séchés
Qu'un autre amour vient à s'annoncer
Et tout est à recommencer
On est fébrile et haletant
A chaque fois comme à vingt ans
Nous faisons toujours d'autres folies
Au cours de notre vie
Tout ça parc'qu'on ne sait jamais.
Comment l'amour vient aux amants
Comment il fait ou il s'y prend
Pour nous tenir dans ses filets
Mais tout à coup c'est merveilleux
Il y a des larmes plein nos joies
Des caresses au bout de nos doigts
Et des rêves au fond de nos yeux
On ne sait jamais
Mais pourquoi chercher à savoir
Nul n'a jamais eu ce pouvoir
On oublie tout quand l'amour naît
Plus rien ne peut nous retenir
Et fou d'amour et de désir
On se dit tant pis
Si l'on ne sait jamais
On ne sait jamais
Qaund on est pris par le bonheur
Si c'est l'esprit ou bien le coeur
Qui nous apporte ce bienfait
On a confiance en l'avenir
C'est à la vie comme à la mort
Et tant pis si l'on a eu tort
On met ça dans les souvenirs
On ne sait jamais
Et l'on se fiche éperdument
Du qui, du quoi, et du comment
On est heureux comme l'on est
Plus rien ne compte à notre vue
Que ce bonheur à coeur perdu
Qui nous dit
Tant pis
Si l'on ne sait jamais
On ne sait jamais
L'amour fait de nous ce qu'il veut
On est heureux ou malheureux
Tout est parfait ou rien n'est vrai
Parfois il reprend d'une main
Ce que de l'autre il a donné
Mais quand tout semble s'écrouler
Lorsque l'on croit n'avoir rien
On ne sait jamais
Nos yeux sont à peine séchés
Qu'un autre amour vient à s'annoncer
Et tout est à recommencer
On est fébrile et haletant
A chaque fois comme à vingt ans
Nous faisons toujours d'autres folies
Au cours de notre vie
Tout ça parc'qu'on ne sait jamais.
mercoledì 14 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO SUR MA VIE
Sur ma vie,
Je t'ai juré un jour,
De t'aimer,
Jusqu'au dernier jour,
De mes jours.
Et le même mot,
Devait très bientôt,
Nous unir devant Dieu,
Et les hommes.
Sur ma vie,
Je t'ai fait le serment,
Que ce lien tiendrait,
Jusqu'à la fin des temps,
Ainsi nous vivions,
Ivres de passion,
Et mon coeur voulait t'offrir mon nom,
Près des orgues qui chantaient,
Face à Dieu qui priait,
Heureux, je t'attendais,
Mais les orgues se sont tus,
Et Dieu a disparut,
Car, tu n'es pas venue.
Sur ma vie,
J'ai juré que mon coeur,
Ne battrais jamais,
Pour aucun autre coeur,
Et tout est perdu,
Car il ne bat plus,
Mais il pleure,
Mon amour déçu.
Sur ma vie,
Je t'ai juré un jour,
De t'aimer jusqu'au,
Dernier jour de mes jours,
Et même à présent je tiendrais serment,
Malgré tout le mal,
Que tu m'as fait,
Sur ma vie,
Chérie,
Je t'aimerais.
Je t'ai juré un jour,
De t'aimer,
Jusqu'au dernier jour,
De mes jours.
Et le même mot,
Devait très bientôt,
Nous unir devant Dieu,
Et les hommes.
Sur ma vie,
Je t'ai fait le serment,
Que ce lien tiendrait,
Jusqu'à la fin des temps,
Ainsi nous vivions,
Ivres de passion,
Et mon coeur voulait t'offrir mon nom,
Près des orgues qui chantaient,
Face à Dieu qui priait,
Heureux, je t'attendais,
Mais les orgues se sont tus,
Et Dieu a disparut,
Car, tu n'es pas venue.
Sur ma vie,
J'ai juré que mon coeur,
Ne battrais jamais,
Pour aucun autre coeur,
Et tout est perdu,
Car il ne bat plus,
Mais il pleure,
Mon amour déçu.
Sur ma vie,
Je t'ai juré un jour,
De t'aimer jusqu'au,
Dernier jour de mes jours,
Et même à présent je tiendrais serment,
Malgré tout le mal,
Que tu m'as fait,
Sur ma vie,
Chérie,
Je t'aimerais.
