Quand en plein été vos tricot collés
Dessinent
Toutes vos valeurs, faisant de vous
Ondines
Je sens malgré moi se découvrir mes
Canines
Oh! les filles d'aujourd'hui
Les femmes de demain
En voyant rouler la boîte à trésor
Étanche
De vos pantalons qui cernent très fort
Vos hanches
J'ai l'âme, l'esprit, le coeur et le corps
Qui flanchent
Oh! les filles filles d'aujourd'hui
Les femmes de demain
Je me sens inexorablement
Attiré par vous comme un aimant
Lorsque nous dansons tout mon univers
S'écroule
Car votre parfum devient mon air
Me soûle
Et ma peau soudain se transforme en chair
De poule
Oh! les filles d'aujourd'hui
Les femmes de demain
Un tel appétit de vous posséder
M'anime
Que je suis toujours un peu, je le sais
Victime
De l'envie de vous qui me pousserait
Au crime
Oh! les filles d'aujourd'hui
Les femmes de demain
Mon coeur affamé qu'un désir brûlant
Chatouille
Pour vous conquérir, de petits présent
Se mouille
Pour arriver à rentrer pourtant
Bredouille
Oh! les filles d'aujourd'hui
Les femmes de demain
Mais vous vous moquez de mon ardeur
Et m'en faites voir de toutes les couleurs
Seul est épargné l'homme aux sensations
Annexes
Qui vit à l'abri de ses émotions
Complexes
Car il est placé en situation
Hors-sexe
Oh! les filles d'aujourd'hui
Les femmes de demain
A moins qu'il ne soit juste bon pour la
Réforme
Comment voulez-vous que lorsqu'il rêve à
Vos formes
Un homme normal, la nuit dans ses draps
S'endorme
Oh! les filles d'aujourd'hui
Les femmes de demain
Rien qu'à vous penser, le pauvre garçon
Panique
De drôle idées viennent troubler son
Physique
Par l'étrangeté d'une réaction
Chimique
Oh! les filles d'aujourd'hui
Les femmes de demain
Nous téléphonons comme des fous
Afin d'obtenir un petit rendez-vous
Et jour après jour, mille et mille fois
On ose
Croyant qu'il n'y a pas d'épines à
Vos roses
Vous parler d'amour en attendant quoi?
La chose
Oh! les filles d'aujourd'hui
Les femmes de demain
L'homme qui se croit, est à mon avis
Stupide
Car quoi qu'il en soit, c'est la femme qui
Décide
Quand vous n'aimez pas, même un roi subit
Le bide
Oh! les filles d'aujourd'hui
Les femmes de demain
Mais quand vous voulez comme une araignée
Géniale
Petit à petit pour nous vous tissez
La toile
Qui va nous serrer jusqu'à la curée
Nuptiale
Oh! les filles d'aujourd'hui
Les femmes de demain
Car vous êtes plus fortes que nous
Avant que de faire ouf, on a la corde au cou
Et puis un matin malgré toute la
Prudence
Que nous avons eu, on va comme à la
Potence
A corps défendant signer le contrat
D'alliance
Qui fait d'un homme d'aujourd'hui
Le mari de demain
domenica 31 gennaio 2010
sabato 30 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO JE NE CROIS PAS
Fillette, fillette naïve
Tu es dans les bras d'un vagabond
D'un vagabond
Déjà il faut que je poursuive
Ma course folle vers l'horizon
Vers l'horizon
Chacun sa destinée sur terre
Je suis un homme de nulle part
Et ne faisant pas de mystère
Je te dis adieu, et non au revoir
Je ne cois pas
Qu'un jour ou l'autre on se reverra
Je ne crois pas
Que je m'en revienne sur mes pas
L'amour c'est fort
Mais la liberté bien plus encore
Et qui sait demain
Ce que nous réserve notre destin
Fillette, fillette, tu pleures
Sèche tes larmes car à vingt ans
Car à vingt ans
Si d'amour il fallait qu'on meure
Moi je serais mort depuis longtemps
Depuis longtemps
Lorsque j'aurai quitté la route
Le soleil rebrillera pour toi
Et la vie te reprendra toute
Jusqu'à te faire oublier tout de toi
Je ne cois pas
Qu'un jour ou l'autre on se reverra
Je ne crois pas
Que je m'en revienne sur mes pas
L'amour c'est fort
Mais la liberté bien plus encore
Et qui sait demain
Ce que nous réserve notre destin
Fillette fillette je gage
Que plus tard seul et abandonné
Abandonné
J'irai de villes en villages
Regrettant celles qui m'ont aimé
Qui m'ont aimé
Le temps m'aura courbé de l'échine
L'orage m'aura lavé les yeux
J'aurai des remords j'imagine
Quand la neige sera dans mes cheveux
Je ne cois pas
Qu'un jour ou l'autre on se reverra
Je ne crois pas
Que je m'en revienne sur mes pas
Loin de tes bras
Comme un arbre mort d'avoir vécu
Un jour les bras en croix
Je rentrerai dans une terre inconnue
Je ne cois pas
Qu'un jour ou l'autre on se reverra
Je ne crois pas
Que je m'en revienne sur mes pas
Tu es dans les bras d'un vagabond
D'un vagabond
Déjà il faut que je poursuive
Ma course folle vers l'horizon
Vers l'horizon
Chacun sa destinée sur terre
Je suis un homme de nulle part
Et ne faisant pas de mystère
Je te dis adieu, et non au revoir
Je ne cois pas
Qu'un jour ou l'autre on se reverra
Je ne crois pas
Que je m'en revienne sur mes pas
L'amour c'est fort
Mais la liberté bien plus encore
Et qui sait demain
Ce que nous réserve notre destin
Fillette, fillette, tu pleures
Sèche tes larmes car à vingt ans
Car à vingt ans
Si d'amour il fallait qu'on meure
Moi je serais mort depuis longtemps
Depuis longtemps
Lorsque j'aurai quitté la route
Le soleil rebrillera pour toi
Et la vie te reprendra toute
Jusqu'à te faire oublier tout de toi
Je ne cois pas
Qu'un jour ou l'autre on se reverra
Je ne crois pas
Que je m'en revienne sur mes pas
L'amour c'est fort
Mais la liberté bien plus encore
Et qui sait demain
Ce que nous réserve notre destin
Fillette fillette je gage
Que plus tard seul et abandonné
Abandonné
J'irai de villes en villages
Regrettant celles qui m'ont aimé
Qui m'ont aimé
Le temps m'aura courbé de l'échine
L'orage m'aura lavé les yeux
J'aurai des remords j'imagine
Quand la neige sera dans mes cheveux
Je ne cois pas
Qu'un jour ou l'autre on se reverra
Je ne crois pas
Que je m'en revienne sur mes pas
Loin de tes bras
Comme un arbre mort d'avoir vécu
Un jour les bras en croix
Je rentrerai dans une terre inconnue
Je ne cois pas
Qu'un jour ou l'autre on se reverra
Je ne crois pas
Que je m'en revienne sur mes pas
venerdì 29 gennaio 2010
CHARLES AZNAVOUR AND THE CLAYTON-HAMILTON JAZZ ORCHESTRA
Charles Aznavour and the Clayton-Hamilton Jazz Orchestra
Charles Aznavour
EMI
Anno:2009
Charles Aznavour
EMI
Anno:2009
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BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO LE MONDE EST SOUS NOS PAS
A chacun ses jours de joie, de misère
Chacun son chemin de crois sur la terre
Mais tant que la vie est là on espère
Pouvoir changer le destin dès demain
Sous la cendre de l'ennui l'amour veille
Réchauffant une autre vie qui s'éveille
Et donne à nos coeur meurtris de merveilles
Qui raniment à chaque instant nos printemps
Tant que l'étoile nous guide
Le monde est sous nos pas
Et même s'il gronde et court au suicide
Le monde est sous nos pas
A travers nos jours sans gloire et nos peines
Au delà du désespoir et la haine
Luit cette lueur d'espoir qui entraîne