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martedì 13 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO MON AMOUR PROTÈGE-MOI
Quand tu vois que la vie me dépasse
Que je me crois perdu malgré toi
Et qu'en mon coeur naissent les angoisses
Mon amour, protège-moi
Quand tu vois que je pleure en silence
Serre-moi fort très fort contre toi
Sèche mes larmes et par ta présence
Mon amour, protège-moi
Calme-moi
En caressant mon front
Grise-moi
En répétant mon nom
Parle-moi
Et par tes mots d'amour
Viens mon amour
A mon secours
Et donne-moi la force, si tu m'aimes
Pour écraser la peur qui monte en moi
Contre la vie, contre les gens, contre nous-mêmes
Mon amour, protège-moi
Calme-moi
Et par tes mots d'amour
Viens mon amour
A mon secours
Et donne-moi la force, si tu m'aimes
Pour écraser la peur qui monte en moi
Contre la vie, contre les gens, contre nous-mêmes
Mon amour, protège-moi
Que je me crois perdu malgré toi
Et qu'en mon coeur naissent les angoisses
Mon amour, protège-moi
Quand tu vois que je pleure en silence
Serre-moi fort très fort contre toi
Sèche mes larmes et par ta présence
Mon amour, protège-moi
Calme-moi
En caressant mon front
Grise-moi
En répétant mon nom
Parle-moi
Et par tes mots d'amour
Viens mon amour
A mon secours
Et donne-moi la force, si tu m'aimes
Pour écraser la peur qui monte en moi
Contre la vie, contre les gens, contre nous-mêmes
Mon amour, protège-moi
Calme-moi
Et par tes mots d'amour
Viens mon amour
A mon secours
Et donne-moi la force, si tu m'aimes
Pour écraser la peur qui monte en moi
Contre la vie, contre les gens, contre nous-mêmes
Mon amour, protège-moi
lunedì 12 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO J'EN DEDUIS QUE JE T'AIME
Par la peur de te perdre,
Et de ne plus te voir,
Par ces mondes incensés,
Qui grouillent dans ma tête,
Par ces nuits sans sommeil,
Où la folie me guette,
Quand le doute m'effleure,
Et tend mon coeur de noir.
J'en déduis que je t'aime,
J'en déduis que je t'aime.
Par le temps que je prends,
Pour ne penser qu'à toi,
Par mes règnes de jour,
Où tu règnes en idole,
Par ton corps désiré,
De mon corps qui s'affole,
Et l'angoisse à l'idée,
Que tu te joues de moi,
J'en déduis que je t'aime,
J'en déduis que je t'aime.
Par, le froid qui m'étreinds,
Lorsque je t'apperçois,
Par mon souffle coupé,
Et mon sang qui se glasse,
Par la désolation,
Qui réduit mon espace,
Et le mal,
Que souvent tu me fais,
Malgré toi.
Par la contradiction,
De ma tête et mon coeur,
Par mes vingt ans perdus,
Qu'en toi, je réalise,
Par tes regards lointains,
Qui parfois me suffisent,
Et me font espérer,
En quelques jours meilleurs,
J'en déduis que je t'aime,
J'en déduis que je t'aime,
Par, l'idée que la fin,
Pourrait être un début,
Par mes joies éventrées,
Par ton indifférence,
Par tous les mots d'amour,
Qui restent en souffrnce,
Puique de te les dire,
Est pour moi défendu.
J'endéduis que je t'aime,
J'en déduis,
Mon amour.
Et de ne plus te voir,
Par ces mondes incensés,
Qui grouillent dans ma tête,
Par ces nuits sans sommeil,
Où la folie me guette,
Quand le doute m'effleure,
Et tend mon coeur de noir.
J'en déduis que je t'aime,
J'en déduis que je t'aime.
Par le temps que je prends,
Pour ne penser qu'à toi,
Par mes règnes de jour,
Où tu règnes en idole,
Par ton corps désiré,
De mon corps qui s'affole,
Et l'angoisse à l'idée,
Que tu te joues de moi,
J'en déduis que je t'aime,
J'en déduis que je t'aime.
Par, le froid qui m'étreinds,
Lorsque je t'apperçois,
Par mon souffle coupé,
Et mon sang qui se glasse,
Par la désolation,
Qui réduit mon espace,
Et le mal,
Que souvent tu me fais,
Malgré toi.
Par la contradiction,
De ma tête et mon coeur,
Par mes vingt ans perdus,
Qu'en toi, je réalise,
Par tes regards lointains,
Qui parfois me suffisent,
Et me font espérer,
En quelques jours meilleurs,
J'en déduis que je t'aime,
J'en déduis que je t'aime,
Par, l'idée que la fin,
Pourrait être un début,
Par mes joies éventrées,
Par ton indifférence,
Par tous les mots d'amour,
Qui restent en souffrnce,
Puique de te les dire,
Est pour moi défendu.
J'endéduis que je t'aime,
J'en déduis,
Mon amour.
domenica 11 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO GOSSE DE PARIS
Gosse de Paris
Pour s'embrasser
Nous n'avions pas de chambre
Pas de sous
Pas même un lit
Même cassé
Juste un coin d'herbe verte
Loin de tout
Mais c'était là que dans la nuit
Nous entendions crier les grands trains fous
Courant vers l'inconnu, courant sans nous
En emportant nos coeurs jusqu'aux îles
Gosse de Paris
On a pleuré
Sur le quai d'une gare
Mon amie
En dénouant
Nos mains, serrées
Sur toute une romance
De Paris
J'aurai pas dû m'en aller
J'aurai pas dû te laisser
Il fallait nous contenter
D'un bonheur de quatre sous
Rien qu'à toi
Rien qu'à moi
Rien qu'à nous
Tu sais
Gosse de Paris
C'était promis
Ni mon coeur
Ni mes lèvres
N'ont menti
Si je ne t'ai jamais écrit
C'est que la bonne étoile
M'a trahie
Crois moi j'ai fait ce que j'ai pu
Mais nous ne verrons pas l'île au trésor
Bien trop d'années me sont tombés dessus
Trop de temps loin de toi mais qu'importe
Gosse de Paris
Gosse de ma rue
Ombre parmi les ombres
Du faubourg
Je t'aime encore
Amie perdue
De ma première enfance
Mon amour
Pour s'embrasser
Nous n'avions pas de chambre
Pas de sous
Pas même un lit
Même cassé
Juste un coin d'herbe verte
Loin de tout
Mais c'était là que dans la nuit
Nous entendions crier les grands trains fous
Courant vers l'inconnu, courant sans nous
En emportant nos coeurs jusqu'aux îles
Gosse de Paris
On a pleuré
Sur le quai d'une gare
Mon amie
En dénouant
Nos mains, serrées
Sur toute une romance
De Paris
J'aurai pas dû m'en aller
J'aurai pas dû te laisser
Il fallait nous contenter
D'un bonheur de quatre sous
Rien qu'à toi
Rien qu'à moi
Rien qu'à nous
Tu sais
Gosse de Paris
C'était promis
Ni mon coeur
Ni mes lèvres
N'ont menti
Si je ne t'ai jamais écrit
C'est que la bonne étoile
M'a trahie
Crois moi j'ai fait ce que j'ai pu
Mais nous ne verrons pas l'île au trésor
Bien trop d'années me sont tombés dessus
Trop de temps loin de toi mais qu'importe
Gosse de Paris
Gosse de ma rue
Ombre parmi les ombres
Du faubourg
Je t'aime encore
Amie perdue
De ma première enfance
Mon amour
sabato 10 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO JE TE DONNERAI
Je te donnerai
A chaque seconde
Tout l'amour du monde
Qui sommeille en moi
Je te donnerai
Toutes les richesses
Que notre jeunesse
Garde au fond de soi
Cela simplement
Pour avoir encore
Ton âme et ton corps
Jusqu'au bout du temps
Notre vie, je sais
Fera sa fortune
Des joies qu'une à une
Je te donnerai
Je te donnerai
Pour nos nuits en fièvre
Des mots que tes lèvres
Me diront tout bas
Je te donnerai
Des instants de gloire
Des cris de victoire
Quand on s'aimera
Pour que le bonheur
Se colle à ma vie
J'aurai du génie
Pour combler ton coeur
Notre amour parfais
Sera magnifique
Car c'est fantastique
Ce que je te donnerai
A chaque seconde
Tout l'amour du monde
Qui sommeille en moi
Je te donnerai
Toutes les richesses
Que notre jeunesse
Garde au fond de soi
Cela simplement
Pour avoir encore
Ton âme et ton corps
Jusqu'au bout du temps
Notre vie, je sais
Fera sa fortune
Des joies qu'une à une
Je te donnerai
Je te donnerai
Pour nos nuits en fièvre
Des mots que tes lèvres
Me diront tout bas
Je te donnerai
Des instants de gloire
Des cris de victoire
Quand on s'aimera
Pour que le bonheur
Se colle à ma vie
J'aurai du génie
Pour combler ton coeur
Notre amour parfais
Sera magnifique
Car c'est fantastique
Ce que je te donnerai
venerdì 9 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO JE N'PEUX PAS RENTRER CHEZ MOI
Je ne peux pas rentrer chez moi
Car mon passé y est déjà
Dès que j'ouvre la porte
Il me vient me faire escorte
Et me suit partout pas à pas
Me parlant sans cesse à mi-voix
Me montrant les choses du doigt
Et comme j'appréhende
Sa présence obsédente
Je ne peux pas rentrer chez moi
Les gens me dévisagent
S'appitoient
D'autres au passages
Rient de moi
On me bouscule
On me bafoue
Mais je l'avoue
Après tout je m'en fous
Que m'importe ces inconnus
Je vais sans espoir et sans but
Mon coeur est en faillite
Ma peine est sans limite
Je ne peux pas rentrer chez moi
Je ne peux pas rentrer chez moi
Plus rien ne m'attire là-bas
Et de la solitude
N'ayant pas l'habitude
J'aime mieux traîner çà et là
Le monde entier est contre moi
Le grand lit pour deux est trop froid
Quand tout seul je m'y vautre
Elle est avec un autre
Je ne peux pas rentrer chez moi
De un moment de haine
J'ai jeté
Au fond de la Seine
Cette clef
Qu'était la chaîne entre elle et moi
Pour qu'elle s'y noie
Comme moi je me noie
Dans l'alcool que j'prends dans les bars
Pour surmonter mon désespoir
Et l'on verse en mon verre
Du bonheur éphémère
Qui créé en moi de fausses joies
Je ne peux pas rentrer chez moi
Je voudrais bien rentrer chez nous
Pour sentir ses bras sur mon cou
Etouffer ma colère
Ecarter ma misère
Sécher mes larmes sur ses joues
Je voudrais bien rentrer chez nous.