Nos coeurs vers la liberté de rêver
Tant que l'étoile nous guide
Le monde est sous nos pas
Même s'il gronde et court au suicide
Le monde est sous nos pas
Malgré notre vérité, notre histoire
Malgré nos jours dévastés, nos déboires
Quand la vie semble sombrer on veut croire
Que le monde restera sous nos pas
Chacun son chemin de crois sur la terre
Mais tant que la vie est là on espère
Pouvoir changer le destin dès demain
Sous la cendre de l'ennui l'amour veille
Réchauffant une autre vie qui s'éveille
Et donne à nos coeur meurtris de merveilles
Qui raniment à chaque instant nos printemps
Tant que l'étoile nous guide
Le monde est sous nos pas
Et même s'il gronde et court au suicide
Le monde est sous nos pas
A travers nos jours sans gloire et nos peines
Au delà du désespoir et la haine
Luit cette lueur d'espoir qui entraîne
Nos coeurs vers la liberté de rêver
Tant que l'étoile nous guide
Le monde est sous nos pas
Même s'il gronde et court au suicide
Le monde est sous nos pas
Malgré notre vérité, notre histoire
Malgré nos jours dévastés, nos déboires
Quand la vie semble sombrer on veut croire
Que le monde restera sous nos pas
giovedì 28 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO ISABELLE
Depuis longtemps mon coeur était à la retraite
Et ne pensait jamais de voir se réveiller
Mais au son de ta voix j'ai relevé la tête
Et l'amour m'a repris avant que d'y penser
Isabelle... mon amour
Comme on passe les doigts entre l'arbre et l'écorce
L'amour s'est infiltré s'est glissé sous ma peau
Avec tant d'insistance et avec tant de force
Que je n'ai plus depuis ni calme ni repos
Isabelle... mon amour
Les heures près de toi fuient comme des secondes
Les journées loin de toi ressemblent à des années
Qui donnent à mon amour un goût de fin du monde
Elles troublent mon corps autant que ma pensée
Isabelle... mon amour
Tu vis dans la lumière et moi dans les coins sombres
Car tu te meurs de vivre et je me meurs d'amour
Je me contenterais de caresser ton ombre
Si tu voulais m'offrir ton destin pour toujours
Isabelle... mon amour
Et ne pensait jamais de voir se réveiller
Mais au son de ta voix j'ai relevé la tête
Et l'amour m'a repris avant que d'y penser
Isabelle... mon amour
Comme on passe les doigts entre l'arbre et l'écorce
L'amour s'est infiltré s'est glissé sous ma peau
Avec tant d'insistance et avec tant de force
Que je n'ai plus depuis ni calme ni repos
Isabelle... mon amour
Les heures près de toi fuient comme des secondes
Les journées loin de toi ressemblent à des années
Qui donnent à mon amour un goût de fin du monde
Elles troublent mon corps autant que ma pensée
Isabelle... mon amour
Tu vis dans la lumière et moi dans les coins sombres
Car tu te meurs de vivre et je me meurs d'amour
Je me contenterais de caresser ton ombre
Si tu voulais m'offrir ton destin pour toujours
Isabelle... mon amour
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mercoledì 27 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO QUE DIEU ME GARDE
Que Dieu me garde
Loin des souffrances et des pleurs
Que Dieu me garde
Du mal qui ronge bien des coeurs
Si je n'y prends garde
Tes caprices de femme-enfant
Peuvent briser ma vie en peu de temps
Tu semble faible
Mais tu es plus forte que moi
Et tout m'attire inexorablement vers toi
Je suis un homme
L'homme est souvent pas très malin
Lorsqu'une femme le tient entre ses mains
Que Dieu me donne
La force de te résister
Que Dieu me donne
Le moyen de te dominer
Si je m'abandonne
Et rentre un moment dans ton jeu
Je risque un jour
D'en sortir malheureux
N'ayant pas d'âme
Tu ne vis que l'instant qui vient
Ce qui t'amuse ce soir
T'embêtera demain
Tu veux qu'on t'aime
Et tu fais tout ce qu'il faut pour
Mais tu ne donnes
Jamais rien en retour
Que Dieu m'apporte
La paix qui manque au fond de moi
Que Dieu m'apporte
Le calme et la confiance en toi
Et qu'il fasse en sorte
Que nous n'ayons qu'un horizon
Un seul bonheur, une même passion
Tu me déroutes
Je ne sais où me raccrocher
Je suis sans force
Dès que je suis à tes côtés
Plus le temps passe
Plus tu t'installes dans mon coeur
Et plus je t'aime
Plus mon amour j'ai peur
Que Dieu nous garde
Toi et moi
Que Dieu nous garde
Dans... la joie
Oui que Dieu nous garde
Le bonheur
Vivant toujours dans la chaleur de nos coeurs
Qu'il nous élève
Au au plus haut
Qu'il nous délivre de... nos maux
Oui que Dieu nous garde
Nuit et jour
Pour que le bonheur résiste
Et que toujours
Nous soyons unis toi et moi
Par un seul amour
Loin des souffrances et des pleurs
Que Dieu me garde
Du mal qui ronge bien des coeurs
Si je n'y prends garde
Tes caprices de femme-enfant
Peuvent briser ma vie en peu de temps
Tu semble faible
Mais tu es plus forte que moi
Et tout m'attire inexorablement vers toi
Je suis un homme
L'homme est souvent pas très malin
Lorsqu'une femme le tient entre ses mains
Que Dieu me donne
La force de te résister
Que Dieu me donne
Le moyen de te dominer
Si je m'abandonne
Et rentre un moment dans ton jeu
Je risque un jour
D'en sortir malheureux
N'ayant pas d'âme
Tu ne vis que l'instant qui vient
Ce qui t'amuse ce soir
T'embêtera demain
Tu veux qu'on t'aime
Et tu fais tout ce qu'il faut pour
Mais tu ne donnes
Jamais rien en retour
Que Dieu m'apporte
La paix qui manque au fond de moi
Que Dieu m'apporte
Le calme et la confiance en toi
Et qu'il fasse en sorte
Que nous n'ayons qu'un horizon
Un seul bonheur, une même passion
Tu me déroutes
Je ne sais où me raccrocher
Je suis sans force
Dès que je suis à tes côtés
Plus le temps passe
Plus tu t'installes dans mon coeur
Et plus je t'aime
Plus mon amour j'ai peur
Que Dieu nous garde
Toi et moi
Que Dieu nous garde
Dans... la joie
Oui que Dieu nous garde
Le bonheur
Vivant toujours dans la chaleur de nos coeurs
Qu'il nous élève
Au au plus haut
Qu'il nous délivre de... nos maux
Oui que Dieu nous garde
Nuit et jour
Pour que le bonheur résiste
Et que toujours
Nous soyons unis toi et moi
Par un seul amour
martedì 26 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO RESTE
Reste, reste encore
Avec moi,
Sur mon corps
Dans mes bras
Enlacée
Essoufflée à sourire
Étourdie.
Reste au chaud
À languir dans l'enclos
De la nuit sur mon coeur
Sans pudeur
Éperdue, presque nue
Restes-y
Sur ta peur, sur ta vie
Dans mes bras
Décoiffée, possédée,
Étendue, détendue
Reste là
Sans un mot
Sur ta joie
Sur ma faute en l'espoir
Dans le noir sur au jour,
Mon amour.
Avec moi,
Sur mon corps
Dans mes bras
Enlacée
Essoufflée à sourire
Étourdie.
Reste au chaud
À languir dans l'enclos
De la nuit sur mon coeur
Sans pudeur
Éperdue, presque nue
Restes-y
Sur ta peur, sur ta vie
Dans mes bras
Décoiffée, possédée,
Étendue, détendue
Reste là
Sans un mot
Sur ta joie
Sur ma faute en l'espoir
Dans le noir sur au jour,
Mon amour.
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lunedì 25 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO JE TE RECHAUFFERAI
Le ciel tisse une couverture,
En laine,
L'été prépare ses quartiers d'hivers,
Mais n'ai pas peur de la froidure,
Hélène,
Je te réchaufferai,
Je te réchaufferai,
Allons rêver sur les bords de la Seine,
S'il reste encore quelques petits coins verts,
Et si le fond de l'air est frais, Hélène,
Je te réchaufferai,
Je te réchaufferai,
En passant mon bras,
Autour de ton épaule,
Et si malgré mon bras,
La brise travaille,
A bien joué son rôle,
Tu prendras mon chandail,
Si le temps, malgré mon chandail de laine,
Venait troubler le calme de ta chair,
En te serrant tout contre moi, Héléne,
Je te réchaufferai,
Je te réchaufferai,
Mais si le vent soufflait à perdre haleine,
Nous irions vite abriter notre amour,
Et blottis dans notre grenier, Hélène,
Je te réchaufferai,
Je te réchaufferai,
Je fermerais fenêtres et persiennes,
Je bouclerai la porte à doube tour,
Et en faisant une flambée, Hélène,
Je te réchaufferai,
Je te réchaufferai,
En offrant au feu,
Tout le bois qu'i lréclame,
Et s'il manque du bois,
Je mettrais aussi,
Les meubles dans les flammes,
Ne gardant que le lit,
Mais si le foirs contre nous se déchaîne,
Et si le feu n'était d'aucun secours,
Par la chaleur de mon amour, Hélène,
Je te réchaufferai,
Je te réchaufferai,
Le ciel tisse une couverture,
En laine,
L'été prépare ses quartiers d'hivers,
Mais n'ai pas peur de la froidure,
Hélène,
Je te réchaufferai,
Je te réchaufferai,
En laine,
L'été prépare ses quartiers d'hivers,
Mais n'ai pas peur de la froidure,
Hélène,
Je te réchaufferai,
Je te réchaufferai,
Allons rêver sur les bords de la Seine,
S'il reste encore quelques petits coins verts,
Et si le fond de l'air est frais, Hélène,
Je te réchaufferai,
Je te réchaufferai,
En passant mon bras,
Autour de ton épaule,
Et si malgré mon bras,
La brise travaille,
A bien joué son rôle,
Tu prendras mon chandail,
Si le temps, malgré mon chandail de laine,
Venait troubler le calme de ta chair,
En te serrant tout contre moi, Héléne,
Je te réchaufferai,
Je te réchaufferai,
Mais si le vent soufflait à perdre haleine,
Nous irions vite abriter notre amour,
Et blottis dans notre grenier, Hélène,
Je te réchaufferai,
Je te réchaufferai,
Je fermerais fenêtres et persiennes,
Je bouclerai la porte à doube tour,
Et en faisant une flambée, Hélène,
Je te réchaufferai,
Je te réchaufferai,
En offrant au feu,
Tout le bois qu'i lréclame,
Et s'il manque du bois,
Je mettrais aussi,
Les meubles dans les flammes,
Ne gardant que le lit,
Mais si le foirs contre nous se déchaîne,
Et si le feu n'était d'aucun secours,
Par la chaleur de mon amour, Hélène,
Je te réchaufferai,
Je te réchaufferai,
Le ciel tisse une couverture,
En laine,
L'été prépare ses quartiers d'hivers,
Mais n'ai pas peur de la froidure,
Hélène,
Je te réchaufferai,
Je te réchaufferai,
domenica 24 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO LE TORÉADOR
Tu gis les yeux perdus
Livide et pitoyable
Le corps à demi nu
Recouvert d'un drap blanc
Ton habit de lumière
Est jeté lamentable
Avili de poussière
Et maculé de sang
La course continue
Tandis que tu rends l'âme
Tant pis pour le vaincu
Il mérite son sort
Et le nom du vainqueur
Que l'assistance acclame
Bien plus que la douleur
Te transperce le corps le corps
Tu ne reverras plus
Les courses enivrantes
Sous un soleil de plomb
A te crever les yeux
Tu ne reverras plus
Les filles ravissantes
Debout sur les gradins
T'acclamant comme un dieu
Tu n'éprouveras plus
Ce sentiment étrange
Fait d'un curieux mélange
De peur et de fierté
Quand dans l'arène en feu
Tu marchais d'un pas noble
Tandis qu'un passo doble
Ponctuait ton entrée
La bête a eu raison
De ta fière prestance
Elle a sali ton nom
Elle a ruiné ta vie
Ta merveilleuse allure
Et ta fière arrogance
Sont tombés dans la sciure
Et le sable rougi
Tes ongles sont plantés
Dans le bois de ta couche
Et seul, abandonné
Tu vois venir la mort
Cette fille d'amour
Qui te colle à la bouche
Pour mieux voler tes jours
En possédant ton corps
Tu ne reverras plus
La chaude Andalousie
Quand la terre glacée
Va se jeter sur toi
Tu ne reverras plus
Ces danseuses en folie
Ces chanteurs de flamenque
Aux pathétiques voix
Une idole se meurt
Une autre prend sa place
Tu as perdu la face
Et soldé ton destin
Car la gloire est frivole
Et quand on la croit nôtre
Elle s'offre à un autre
Et il ne reste rien...
Livide et pitoyable
Le corps à demi nu
Recouvert d'un drap blanc
Ton habit de lumière
Est jeté lamentable
Avili de poussière
Et maculé de sang
La course continue
Tandis que tu rends l'âme
Tant pis pour le vaincu
Il mérite son sort
Et le nom du vainqueur
Que l'assistance acclame
Bien plus que la douleur
Te transperce le corps le corps
Tu ne reverras plus
Les courses enivrantes
Sous un soleil de plomb
A te crever les yeux
Tu ne reverras plus
Les filles ravissantes
Debout sur les gradins
T'acclamant comme un dieu
Tu n'éprouveras plus
Ce sentiment étrange
Fait d'un curieux mélange
De peur et de fierté
Quand dans l'arène en feu
Tu marchais d'un pas noble
Tandis qu'un passo doble
Ponctuait ton entrée
La bête a eu raison
De ta fière prestance
Elle a sali ton nom
Elle a ruiné ta vie
Ta merveilleuse allure
Et ta fière arrogance
Sont tombés dans la sciure
Et le sable rougi
Tes ongles sont plantés
Dans le bois de ta couche
Et seul, abandonné
Tu vois venir la mort
Cette fille d'amour
Qui te colle à la bouche
Pour mieux voler tes jours
En possédant ton corps
Tu ne reverras plus
La chaude Andalousie
Quand la terre glacée
Va se jeter sur toi
Tu ne reverras plus
Ces danseuses en folie
Ces chanteurs de flamenque
Aux pathétiques voix
Une idole se meurt
Une autre prend sa place
Tu as perdu la face
Et soldé ton destin
Car la gloire est frivole
Et quand on la croit nôtre
Elle s'offre à un autre
Et il ne reste rien...
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sabato 23 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO A PROPOS DE POMMIER
Un jour le Bon Dieu
Le front soucieux
Se dit mon vieux
Ton grand ciel bleu
N'a rien de rose
Plus j'y réfléchis
Plus je me dis
Qu'il manque ici
Un paradis
Ou autre chose
Il fit tant et bien
Avec ses mains
Et presque rien
En un peu moins
D'un semaine
Qu'il avait créé
Les champs, les prés
L'hiver, l'été
Et aussi les,
Formes humaines
Il les convoqua
Leur dit: "voilà
Avec tout ça
Vous n'avez qu'à
Vivre tranquilles
Je vous en fais don
Tout y est bon
Mais attention,
D'être dociles
Et de me faire la promesse
De ne pas toucher,
Non de ne pas toucher au pommier
Non de ne pas toucher au pommier"
Le bon Dieu parti
Adam se dit
Ben mon ami,
T'es mieux ici
Que dans une usine
T'as une poupée
Une beauté
Qui est roulée
Comme pour touner
A la Goldwine
Et ce brave Adam
Passait le temps
En souriant
Béatement
Comme bien des hommes
Sans avoir idée
Que sa moitié
Puisse flirter
Avec un r'pré-
-sentant en pomme
Ev' trouvait charmant
Et affolant
Ce beau Tarzan
Nommé Serpent
Dit à sornettes
Qui sut l'envoûter
La fasciner
Lui fair' croquer dans la pomme
Et perdre la tête
Au point d'oublier sa promesse
De ne pas toucher au pommier
Non, de ne pas toucher au pommier
Non, de ne pas toucher au pommier
Tout commence ici
Eve en folie
Pris un beau fruit
Et le tendit
A son p'tit homme
Et le brave Adam
Toujours confiant
A belles dents
Mordit dedans
Comme une pomme
Losque Dieu l'apprit
Avec mépris
Il leur a dit
Plus d'paradis
Non, je vous condamne,
A vivre et lutter
A travailler
Hiver, été
Et tout ça c'est
A cause d'une femme
C'est ainsi depuis
Que la vie
Même aujourd'hui
L'homme est trahi
Dans l'ignorance
Et le vieux pommier
Presque oublié
Est remplacé
Par le péché
De complaisance
Car les femm's tiennent leur promesse
De ne pas toucher au pommier
Non de ne pas toucher au pommier
Car, elles préfèrent goûter au péché
C'est si doux, c'est si doux
De goûter au péché
Ah ! C'est doux, de goûter au péché
De goûter au péché.