Car mon passé y est déjà
Dès que j'ouvre la porte
Il me vient me faire escorte
Et me suit partout pas à pas
Me parlant sans cesse à mi-voix
Me montrant les choses du doigt
Et comme j'appréhende
Sa présence obsédente
Je ne peux pas rentrer chez moi
Les gens me dévisagent
S'appitoient
D'autres au passages
Rient de moi
On me bouscule
On me bafoue
Mais je l'avoue
Après tout je m'en fous
Que m'importe ces inconnus
Je vais sans espoir et sans but
Mon coeur est en faillite
Ma peine est sans limite
Je ne peux pas rentrer chez moi
Je ne peux pas rentrer chez moi
Plus rien ne m'attire là-bas
Et de la solitude
N'ayant pas l'habitude
J'aime mieux traîner çà et là
Le monde entier est contre moi
Le grand lit pour deux est trop froid
Quand tout seul je m'y vautre
Elle est avec un autre
Je ne peux pas rentrer chez moi
De un moment de haine
J'ai jeté
Au fond de la Seine
Cette clef
Qu'était la chaîne entre elle et moi
Pour qu'elle s'y noie
Comme moi je me noie
Dans l'alcool que j'prends dans les bars
Pour surmonter mon désespoir
Et l'on verse en mon verre
Du bonheur éphémère
Qui créé en moi de fausses joies
Je ne peux pas rentrer chez moi
Je voudrais bien rentrer chez nous
Pour sentir ses bras sur mon cou
Etouffer ma colère
Ecarter ma misère
Sécher mes larmes sur ses joues
Je voudrais bien rentrer chez nous.
giovedì 8 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO DE VILLE EN VILLE
De ville en ville m'en suis allé
En enlaçant les filles
Les filles que j'ai rencontrées
Et j'ai trouvées gentilles
Et j'ai promené mes vingt ans
De par le vaste monde
Et j'ai fané plus d'un printemps
Qu'elles soient brunes ou blondes
J'ai goûté de chaque pays
Le vin et les caresses
Puis m'en suis venu à Paris
Dépenser ma jeunesse
Le parfum de chaque carrefour
M'a mis le coeur en fête
Avec Paris j'ai fait l'amour
Qui m'a tourné la tête
Alors j'ai perdu la raison
Comme pour une maîtresse
Paris m'a fait goûter le fond
De nouvelles ivresses
Dans les rues j'allais en chantant
Sans avoir un centime
Et j'ai vécu de l'air du temps
Que Paris offre en prime
A ma mort je veux mes amis
Que l'on me porte en terre
Dans les flancs même de Paris
Pour goûter à sa chair
Dans son coeur je veux reposer
Comme dans le lit d'une blonde
Pour que Paris puisse me garder
Jusqu'à la fin du monde.
En enlaçant les filles
Les filles que j'ai rencontrées
Et j'ai trouvées gentilles
Et j'ai promené mes vingt ans
De par le vaste monde
Et j'ai fané plus d'un printemps
Qu'elles soient brunes ou blondes
J'ai goûté de chaque pays
Le vin et les caresses
Puis m'en suis venu à Paris
Dépenser ma jeunesse
Le parfum de chaque carrefour
M'a mis le coeur en fête
Avec Paris j'ai fait l'amour
Qui m'a tourné la tête
Alors j'ai perdu la raison
Comme pour une maîtresse
Paris m'a fait goûter le fond
De nouvelles ivresses
Dans les rues j'allais en chantant
Sans avoir un centime
Et j'ai vécu de l'air du temps
Que Paris offre en prime
A ma mort je veux mes amis
Que l'on me porte en terre
Dans les flancs même de Paris
Pour goûter à sa chair
Dans son coeur je veux reposer
Comme dans le lit d'une blonde
Pour que Paris puisse me garder
Jusqu'à la fin du monde.
mercoledì 7 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO J'AI APPRIS ALORS
Je n'ai jamais connu mon père
On dit que ma mère non plus
Aussi j'ai grandi sans manière
Sans que personne ne m'ait reconnu
Enfant je fauchais aux étalages
Ce que ma mère ne pouvait m'acheter
Il faut bien manger à tout âge
J'ai appris alors à tricher
A quinze ans au marché au puces
J'ai reçu un grand choc au coeur
Une fille qu'avait seize ans au plus
Et balancée comme le bonheur
Je la guettais au coin de la rue
Rien que pour la regarder passer
Elle avait une mine ingénue
J'ai appris alors à rêver
Un jour fatigué de la suivre
Je lui ai parlé simplement
En ce cas-là ce qui arrive
Est arrivé évidemment
On s'est fait des milliers de promesses
Se jurant de toujours s'aimer
Et quand j'ai cueilli sa jeunesse
J'ai appris alors à chanter
Mais elle est partie sans rien dire
Un matin je ne sais pourquoi
Je suis resté là à sourire
Dieu que l'on est bête parfois
Jour après jour, heure après heure
J'ai appris ce qu'était pleurer
Et comme son souvenir demeure
Faut que j'apprenne à oublier
On dit que ma mère non plus
Aussi j'ai grandi sans manière
Sans que personne ne m'ait reconnu
Enfant je fauchais aux étalages
Ce que ma mère ne pouvait m'acheter
Il faut bien manger à tout âge
J'ai appris alors à tricher
A quinze ans au marché au puces
J'ai reçu un grand choc au coeur
Une fille qu'avait seize ans au plus
Et balancée comme le bonheur
Je la guettais au coin de la rue
Rien que pour la regarder passer