Le front soucieux
Se dit mon vieux
Ton grand ciel bleu
N'a rien de rose
Plus j'y réfléchis
Plus je me dis
Qu'il manque ici
Un paradis
Ou autre chose
Il fit tant et bien
Avec ses mains
Et presque rien
En un peu moins
D'un semaine
Qu'il avait créé
Les champs, les prés
L'hiver, l'été
Et aussi les,
Formes humaines
Il les convoqua
Leur dit: "voilà
Avec tout ça
Vous n'avez qu'à
Vivre tranquilles
Je vous en fais don
Tout y est bon
Mais attention,
D'être dociles
Et de me faire la promesse
De ne pas toucher,
Non de ne pas toucher au pommier
Non de ne pas toucher au pommier"
Le bon Dieu parti
Adam se dit
Ben mon ami,
T'es mieux ici
Que dans une usine
T'as une poupée
Une beauté
Qui est roulée
Comme pour touner
A la Goldwine
Et ce brave Adam
Passait le temps
En souriant
Béatement
Comme bien des hommes
Sans avoir idée
Que sa moitié
Puisse flirter
Avec un r'pré-
-sentant en pomme
Ev' trouvait charmant
Et affolant
Ce beau Tarzan
Nommé Serpent
Dit à sornettes
Qui sut l'envoûter
La fasciner
Lui fair' croquer dans la pomme
Et perdre la tête
Au point d'oublier sa promesse
De ne pas toucher au pommier
Non, de ne pas toucher au pommier
Non, de ne pas toucher au pommier
Tout commence ici
Eve en folie
Pris un beau fruit
Et le tendit
A son p'tit homme
Et le brave Adam
Toujours confiant
A belles dents
Mordit dedans
Comme une pomme
Losque Dieu l'apprit
Avec mépris
Il leur a dit
Plus d'paradis
Non, je vous condamne,
A vivre et lutter
A travailler
Hiver, été
Et tout ça c'est
A cause d'une femme
C'est ainsi depuis
Que la vie
Même aujourd'hui
L'homme est trahi
Dans l'ignorance
Et le vieux pommier
Presque oublié
Est remplacé
Par le péché
De complaisance
Car les femm's tiennent leur promesse
De ne pas toucher au pommier
Non de ne pas toucher au pommier
Car, elles préfèrent goûter au péché
C'est si doux, c'est si doux
De goûter au péché
Ah ! C'est doux, de goûter au péché
De goûter au péché.
venerdì 22 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO JEZEBEL
Ce démon qui brûlait mon coeur,
Cet ange qui séchait mes pleurs,
C'était toi,
Jézebel, c'était toi,
Ces larmes transpersées de joie,
Jézebel, c'était toi,
Jézebel, c'était toi,
Mais l'amour est anéanti,
Tout s'est écroulé sur ma vie,
Ecrasant, piétinant,
Emportant mon coeur,
Jézebel, mais pour toi,
Je ferai le tour de la terre,
J'irai jusqu'au fond des enfers,
Où es-tu ?
Jézebel où es-tu ?
Mes souvenirs que je vois fannés,
Sont des êtres vivants,
Avec des yeux de mort,
Courant encore,
De passer,
Mon coeur est perdu d'obsessions
Il bat en répétant,
Tout au fond de moi même,
Ce mot que j'aime,
Ton nom,
Mais l'amour est anéanti,
Tout s'est écroulé sur ma vie,
Ecrasant, piétinant,
Emportant mon coeur,
Jézebel, mais pour toi,
Je ferai le tour de la terre,
J'irai jusqu'au fond des enfers,
En criant,
Jour et nuit,
Sans répt,
Jézebel,
Jézebel,
Jézebel.
Cet ange qui séchait mes pleurs,
C'était toi,
Jézebel, c'était toi,
Ces larmes transpersées de joie,
Jézebel, c'était toi,
Jézebel, c'était toi,
Mais l'amour est anéanti,
Tout s'est écroulé sur ma vie,
Ecrasant, piétinant,
Emportant mon coeur,
Jézebel, mais pour toi,
Je ferai le tour de la terre,
J'irai jusqu'au fond des enfers,
Où es-tu ?
Jézebel où es-tu ?
Mes souvenirs que je vois fannés,
Sont des êtres vivants,
Avec des yeux de mort,
Courant encore,
De passer,
Mon coeur est perdu d'obsessions
Il bat en répétant,
Tout au fond de moi même,
Ce mot que j'aime,
Ton nom,
Mais l'amour est anéanti,
Tout s'est écroulé sur ma vie,
Ecrasant, piétinant,
Emportant mon coeur,
Jézebel, mais pour toi,
Je ferai le tour de la terre,
J'irai jusqu'au fond des enfers,
En criant,
Jour et nuit,
Sans répt,
Jézebel,
Jézebel,
Jézebel.
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giovedì 21 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO C'EST MERVEILLEUX L'AMOUR
C'est merveilleux l'amour
C'est fantastique
C'est trop compliqué pour
Que ça s'explique
Ça va, ça vient, ça court
C'est lunatique
C'est merveilleux l'amour
Heureux ou malheureux
C'est un dilemme
Qui pose aux amoureux
Plus d'un problème
C'est un jeu dangereux
Mais quand on aime
C'est merveilleux l'amour
Ça crie
Ça mène notre vie
Sur terre
Ça pleure
Et ça nous prend des heures
Entières
Et l'on a beau dire
Et l'on a beau faire
Quand on est dans ses doigts
Notre vie change
Car on subit sa loi
Qu'est un mélange
De tourments et de joies
Vraiment étrange
C'est merveilleux l'amour
C'est merveilleux l'amour
Qu'on se le dise
Ces instants qu'on savoure
Et qui nous grisent
Dont dépendent nos jours
Nous électrisent
C'est merveilleux l'amour
Ça vient sans s'annoncer
Sans crier gare
Un regard, un baiser
Hop! ça démarre
Le bonheur est lâché
Dans la bagarre
C'est merveilleux l'amour
Ça vit
De rêves et d'ennuis
Qui passent
C'est fier
Ça fait un bruit d'enfer
Ça casse
Et quoi que l'on pense
Et quoi que l'on fasse
Quand dans son tourbillon
Il nous entraîne
Ça prend des proportions
Surhumaines
Et qu'on le veuille ou non
C'est une chaîne
Qui nous tient nuit et jour
C'est merveilleux, merveilleux l'amour
C'est fantastique
C'est trop compliqué pour
Que ça s'explique
Ça va, ça vient, ça court
C'est lunatique
C'est merveilleux l'amour
Heureux ou malheureux
C'est un dilemme
Qui pose aux amoureux
Plus d'un problème
C'est un jeu dangereux
Mais quand on aime
C'est merveilleux l'amour
Ça crie
Ça mène notre vie
Sur terre
Ça pleure
Et ça nous prend des heures
Entières
Et l'on a beau dire
Et l'on a beau faire
Quand on est dans ses doigts
Notre vie change
Car on subit sa loi
Qu'est un mélange
De tourments et de joies
Vraiment étrange
C'est merveilleux l'amour
C'est merveilleux l'amour
Qu'on se le dise
Ces instants qu'on savoure
Et qui nous grisent
Dont dépendent nos jours
Nous électrisent
C'est merveilleux l'amour
Ça vient sans s'annoncer
Sans crier gare
Un regard, un baiser
Hop! ça démarre
Le bonheur est lâché
Dans la bagarre
C'est merveilleux l'amour
Ça vit
De rêves et d'ennuis
Qui passent
C'est fier
Ça fait un bruit d'enfer
Ça casse
Et quoi que l'on pense
Et quoi que l'on fasse
Quand dans son tourbillon
Il nous entraîne
Ça prend des proportions
Surhumaines
Et qu'on le veuille ou non
C'est une chaîne
Qui nous tient nuit et jour
C'est merveilleux, merveilleux l'amour
mercoledì 20 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO L'AMOUR A FLEUR DE COEUR
Quand la nuit se délaie dans l'aurore naissante
Que le jour peu à peu étale sa clarté
Je m'éveille parfois pour mieux te contempler
Quand tu reposes encore en des poses innocentes
Bien souvent indescentes
Mêlées de pureté
Mon coeur est fou de joie quand il peut te surprendre
Etendue sans défense, alanguie sans défense, alan-
Guie, sans pouvoir
Tu ressembles à l'enfant qui sourit sans savoir
Et murmure des mots impossibles à comprendre
J'ai l'amour à fleur de coeur
Et mon coeur veille ta couche
Vit surr ma bouche
Qui veut crier
Et réveiller
Ton sommeil lourd
Car j'ai le coeur à fleur d'amour
J'ai l'amour à fleur de coeur
Et des crevées d'angoisses
Qui me surpassent
Et c'est normal
Ça me fait mal
Quand vient le jour
Car j'ai le coeur à fleur d'amour
Toi qui souris
Rêvant à je ne sais qui
Au fond tu ne sais pas
Tout ce qui passe en moi
J'ai l'amour à fleur de coeur
Qui me fait souffrir sans trêve
Lorsque tu rêves
Paisiblement
Toi mon tourment
Toi ma douleur
Quand j'ai l'amour à fleur de coeur.