Elle avait une mine ingénue
J'ai appris alors à rêver
Un jour fatigué de la suivre
Je lui ai parlé simplement
En ce cas-là ce qui arrive
Est arrivé évidemment
On s'est fait des milliers de promesses
Se jurant de toujours s'aimer
Et quand j'ai cueilli sa jeunesse
J'ai appris alors à chanter
Mais elle est partie sans rien dire
Un matin je ne sais pourquoi
Je suis resté là à sourire
Dieu que l'on est bête parfois
Jour après jour, heure après heure
J'ai appris ce qu'était pleurer
Et comme son souvenir demeure
Faut que j'apprenne à oublier
martedì 6 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO SUR LA TABLE
Nous avions tous deux
Un rendez-vous amoureux
Mercredi à huit heures
Dans ma demeure
Où
Il y avait sur une nappe blanche brodée
Il y avait du caviar sur des toasts beurrés
Il y avait du pain bis, des hors d'oeuvres variés
Il y avait un faisan rôti sur canapé
Il y avait un magnum de champagne frappé
Éclairé par quatre bougies allumées
Sur la table
Il y avait du fromage, des fruits, des sablés
Il y avait quelques liqueurs et du café
Du Brésil
Le temps a passé
Et quand minuit a sonné
J'avais si faim vraiment
Que bêtement
Oui
Attablé seul devant ta place inoccupée
J'ai mangé le caviar sur les toasts beurrés
J'ai mangé
Le pain bis, les hors d'oeuvres variés
J'ai mangé le faisan rôti sur canapé
J'ai vidé le magnum de champagne frappé
Éclairé par quatre bougies allumées
Sur la table
J'ai mangé le fromage, les fruits, les sablés
Arrosés par la liqueur et le café
Du Brésil
Te trompant de jour
Le lendemain mon amour
Quand tu vins à huit heures
Dans ma demeure
Où
Il restait sur une nappe blanche tachée
Il restait les reliefs d'un repas consommé
Le caviar, les hors d'oeuvres s'étaient envolés
Le faisan n'était qu'un petit tas d'os rongés
Le magnum avait un aire de fête passée
Les bougies étaient tordues et consumées
Sur la table
Il restait quelques fruits, des miettes de sablés,
La liqueur et le café qu'étaient glacés
Du Brésil
Je n'avais plus rien
Et pour tromper notre faim
Nous avons décidé
De nous aimer
Un rendez-vous amoureux
Mercredi à huit heures
Dans ma demeure
Où
Il y avait sur une nappe blanche brodée
Il y avait du caviar sur des toasts beurrés
Il y avait du pain bis, des hors d'oeuvres variés
Il y avait un faisan rôti sur canapé
Il y avait un magnum de champagne frappé
Éclairé par quatre bougies allumées
Sur la table
Il y avait du fromage, des fruits, des sablés
Il y avait quelques liqueurs et du café
Du Brésil
Le temps a passé
Et quand minuit a sonné
J'avais si faim vraiment
Que bêtement
Oui
Attablé seul devant ta place inoccupée
J'ai mangé le caviar sur les toasts beurrés
J'ai mangé
Le pain bis, les hors d'oeuvres variés
J'ai mangé le faisan rôti sur canapé
J'ai vidé le magnum de champagne frappé
Éclairé par quatre bougies allumées
Sur la table
J'ai mangé le fromage, les fruits, les sablés
Arrosés par la liqueur et le café
Du Brésil
Te trompant de jour
Le lendemain mon amour
Quand tu vins à huit heures
Dans ma demeure
Où
Il restait sur une nappe blanche tachée
Il restait les reliefs d'un repas consommé
Le caviar, les hors d'oeuvres s'étaient envolés
Le faisan n'était qu'un petit tas d'os rongés
Le magnum avait un aire de fête passée
Les bougies étaient tordues et consumées
Sur la table
Il restait quelques fruits, des miettes de sablés,
La liqueur et le café qu'étaient glacés
Du Brésil
Je n'avais plus rien
Et pour tromper notre faim
Nous avons décidé
De nous aimer
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lunedì 5 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO BAL DU FAUBOURG
Bal du faubourg
Valse d'amour
Bonheur du jour
Bal populaire
Valse légère
Un brin de coeur
Comme les gamins
Les amoureux
Main dans la main
S'en vont par deux
Et c'est le suprême aveu
Bal du faubourg
Valse d'amour
Beaucoup trop court
Bal populaire
Joie de la terre
Heureux parcours
Baisers fiévreux
Ou l'on se ment
Mais pris au jeu
On de vient amants
Au bal du faubourg
Gai tourbillon
Tournons, tournons
Au coin de cette rue
L'orchestre joue
Et joue à joue
Les couples évoluent
Tout en valsant heureux et transportés
Se donnant un baiser, puis se laissant griser
Tendrement ils s'enfuient
Dans la nuit
Et l'on revient
Au petit matin
L'âme est un peu chagrine
On danse encore
Le bal s'endort
La fête se termine
Il faut se quitter le coeur est chaviré
On se tient enlacé on veut encore valser
Arrêter les instants
Et le temps
Bal du faubourg
Valsez toujours
Regrets d'amour
Bal populaire
Rêve éphémère
Le coeur est lourd
Triste destin
Pleurs dans les yeux
Car au matin
Fini le jeu
Et c'est le suprême adieu
Bal du faubourg