Que le jour peu à peu étale sa clarté
Je m'éveille parfois pour mieux te contempler
Quand tu reposes encore en des poses innocentes
Bien souvent indescentes
Mêlées de pureté
Mon coeur est fou de joie quand il peut te surprendre
Etendue sans défense, alanguie sans défense, alan-
Guie, sans pouvoir
Tu ressembles à l'enfant qui sourit sans savoir
Et murmure des mots impossibles à comprendre
J'ai l'amour à fleur de coeur
Et mon coeur veille ta couche
Vit surr ma bouche
Qui veut crier
Et réveiller
Ton sommeil lourd
Car j'ai le coeur à fleur d'amour
J'ai l'amour à fleur de coeur
Et des crevées d'angoisses
Qui me surpassent
Et c'est normal
Ça me fait mal
Quand vient le jour
Car j'ai le coeur à fleur d'amour
Toi qui souris
Rêvant à je ne sais qui
Au fond tu ne sais pas
Tout ce qui passe en moi
J'ai l'amour à fleur de coeur
Qui me fait souffrir sans trêve
Lorsque tu rêves
Paisiblement
Toi mon tourment
Toi ma douleur
Quand j'ai l'amour à fleur de coeur.
martedì 19 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO AY ! MOURIR POUR TOI
Ay mourir pour toi
A l'instant où ta main me frôle
Laisser ma vie sur ton épaule
Bercé par le son de ta voix
Ay mourir d'amour
T'offrir ma dernière seconde
Et sans regret quitter le monde
En emportant mon plus beau jour
Pour garder notre bonheur
Comme il est là
Ne pas connaître la douleur
Par toi
Et la terrible certitude
De la solitude
Ay mourir pour toi
Prendre le meilleur de nous-mêmes
Dans le souffle de ton je t'aime
Et m'emdormir avec mes joies
Parle-moi
Console-moi
J'ai peur du jour qui va naître
Il sera le dernier peut-être
Que notre bonheur va connaître
Serre-moi
Apaise-moi
Quand j'ai l'angoisse du pire
Ne ris pas quand tu m'entends dire
Qu'au fond mourir
Pour mourir
Ay mourir pour toi
A l'instant où ta main me frôle
Laisser ma vie sur ton épaule
Bercé par le son de ta voix
Ay mourir d'amour
T'offrir ma dernière seconde
Et sans regret quitter le monde
En emportant mon plus beau jour
Pour garder notre bonheur
Comme il est là
Ne pas connaître la douleur
Par toi
Et la terrible certitude
De la solitude
Ay mourir pour toi
Prendre le meilleur de nous-mêmes
Dans le souffle de ton je t'aime
Et m'emdormir avec mes joies
Mourir pour toi .
A l'instant où ta main me frôle
Laisser ma vie sur ton épaule
Bercé par le son de ta voix
Ay mourir d'amour
T'offrir ma dernière seconde
Et sans regret quitter le monde
En emportant mon plus beau jour
Pour garder notre bonheur
Comme il est là
Ne pas connaître la douleur
Par toi
Et la terrible certitude
De la solitude
Ay mourir pour toi
Prendre le meilleur de nous-mêmes
Dans le souffle de ton je t'aime
Et m'emdormir avec mes joies
Parle-moi
Console-moi
J'ai peur du jour qui va naître
Il sera le dernier peut-être
Que notre bonheur va connaître
Serre-moi
Apaise-moi
Quand j'ai l'angoisse du pire
Ne ris pas quand tu m'entends dire
Qu'au fond mourir
Pour mourir
Ay mourir pour toi
A l'instant où ta main me frôle
Laisser ma vie sur ton épaule
Bercé par le son de ta voix
Ay mourir d'amour
T'offrir ma dernière seconde
Et sans regret quitter le monde
En emportant mon plus beau jour
Pour garder notre bonheur
Comme il est là
Ne pas connaître la douleur
Par toi
Et la terrible certitude
De la solitude
Ay mourir pour toi
Prendre le meilleur de nous-mêmes
Dans le souffle de ton je t'aime
Et m'emdormir avec mes joies
Mourir pour toi .
lunedì 18 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO JE T'AIME COMME CA
Tu es toute ma vie
Je ne sais pas pourquoi
Tu n'es pas très jolie
Mais je t'aime comme ça
Tes joies sont enfantines
Tes gestes maladroits
T'as l'air d'une gamine
Mais je t'aime comme ça
Tu cries sans raison
Tu mens avec aplomb
Et me donne des noms
Insensés
Qui font rire mes amis
Et lorsque je te dis
Que tout cela un jour doit changer
Tu te mets à pleurer
Moi pour te consoler
Dans mes bras je t'emporte
Et blottie contre moi
C'est bien toi la plus forte
Mais je t'aime comme ça
Mes yeux sont pleins de larmes
Comment expliquer ça
Tout en toi me désarme
Mais je t' aime comme ça
Tu as des défauts
Souvent tu parles trop
Et quand je suis par trop excédé
Je m'écris ça suffit
Mais lorsque tu souris
Avec un regard désemparé
Devant ton air perdu
Je me sens tout ému
Tu es toute ma vie
Je ne sais pas pourquoi
Tu n'es pas très jolie
Mais je t'aime comme ça.
Je ne sais pas pourquoi
Tu n'es pas très jolie
Mais je t'aime comme ça
Tes joies sont enfantines
Tes gestes maladroits
T'as l'air d'une gamine
Mais je t'aime comme ça
Tu cries sans raison
Tu mens avec aplomb
Et me donne des noms
Insensés
Qui font rire mes amis
Et lorsque je te dis
Que tout cela un jour doit changer
Tu te mets à pleurer
Moi pour te consoler
Dans mes bras je t'emporte
Et blottie contre moi
C'est bien toi la plus forte
Mais je t'aime comme ça
Mes yeux sont pleins de larmes
Comment expliquer ça
Tout en toi me désarme
Mais je t' aime comme ça
Tu as des défauts
Souvent tu parles trop
Et quand je suis par trop excédé
Je m'écris ça suffit
Mais lorsque tu souris
Avec un regard désemparé
Devant ton air perdu
Je me sens tout ému
Tu es toute ma vie
Je ne sais pas pourquoi
Tu n'es pas très jolie
Mais je t'aime comme ça.
domenica 17 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO SARAH
Dans la boutique du tailleur
Tes vieux parents, tes frères, tes soeurs,
Nous avons tant de peine au coeur,
Sarah, Sarah, reviens vers nous,
Mamie ne cesse de pleurer,
Sa grande enfant, son adorée
Tu fus toujours sa préférée
Sarah, Sarah reviens vers nous
De quoi avais-tu donc besoin ?
Chez nous tu ne manquais de rien
Pourquoi es-tu partie si loin?
Ici quel vide tout à coup
Papy commence à être vieux
Il a déjà des mauvais yeux
Te sachant là, il irait mieux
Sarah, Sarah reviens vers nous
Dans la boutique du tailleur
Tes vieux parents, tes frères, tes soeurs
Retrouveront l'ancien bonheur
Sarah, Sarah, si tu reviens
Quand attablés les soirs d'hiver
Lorsqu'un à un Mamie nous sert
Nous sentons qu'il manque un couvert
Sarah, Sarah et c'est le tien
On lit tes lettres d'Amérique
T'as fait un parti magnifique
Alors tes sentiments s'expliquent
Tu veux oublier d'où tu viens.
Hélène aura bientôt vingt ans
Elle s'en ira peut-être avant
On ne vit pas pour ses parents
Sarah, Sarah, je le sais bien
Sois donc heureuse et sans regrets
Mais ne nous oublie pas tout à fait
Tu as la vie dont tu rêvais
Sarah, Sarah ...
Tant pis pour nous
Tes vieux parents, tes frères, tes soeurs,
Nous avons tant de peine au coeur,
Sarah, Sarah, reviens vers nous,
Mamie ne cesse de pleurer,
Sa grande enfant, son adorée
Tu fus toujours sa préférée
Sarah, Sarah reviens vers nous
De quoi avais-tu donc besoin ?
Chez nous tu ne manquais de rien
Pourquoi es-tu partie si loin?
Ici quel vide tout à coup
Papy commence à être vieux
Il a déjà des mauvais yeux
Te sachant là, il irait mieux
Sarah, Sarah reviens vers nous
Dans la boutique du tailleur
Tes vieux parents, tes frères, tes soeurs
Retrouveront l'ancien bonheur
Sarah, Sarah, si tu reviens
Quand attablés les soirs d'hiver
Lorsqu'un à un Mamie nous sert
Nous sentons qu'il manque un couvert
Sarah, Sarah et c'est le tien
On lit tes lettres d'Amérique
T'as fait un parti magnifique
Alors tes sentiments s'expliquent
Tu veux oublier d'où tu viens.
Hélène aura bientôt vingt ans
Elle s'en ira peut-être avant
On ne vit pas pour ses parents
Sarah, Sarah, je le sais bien
Sois donc heureuse et sans regrets
Mais ne nous oublie pas tout à fait
Tu as la vie dont tu rêvais
Sarah, Sarah ...
Tant pis pour nous
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sabato 16 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO LA ROUTE
Quand les tambours, ont cessé de rouler
Les clairons de sonner
L'adjudant de gueuler
Moi j'ai repris la route
Moi j'ai repris la blanche et belle grande route
Quand le soleil dans le ciel s'est pointé
Ivre de liberté
Sans savoir où aller
Moi j'ai repris la route
D'un petit pas léger
Il y avait une gosse
Qui gardait ses moutons
Laridondon
Pas fûtée mais précoce
Un bien joli tendron
L'air tendre et l'herbe verte
Quelques banalités
Laridondé
La fille s'est offerte
On s'est laissé glisser
Quand ses parents ont crié au voleur
Car j'avais pris le coeur
De la fillette en pleur
Moi j'ai repris la route
Moi j'ai repris la blanche et belle grande route
Quand les gendarmes ont cessé de chercher
Et moi de me cacher
Lorsque tout fut calmé
Moi j'ai repris la route
Mais je l'ai enlevée
A Paris sur la Butte
Où l'on s'est installés
Laridondé
Elle a fait la culbute
Avec tout le quartier
Quand j'étais en colère
Elle m'ouvrait les bras
Laridonda
Il n'y avait rien à faire
Elle ne compreniat pas
Quand dans mes yeux les larmes ont perlé
Quand ma vie fut brisée
Et mon coeur dévasté
Moi j'ai repris la route
Moi j'ai repris la blanche et belle grande route
Quand la caserne a ouvert ses battants
Que j'ai vu grimaçant
Mon amour d'adjudant
Ca ne fait aucun doute
Je me suis engagé
Et j'ai reprisla route
Dans les rangs de l'armée .
Les clairons de sonner
L'adjudant de gueuler
Moi j'ai repris la route
Moi j'ai repris la blanche et belle grande route
Quand le soleil dans le ciel s'est pointé
Ivre de liberté
Sans savoir où aller
Moi j'ai repris la route
D'un petit pas léger
Il y avait une gosse
Qui gardait ses moutons
Laridondon
Pas fûtée mais précoce
Un bien joli tendron
L'air tendre et l'herbe verte
Quelques banalités
Laridondé
La fille s'est offerte
On s'est laissé glisser
Quand ses parents ont crié au voleur
Car j'avais pris le coeur
De la fillette en pleur
Moi j'ai repris la route
Moi j'ai repris la blanche et belle grande route
Quand les gendarmes ont cessé de chercher
Et moi de me cacher
Lorsque tout fut calmé
Moi j'ai repris la route
Mais je l'ai enlevée
A Paris sur la Butte
Où l'on s'est installés
Laridondé
Elle a fait la culbute
Avec tout le quartier
Quand j'étais en colère
Elle m'ouvrait les bras
Laridonda
Il n'y avait rien à faire
Elle ne compreniat pas
Quand dans mes yeux les larmes ont perlé
Quand ma vie fut brisée
Et mon coeur dévasté
Moi j'ai repris la route
Moi j'ai repris la blanche et belle grande route
Quand la caserne a ouvert ses battants
Que j'ai vu grimaçant
Mon amour d'adjudant
Ca ne fait aucun doute
Je me suis engagé
Et j'ai reprisla route
Dans les rangs de l'armée .
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venerdì 15 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO PARCE QUE TU CROIS
Parce que tu crois
Que tu es ma faiblesse
Tu me blesses
Me meurtris
Et tu te joues de moi
Comme de toutes choses
Et disposes
De ma vie
Et jour et nuit.
Parce que tu crois
Etre ma raison d'être
Tu fais naître
Ma douleur
Et bien malgré moi
En tout cas je le pense
Tu dépenses le bonheur
Qui vit dans mon coeur
Un jour peut venir
Demain peut-être ou bien dans l'avenir
Où qui sait mon Dieu
Le destin viendra pour brouiller les jeux
Tout ce que tu crois
Etre à toi sans réserve
Comme un rêve au matin
Peut briser ta loi
Laisser tes yeux humides
Et le vide dans tes mains
Parce que tu crois
Que je suis un esclave
Un épave
De l'amour
Tu puises tes joies
Et tu forges tes armes
Dans les larmes
Sans secours
De mon coeur lourd
Parce que tu crois
Que je fus mis au monde
Pour que blonde
Déchaînée
Tu me mènes au pas
Sans faire sacrifice
D'un caprice
D'une idée
D'enfant gâtée
Quand tout sera mort
Quand la passion aura quitté mon corps
Je me reprendrai
Et je te quitterai sans un regret
Parce que je crois
Qu'un jour dans un sourire
Je vais dire
Que nous deux
C'est fini tu vois
Et qu'enfin il me reste
Que le geste
De l'adieu .
Que tu es ma faiblesse
Tu me blesses
Me meurtris
Et tu te joues de moi
Comme de toutes choses
Et disposes
De ma vie
Et jour et nuit.
Parce que tu crois
Etre ma raison d'être
Tu fais naître
Ma douleur
Et bien malgré moi
En tout cas je le pense
Tu dépenses le bonheur
Qui vit dans mon coeur
Un jour peut venir
Demain peut-être ou bien dans l'avenir
Où qui sait mon Dieu
Le destin viendra pour brouiller les jeux
Tout ce que tu crois
Etre à toi sans réserve
Comme un rêve au matin
Peut briser ta loi
Laisser tes yeux humides
Et le vide dans tes mains
Parce que tu crois
Que je suis un esclave
Un épave
De l'amour
Tu puises tes joies
Et tu forges tes armes
Dans les larmes
Sans secours
De mon coeur lourd
Parce que tu crois
Que je fus mis au monde
Pour que blonde
Déchaînée
Tu me mènes au pas
Sans faire sacrifice
D'un caprice
D'une idée
D'enfant gâtée
Quand tout sera mort
Quand la passion aura quitté mon corps
Je me reprendrai
Et je te quitterai sans un regret
Parce que je crois
Qu'un jour dans un sourire
Je vais dire
Que nous deux
C'est fini tu vois
Et qu'enfin il me reste
Que le geste
De l'adieu .
giovedì 14 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO IL FALLAIT BIEN
Il fallait bien
Que me vienne un jour
Ce mal soudain,
Qu'on appelle l'amour
Il fallait bien
Que je crois en lui
Pour qu'un matin
Il me laisse meurtri
L'amour s'en vient, l'amour se meurt
A peine un rire et puis des pleurs
Et le silence autour de moi
Le souvenir qui naît déjà
L'amour était si beau près de toi
Il fallait bien
Te serrer très fort
Tenir tes mains
Pour te garder encore
Il fallait bien
M'accrocher à toi
Lorsque plus rien
Ne retenait mes pas
Il fallait bien
Sauver mon bonheur
Par les moyens
Que me laissaient mon coeur
Ils brûlent les feux de l'enfer
Et dans mon âme et dans ma chair
Tu ne m'as laissé que regrets
Et le remords de n'avoir fait
Peut-être pas tout ce qu'il fallait
Il fallait bien
En payer le prix
Et mon chagrin
Vient de briser ma vie.
Que me vienne un jour
Ce mal soudain,
Qu'on appelle l'amour
Il fallait bien
Que je crois en lui
Pour qu'un matin
Il me laisse meurtri
L'amour s'en vient, l'amour se meurt
A peine un rire et puis des pleurs
Et le silence autour de moi
Le souvenir qui naît déjà
L'amour était si beau près de toi
Il fallait bien
Te serrer très fort
Tenir tes mains
Pour te garder encore
Il fallait bien
M'accrocher à toi
Lorsque plus rien
Ne retenait mes pas
Il fallait bien
Sauver mon bonheur
Par les moyens
Que me laissaient mon coeur
Ils brûlent les feux de l'enfer
Et dans mon âme et dans ma chair
Tu ne m'as laissé que regrets
Et le remords de n'avoir fait
Peut-être pas tout ce qu'il fallait
Il fallait bien
En payer le prix
Et mon chagrin
Vient de briser ma vie.
mercoledì 13 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO SUR LE CHEMIN DU RETOUR
Pour tromper ma vie et rompre le temps
Avec mon chagrin pour fardeau
Fuyant ton sourire et tes vingt printemps
Qui me collent encore à la peau
Pour voir d'autres yeux, trouver d'autres joies
Oublier ton nom pour toujours
Et puiser ma force au sein d'autres bras
J'ai choisi l'exil mon amour.