Ou sans discours
Finit l'amour
Bal populaire
Les coeurs se serrent
Le rêve est court
On reprend sa vie
Plein de rancoeur
Car on a laissé
Son bonheur
Au bal du faubourg
Valse d'amour
Bonheur du jour
Bal populaire
Valse légère
Un brin de coeur
Comme les gamins
Les amoureux
Main dans la main
S'en vont par deux
Et c'est le suprême aveu
Bal du faubourg
Valse d'amour
Beaucoup trop court
Bal populaire
Joie de la terre
Heureux parcours
Baisers fiévreux
Ou l'on se ment
Mais pris au jeu
On de vient amants
Au bal du faubourg
Gai tourbillon
Tournons, tournons
Au coin de cette rue
L'orchestre joue
Et joue à joue
Les couples évoluent
Tout en valsant heureux et transportés
Se donnant un baiser, puis se laissant griser
Tendrement ils s'enfuient
Dans la nuit
Et l'on revient
Au petit matin
L'âme est un peu chagrine
On danse encore
Le bal s'endort
La fête se termine
Il faut se quitter le coeur est chaviré
On se tient enlacé on veut encore valser
Arrêter les instants
Et le temps
Bal du faubourg
Valsez toujours
Regrets d'amour
Bal populaire
Rêve éphémère
Le coeur est lourd
Triste destin
Pleurs dans les yeux
Car au matin
Fini le jeu
Et c'est le suprême adieu
Bal du faubourg
Ou sans discours
Finit l'amour
Bal populaire
Les coeurs se serrent
Le rêve est court
On reprend sa vie
Plein de rancoeur
Car on a laissé
Son bonheur
Au bal du faubourg
domenica 4 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO L'AMOUR À FAIT DE MOI
J'entendais de puis mon jeune âge
Mon papa qui me disait
Prends bien garde aux femmes volages
À l'amour et ses attraits
J'avais ça dans la mémoire
Je me croyais le plus fort
Mais depuis hier quelle histoire
J'ai changé mon sort
L'amour a fait de moi un amoureux madame
Madame
L'amour a fait de moi c'est merveilleux madame
Madame
Il a fait de moi tout ce qu'il a voulu
Quand j'y pense je ne me reconnais plus
Non plus
L'amour a fait de moi votre valet madame
Madame
L'amour a fait de moi un adepte de plus
Qui se promène simplement en rêvant dans les rues
L'amour a fait de moi un amoureux de plus
Je vais comme un somnambule
Répétant votre prénom
Les passants que je bouscule me disent
"Alors quoi faites attention"
Je ne sais ce qu'il se passe
Je crois vous voir à chaque pas
Et les femmes que j'embrasse
Je ne les reconnais pas
L'amour a fait de moi un amoureux madame
Madame
L'amour a fait de moi c'est merveilleux madame
Ahh... madame
Il a fait de moi tout tout tout ce qu'il a voulu
Quand j'y pense je ne me reconnais plus
Non plus
L'amour a fait de moi votre valet madame
L'amour a fait de moi un adepte de plus
Qui se promène simplement en rêvant dans les rues
L'amour a fait de moi... oui
L'amour a fait de moi... ah
L'amour a fait de moi
Un amant plein de joies
Mon papa qui me disait
Prends bien garde aux femmes volages
À l'amour et ses attraits
J'avais ça dans la mémoire
Je me croyais le plus fort
Mais depuis hier quelle histoire
J'ai changé mon sort
L'amour a fait de moi un amoureux madame
Madame
L'amour a fait de moi c'est merveilleux madame
Madame
Il a fait de moi tout ce qu'il a voulu
Quand j'y pense je ne me reconnais plus
Non plus
L'amour a fait de moi votre valet madame
Madame
L'amour a fait de moi un adepte de plus
Qui se promène simplement en rêvant dans les rues
L'amour a fait de moi un amoureux de plus
Je vais comme un somnambule
Répétant votre prénom
Les passants que je bouscule me disent
"Alors quoi faites attention"
Je ne sais ce qu'il se passe
Je crois vous voir à chaque pas
Et les femmes que j'embrasse
Je ne les reconnais pas
L'amour a fait de moi un amoureux madame
Madame
L'amour a fait de moi c'est merveilleux madame
Ahh... madame
Il a fait de moi tout tout tout ce qu'il a voulu
Quand j'y pense je ne me reconnais plus
Non plus
L'amour a fait de moi votre valet madame
L'amour a fait de moi un adepte de plus
Qui se promène simplement en rêvant dans les rues
L'amour a fait de moi... oui
L'amour a fait de moi... ah
L'amour a fait de moi
Un amant plein de joies
sabato 3 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO SA JEUNESSE
Lorsque l'on tient,
Entre ses mains,
Cette richesse,
Avoir vingt ans,
Des lendemains pleins,
De promesses,
Quand l'amour,
Sur nous,
Se penche,
Pour nous offrir,
Ses nuits blanches,
Lorsque l'on voit,
Loin devant soi,
Rire la vie.
Brodée l'espoir,
Riche de joies,
Et de folies,
Il faut boire jusqu'à l'ivresse,
Sa jeunesse.
Car,
Tous les instants,
De nos vingts ans,
Nous sont comptés,
Et, jamais plus,
Le temps perdu,
Ne nous fait face,
Il passe,
Souvent en vain,
On tend les mains,
Et l'on regrette,
Il est trop tard,
Sur son chemin rien ne l'arrête,
On ne peut garder sans cesse,
Sa jeunesse.