Passe le vie et meurt le temps
Seul l'amour peut tuer l'amour,
Mon coeur se trouve à tout instant
Sur le chemin du retour
Du retour
Croyant m'enrichir du sel et du miel
D'une vie au triple galop
J'ai jeté mon âme à l'assaut du ciel
Il ne m'a rendu qu'un sanglot
Que me reste-t-il du temps gaspillé
A vaincre les monts et les mers ?
Des années perdues à fuir un passé
Qui s'accroche à mon univers ?
Passe le vie et meurt le temps
Seul l'amour peut tuer l'amour,
Mon coeur se trouve à tout instant
Sur le chemin du retour
Du retour !
Mais l'amour en moi
Brisera l'orgueil
Car je n'en peux plus de t'aimer
Et mon coeur vaincu franchira ton seuil
Pour ne plus jamais s'en aller.
Avec mon chagrin pour fardeau
Fuyant ton sourire et tes vingt printemps
Qui me collent encore à la peau
Pour voir d'autres yeux, trouver d'autres joies
Oublier ton nom pour toujours
Et puiser ma force au sein d'autres bras
J'ai choisi l'exil mon amour.
Passe le vie et meurt le temps
Seul l'amour peut tuer l'amour,
Mon coeur se trouve à tout instant
Sur le chemin du retour
Du retour
Croyant m'enrichir du sel et du miel
D'une vie au triple galop
J'ai jeté mon âme à l'assaut du ciel
Il ne m'a rendu qu'un sanglot
Que me reste-t-il du temps gaspillé
A vaincre les monts et les mers ?
Des années perdues à fuir un passé
Qui s'accroche à mon univers ?
Passe le vie et meurt le temps
Seul l'amour peut tuer l'amour,
Mon coeur se trouve à tout instant
Sur le chemin du retour
Du retour !
Mais l'amour en moi
Brisera l'orgueil
Car je n'en peux plus de t'aimer
Et mon coeur vaincu franchira ton seuil
Pour ne plus jamais s'en aller.
martedì 12 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO PARIS AU MOIS D'AOÛT
Balayé par septembre
Notre amour d'un été
Tristement se démembre
Et se meurt au passé
J'avais beau m'y attendre
Mon coeur vide de tout
Ressemble à s'y méprendre
A Paris au mois d'août
De larmes et de rires
Était fait notre amour
Qui redoutant le pire
Vivait au jour le jour
Chaque rue, chaque pierre
Semblaient n'être qu'à nous
Nous étions seuls sur terre
A Paris au mois d'août
Pour te dire je t'aime
Aussi loin que tu sois
Une part de moi-même
Reste accrochée à toi
Et l'autre solitaire
Recherche de partout
L'aveuglante lumière
De Paris au mois d'août
Dieu fasse que mon rêve
De retrouver un peu
Du mois d'août sur tes lèvres
De Paris dans tes yeux
Prenne forme et relance
Notre amour un peu fou
Pour que tout recommence
A Paris au mois d'août
Notre amour d'un été
Tristement se démembre
Et se meurt au passé
J'avais beau m'y attendre
Mon coeur vide de tout
Ressemble à s'y méprendre
A Paris au mois d'août
De larmes et de rires
Était fait notre amour
Qui redoutant le pire
Vivait au jour le jour
Chaque rue, chaque pierre
Semblaient n'être qu'à nous
Nous étions seuls sur terre
A Paris au mois d'août
Pour te dire je t'aime
Aussi loin que tu sois
Une part de moi-même
Reste accrochée à toi
Et l'autre solitaire
Recherche de partout
L'aveuglante lumière
De Paris au mois d'août
Dieu fasse que mon rêve
De retrouver un peu
Du mois d'août sur tes lèvres
De Paris dans tes yeux
Prenne forme et relance
Notre amour un peu fou
Pour que tout recommence
A Paris au mois d'août
lunedì 11 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO IL VIENDRA CE JOUR
Il viendra
Ce jour où les amoureux malheureux
Sècheront enfin leurs pleurs
Il viendra
Ce matin où les clairons
Sonneront leur appel du bonheur
Les trompés, sortiront de leurs sanglots
Pour connaître le repos
De leurs coeurs
Et les femmes abandonnées
Comme les hommes bafoués
Pourront se sentir vainqueur
Il viendra
Ce jour où tous les tambours
De l'amour
Rouleront à l'unisson
Il viendra
Pour effacer nos chagrins
Mettant fin aux guerres des passions
Il viendra
Tôt ou tard ce temps perdu
Révolu
Que l'on prétend sans retour
Il viendra
Faisant flotter l'étendard
De l'espoir
Pour nous porter secours
Effaçant nos larmes et nos rancoeurs
Au cri de debout les coeurs
Et les amants séparés
La foule des mals-aimés
Seront unis pour toujours
Il viendra
Par les villes et par les champs
Ecrasant
Les mortes saisons d'amour
Il viendra
Donner contere nos tourments
L'éclatant
Soleil de ces beaux jours
Il viendra
Ce jour où les coeurs brûlés
Vont marcher
Au pas de leurs souvenirs,
Il viendra
Avec toi qui reviendra
Dans mes bras,
Pour ne plus repartir !
Ce jour où les amoureux malheureux
Sècheront enfin leurs pleurs
Il viendra
Ce matin où les clairons
Sonneront leur appel du bonheur
Les trompés, sortiront de leurs sanglots
Pour connaître le repos
De leurs coeurs
Et les femmes abandonnées
Comme les hommes bafoués
Pourront se sentir vainqueur
Il viendra
Ce jour où tous les tambours
De l'amour
Rouleront à l'unisson
Il viendra
Pour effacer nos chagrins
Mettant fin aux guerres des passions
Il viendra
Tôt ou tard ce temps perdu
Révolu
Que l'on prétend sans retour
Il viendra
Faisant flotter l'étendard
De l'espoir
Pour nous porter secours
Effaçant nos larmes et nos rancoeurs
Au cri de debout les coeurs
Et les amants séparés
La foule des mals-aimés
Seront unis pour toujours
Il viendra
Par les villes et par les champs
Ecrasant
Les mortes saisons d'amour
Il viendra
Donner contere nos tourments
L'éclatant
Soleil de ces beaux jours
Il viendra
Ce jour où les coeurs brûlés
Vont marcher
Au pas de leurs souvenirs,
Il viendra
Avec toi qui reviendra
Dans mes bras,
Pour ne plus repartir !
domenica 10 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO PLUS RIEN
Plus rien ne peut nous arriver
Rien ne peut nous séparer
Le temps s'arrête et tout commence alors
Que j'étreins ton corps
Plus rien ne peut fausser nos jours
Rien ne peut briser l'amour
Qui est en moi
Je vis pour toi
Pour ce reflet dans tes yeux
Quand tu es contre moi
L'instant ou je meurs
Et revis en nos joies
Mes souvenirs
Mon avenir
C'est toi
Blottie entre mes bras
Et rien, quoi qu'il puisse advenir
Rien ne peut nous désunir
Rien car tu es mon destin
Et si le temps veut brouiller
Les cartes de mon coeur
Détruire et piller
Ce qui fait mon bonheur
Je me battrai
Mais garderai
L'amour
Même au prix de mes jours
Mais rien en tout je le crois
Rien tant que tu m'aimeras
Rien
Ne me prendra mes joies
Rien ne peut nous séparer
Le temps s'arrête et tout commence alors
Que j'étreins ton corps
Plus rien ne peut fausser nos jours
Rien ne peut briser l'amour
Qui est en moi
Je vis pour toi
Pour ce reflet dans tes yeux
Quand tu es contre moi
L'instant ou je meurs
Et revis en nos joies
Mes souvenirs
Mon avenir
C'est toi
Blottie entre mes bras
Et rien, quoi qu'il puisse advenir
Rien ne peut nous désunir
Rien car tu es mon destin
Et si le temps veut brouiller
Les cartes de mon coeur
Détruire et piller
Ce qui fait mon bonheur
Je me battrai
Mais garderai
L'amour
Même au prix de mes jours
Mais rien en tout je le crois
Rien tant que tu m'aimeras
Rien
Ne me prendra mes joies
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sabato 9 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO CA VIENT SANS QU'ON Y PENSE
La pluie frappe à la fenêtre
L'ennui dans nos coeurs pénètre
Les nuits sont plus longues que les jours
Où sont nos jolies vacances
Frissons de l'eau bleue qui danse
Chansons et soleil sur nos amours
Ca vient sans qu'on y pense
Soudain ça recommence
Mais rien rien n'est jamais perdu d'avance
Sans bruit ça se prépare
Et puis sans crier gare
Ca vient quand on n'y croyait plus
C'est vrai la saison est moche
Je n'ai plus un sou en poche
Faudrait un miracle du bon Dieu
Alléluia
Mais toi ça te fait sourire
Je vois que tu vas me dire
Mais pourquoi prends-tu l'argent au sérieux
Ca vient sans qu'on y pense
Soudain ça recommence
Mais rien rien n'est jamais perdu d'avance
Sans bruit ça se prépare
Et puis sans crier gare
Ca vient quand on n'y croyait plus
Un jour comme une tornade
Au cours d'un promenade
L'amour s'est abattu sur nous deux
D'abord on n'y prend pas garde
Le tort c'est qu'on se regarde
Dès lors tout ce passe dans no yeux
Ca vient sans qu'on y pense
Soudain ça recommence
Mais rien rien n'est jamais perdu d'avance
Sans bruit ça se prépare
Et puis sans crier gare
Ca vient quand on n'y croyait plus
Des mots j'en ai dans la tête
Bien trop pour ma chansonnette
Un flot qui n'a ni rime ni raison
Souvent je l'avoue je flanche
Devant une page blanche
Mais comment vais-je écrire ma chanson
Ca vient sans qu'on y pense
Soudain ça recommence
Mais rien rien n'est jamais perdu d'avance
Sans bruit ça se prépare
Et puis sans crier gare
Ca vient quand on n'y croyait plus
Ca vient sans qu'on y pense
Soudain ça recommence
Mais rien rien n'est jamais perdu d'avance
Sans bruit ça se prépare
Et puis sans crier gare
Ca vient quand on n'y croyait plus plus plus !