Avant que de sourire,
Et nous quittons l'enfance,
Avant que de savoir,
La jeunesse s'enfuit,
Cela semble si court,
Que l'on est tout surpris,
Qu'avant que de comprendre,
On quitte l'existance.
Lorsque l'on tient,
Entre ses mains,
Cette richesse,
Avoir vingt ans,
Des lendemains pleins,
De promesses,
Quand l'amour,
Sur nous,
Se penche,
Pour nous offrir,
Ses nuits blanches,
Lorsque l'on voit,
Loin devant soi,
Rire la vie.
Brodée l'espoir,
Riche de joies,
Et de folies,
Il faut boire jusqu'à l'ivresse,
Sa jeunesse.
Car,
Tous les instants,
De nos vingts ans,
Nous sont comptés,
Et, jamais plus,
Le temps perdu,
Ne nous fait face,
Il passe,
Souvent en vain,
On tend les mains,
Et l'on regrette,
Il est trop tard,
Sur son chemin rien ne l'arrête,
On ne peut garder sans cesse,
Sa jeunesse.
Entre ses mains,
Cette richesse,
Avoir vingt ans,
Des lendemains pleins,
De promesses,
Quand l'amour,
Sur nous,
Se penche,
Pour nous offrir,
Ses nuits blanches,
Lorsque l'on voit,
Loin devant soi,
Rire la vie.
Brodée l'espoir,
Riche de joies,
Et de folies,
Il faut boire jusqu'à l'ivresse,
Sa jeunesse.
Car,
Tous les instants,
De nos vingts ans,
Nous sont comptés,
Et, jamais plus,
Le temps perdu,
Ne nous fait face,
Il passe,
Souvent en vain,
On tend les mains,
Et l'on regrette,
Il est trop tard,
Sur son chemin rien ne l'arrête,
On ne peut garder sans cesse,
Sa jeunesse.
Avant que de sourire,
Et nous quittons l'enfance,
Avant que de savoir,
La jeunesse s'enfuit,
Cela semble si court,
Que l'on est tout surpris,
Qu'avant que de comprendre,
On quitte l'existance.
Lorsque l'on tient,
Entre ses mains,
Cette richesse,
Avoir vingt ans,
Des lendemains pleins,
De promesses,
Quand l'amour,
Sur nous,
Se penche,
Pour nous offrir,
Ses nuits blanches,
Lorsque l'on voit,
Loin devant soi,
Rire la vie.
Brodée l'espoir,
Riche de joies,
Et de folies,
Il faut boire jusqu'à l'ivresse,
Sa jeunesse.
Car,
Tous les instants,
De nos vingts ans,
Nous sont comptés,
Et, jamais plus,
Le temps perdu,
Ne nous fait face,
Il passe,
Souvent en vain,
On tend les mains,
Et l'on regrette,
Il est trop tard,
Sur son chemin rien ne l'arrête,
On ne peut garder sans cesse,
Sa jeunesse.
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venerdì 2 aprile 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO MERCI MON DIEU
Pour ces désirs qui nous inondent
Et se traduisent peu à peu
En des instants de fin du monde
Merci mon Dieu
Pour ce destin que l'on se forge
Avec des larmes au fond des yeux
Et des joies qui prennent à la gorge
Merci mon Dieu
Mon coeur s'en allait en déroute
De lendemains en lendemains
Quand tu m'as éclairé la route
Et montré le chemin
Celui de l'espoir qui délivre
Et remplace les songes creux
Par une folle envie de vivre
Merci mon Dieu
L'amour que tu as conçu
Pour nos âmes solitaires
Fait que nos regards perdus
Sont ruisselants de lumière
Ils regardent le ciel ébloui
Simplement pour te dire merci
Pour ces désirs qui nous inondent
Et se traduisent peu à peu
En des instants de fin du monde
Merci mon Dieu
Pour ce destin que l'on se forge
Avec des larmes au fond des yeux
Et des joies qui prennent à la gorge
Merci mon Dieu
Ce que j'attendais de la terre
Et que j'espérais de la vie
En t'implorant dans mes prières
Au long des jours, des nuits
Mon Dieu, tu me l'as fait connaître
Puisque j'ai ma part de bonheur
Et que l'amour rit dans mon coeur
Je veux crier de tout mon être
Merci mon Dieu
Et se traduisent peu à peu
En des instants de fin du monde
Merci mon Dieu
Pour ce destin que l'on se forge
Avec des larmes au fond des yeux
Et des joies qui prennent à la gorge
Merci mon Dieu
Mon coeur s'en allait en déroute
De lendemains en lendemains
Quand tu m'as éclairé la route
Et montré le chemin
Celui de l'espoir qui délivre
Et remplace les songes creux
Par une folle envie de vivre
Merci mon Dieu
L'amour que tu as conçu
Pour nos âmes solitaires
Fait que nos regards perdus
Sont ruisselants de lumière
Ils regardent le ciel ébloui
Simplement pour te dire merci
Pour ces désirs qui nous inondent
Et se traduisent peu à peu
En des instants de fin du monde
Merci mon Dieu
Pour ce destin que l'on se forge
Avec des larmes au fond des yeux
Et des joies qui prennent à la gorge
Merci mon Dieu
Ce que j'attendais de la terre
Et que j'espérais de la vie
En t'implorant dans mes prières
Au long des jours, des nuits
Mon Dieu, tu me l'as fait connaître
Puisque j'ai ma part de bonheur
Et que l'amour rit dans mon coeur
Je veux crier de tout mon être
Merci mon Dieu
giovedì 1 aprile 2010
COM'E' TRISTE VENEZIA
Com'è triste Venezia
Charles Aznavour
EMI
Anno:1995
Charles Aznavour
EMI
Anno:1995
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EMI
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO A PROPOS DE POMMIER
Un jour le Bon Dieu
Le front soucieux
Se dit mon vieux
Ton grand ciel bleu
N'a rien de rose
Plus j'y réfléchis
Plus je me dis
Qu'il manque ici
Un paradis
Ou autre chose
Il fit tant et bien
Avec ses mains
Et presque rien
En un peu moins
D'un semaine
Qu'il avait créé
Les champs, les prés
L'hiver, l'été
Et aussi les,
Formes humaines
Il les convoqua
Leur dit: "voilà
Avec tout ça
Vous n'avez qu'à
Vivre tranquilles
Je vous en fais don
Tout y est bon
Mais attention,
D'être dociles
Et de me faire la promesse
De ne pas toucher,
Non de ne pas toucher au pommier
Non de ne pas toucher au pommier"
Le bon Dieu parti
Adam se dit
Ben mon ami,
T'es mieux ici
Que dans une usine
T'as une poupée
Une beauté
Qui est roulée
Comme pour touner
A la Goldwine
Et ce brave Adam
Passait le temps
En souriant
Béatement
Comme bien des hommes
Sans avoir idée
Que sa moitié
Puisse flirter
Avec un r'pré-
-sentant en pomme
Ev' trouvait charmant
Et affolant
Ce beau Tarzan
Nommé Serpent
Dit à sornettes
Qui sut l'envoûter
La fasciner
Lui fair' croquer dans la pomme
Et perdre la tête
Au point d'oublier sa promesse
De ne pas toucher au pommier
Non, de ne pas toucher au pommier
Non, de ne pas toucher au pommier
Tout commence ici
Eve en folie
Pris un beau fruit
Et le tendit
A son p'tit homme
Et le brave Adam
Toujours confiant
A belles dents
Mordit dedans
Comme une pomme
Losque Dieu l'apprit
Avec mépris
Il leur a dit
Plus d'paradis
Non, je vous condamne,
A vivre et lutter
A travailler
Hiver, été
Et tout ça c'est
A cause d'une femme
C'est ainsi depuis
Que la vie
Même aujourd'hui
L'homme est trahi
Dans l'ignorance
Et le vieux pommier
Presque oublié
Est remplacé
Par le péché
De complaisance
Car les femm's tiennent leur promesse
De ne pas toucher au pommier
Non de ne pas toucher au pommier
Car, elles préfèrent goûter au péché
C'est si doux, c'est si doux
De goûter au péché
Ah ! C'est doux, de goûter au péché
De goûter au péché.
Le front soucieux
Se dit mon vieux
Ton grand ciel bleu
N'a rien de rose
Plus j'y réfléchis
Plus je me dis
Qu'il manque ici
Un paradis
Ou autre chose
Il fit tant et bien
Avec ses mains
Et presque rien
En un peu moins
D'un semaine
Qu'il avait créé
Les champs, les prés
L'hiver, l'été
Et aussi les,
Formes humaines
Il les convoqua
Leur dit: "voilà
Avec tout ça
Vous n'avez qu'à
Vivre tranquilles
Je vous en fais don
Tout y est bon
Mais attention,
D'être dociles
Et de me faire la promesse
De ne pas toucher,
Non de ne pas toucher au pommier
Non de ne pas toucher au pommier"
Le bon Dieu parti
Adam se dit
Ben mon ami,
T'es mieux ici
Que dans une usine
T'as une poupée
Une beauté
Qui est roulée
Comme pour touner
A la Goldwine
Et ce brave Adam
Passait le temps
En souriant
Béatement
Comme bien des hommes
Sans avoir idée
Que sa moitié
Puisse flirter
Avec un r'pré-
-sentant en pomme
Ev' trouvait charmant
Et affolant
Ce beau Tarzan
Nommé Serpent
Dit à sornettes
Qui sut l'envoûter
La fasciner
Lui fair' croquer dans la pomme
Et perdre la tête
Au point d'oublier sa promesse
De ne pas toucher au pommier
Non, de ne pas toucher au pommier
Non, de ne pas toucher au pommier
Tout commence ici
Eve en folie
Pris un beau fruit
Et le tendit
A son p'tit homme
Et le brave Adam
Toujours confiant
A belles dents
Mordit dedans
Comme une pomme
Losque Dieu l'apprit
Avec mépris
Il leur a dit
Plus d'paradis
Non, je vous condamne,
A vivre et lutter
A travailler
Hiver, été
Et tout ça c'est
A cause d'une femme
C'est ainsi depuis
Que la vie
Même aujourd'hui
L'homme est trahi
Dans l'ignorance
Et le vieux pommier
Presque oublié
Est remplacé
Par le péché
De complaisance
Car les femm's tiennent leur promesse
De ne pas toucher au pommier
Non de ne pas toucher au pommier
Car, elles préfèrent goûter au péché
C'est si doux, c'est si doux
De goûter au péché
Ah ! C'est doux, de goûter au péché
De goûter au péché.
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