L'ennui dans nos coeurs pénètre
Les nuits sont plus longues que les jours
Où sont nos jolies vacances
Frissons de l'eau bleue qui danse
Chansons et soleil sur nos amours
Ca vient sans qu'on y pense
Soudain ça recommence
Mais rien rien n'est jamais perdu d'avance
Sans bruit ça se prépare
Et puis sans crier gare
Ca vient quand on n'y croyait plus
C'est vrai la saison est moche
Je n'ai plus un sou en poche
Faudrait un miracle du bon Dieu
Alléluia
Mais toi ça te fait sourire
Je vois que tu vas me dire
Mais pourquoi prends-tu l'argent au sérieux
Ca vient sans qu'on y pense
Soudain ça recommence
Mais rien rien n'est jamais perdu d'avance
Sans bruit ça se prépare
Et puis sans crier gare
Ca vient quand on n'y croyait plus
Un jour comme une tornade
Au cours d'un promenade
L'amour s'est abattu sur nous deux
D'abord on n'y prend pas garde
Le tort c'est qu'on se regarde
Dès lors tout ce passe dans no yeux
Ca vient sans qu'on y pense
Soudain ça recommence
Mais rien rien n'est jamais perdu d'avance
Sans bruit ça se prépare
Et puis sans crier gare
Ca vient quand on n'y croyait plus
Des mots j'en ai dans la tête
Bien trop pour ma chansonnette
Un flot qui n'a ni rime ni raison
Souvent je l'avoue je flanche
Devant une page blanche
Mais comment vais-je écrire ma chanson
Ca vient sans qu'on y pense
Soudain ça recommence
Mais rien rien n'est jamais perdu d'avance
Sans bruit ça se prépare
Et puis sans crier gare
Ca vient quand on n'y croyait plus
Ca vient sans qu'on y pense
Soudain ça recommence
Mais rien rien n'est jamais perdu d'avance
Sans bruit ça se prépare
Et puis sans crier gare
Ca vient quand on n'y croyait plus plus plus !
venerdì 8 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO QUELQUE CHOSE OU QUELQU'UN
Même lorsque l'on croit
Que l'on n'attend plus rien
Nous attendons toujours
Quelque chose ou quelqu'un
On attend que la vie nous l'apporte
Nous l'apporte aujourd'hui ou demain
Même lorsque l'on sait
Que la nuit est venue
On espère toujours
Le passant inconnu
Qui viendrait à heurter notre porte
Comme le voyageur attendu
Il y a toujours une place vide
Un amour à prendre, un coeur qui s'ennuie
Il suffit d'un mot d'un geste timide
Et voilà nos mains soudain réunies
Même lorsque l'on croit
Que l'on n'attend plus rien
Quand les volets sont clos
Quand le feu s'est éteint
Nous attendons toujours quelque chose
On attend quelque chose ou quelqu'un
Quand on croit que plus rien
Ne peut nous arriver
Quand on croit le bonheur
Impossible à trouver
On continue quand-même à attendre
On continue quand-même à rêver
Que l'on n'attend plus rien
Nous attendons toujours
Quelque chose ou quelqu'un
On attend que la vie nous l'apporte
Nous l'apporte aujourd'hui ou demain
Même lorsque l'on sait
Que la nuit est venue
On espère toujours
Le passant inconnu
Qui viendrait à heurter notre porte
Comme le voyageur attendu
Il y a toujours une place vide
Un amour à prendre, un coeur qui s'ennuie
Il suffit d'un mot d'un geste timide
Et voilà nos mains soudain réunies
Même lorsque l'on croit
Que l'on n'attend plus rien
Quand les volets sont clos
Quand le feu s'est éteint
Nous attendons toujours quelque chose
On attend quelque chose ou quelqu'un
Quand on croit que plus rien
Ne peut nous arriver
Quand on croit le bonheur
Impossible à trouver
On continue quand-même à attendre
On continue quand-même à rêver
giovedì 7 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO AIME-MOI
Aime-moi
Comme tu n'as jamais aimé
Aime-moi
Aussi fort que je t'aime
Et n'ai plus peur de rien
Tu verras que tout ira bien
Qui pourra lutter contre moi
Si je me sens aimé de toi
Ferme les yeux
Et aime-moi
Comme j'ai rêvé d'être aimé
Aime-moi
Mais de toute ton âme
Je donnerais tu vois
Je donnerais n'importe quoi
Pour que tu sois la femme qui n'aimera que moi
Aime-moi
Comme tu n'as jamais aimé
Aime-moi,
Aussi fort que je t'aime
Je ne peux être heureux
Que si je me vois dans tes yeux
Dans tes chagrins et dans tes joies
Que si je fais partie de toi
Ferme les yeux et donne-moi
Ce que tu n'as jamais donné
Et ce que moi
Je te donne moi même
Sois près de moi toujours
Pour partager mes nuits mes jours
Et nulle force au monde
Pas même une seconde
Ne me prendra la blonde
Qui m'aimera d'amour.
Comme tu n'as jamais aimé
Aime-moi
Aussi fort que je t'aime
Et n'ai plus peur de rien
Tu verras que tout ira bien
Qui pourra lutter contre moi
Si je me sens aimé de toi
Ferme les yeux
Et aime-moi
Comme j'ai rêvé d'être aimé
Aime-moi
Mais de toute ton âme
Je donnerais tu vois
Je donnerais n'importe quoi
Pour que tu sois la femme qui n'aimera que moi
Aime-moi
Comme tu n'as jamais aimé
Aime-moi,
Aussi fort que je t'aime
Je ne peux être heureux
Que si je me vois dans tes yeux
Dans tes chagrins et dans tes joies
Que si je fais partie de toi
Ferme les yeux et donne-moi
Ce que tu n'as jamais donné
Et ce que moi
Je te donne moi même
Sois près de moi toujours
Pour partager mes nuits mes jours
Et nulle force au monde
Pas même une seconde
Ne me prendra la blonde
Qui m'aimera d'amour.
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mercoledì 6 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO LA BOHEME
Je vous parle d'un temps,
Que les moins de vingt ans,
Ne peuvent pas connaître,
Montmartre en ce temps là,
Accrochait ses lilas,
Jusque sous nos fenêtres,
Et si l'humble garni,
Qui nous servait de lit,
Ne payait pas de mine,
C'est là qu'on s'est connu,
Moi qui criait famine et toi,
Qui posait nue,
La Bohème, la Bohème,
Ca voulait dire, on est heureux,
La Bohème, la Bohème,
Nous ne mangions,
Qu'un jour sur deux.
Dans les cafés voisins,
Nous étions quelques uns,
Qui attendions la gloire,
Et bien que miséreux,
Avec le ventre creux,
Nous ne cessions d'y croire,
Et quand quelques bistrots,
Contre un bon repas chaud,
Nous prenaient une toile,
Nous récitions des vers,
Grouppés autour du poêle,
En oubliant l'hiver.
La Bohème, la Bohème,
Ca voulait dire,
Tu es jolie,
La Bohème, la Bohème,
Et nous avions tous du génie.
Souvent il m'arrivait,
Devant mon chevalet,
De passer des nuits blanches,
Retouchant le dessin,
De la ligne d'un sein,
Du galbe d'une hanche,
Et ce n'est qu'au matin,
L'on s'asseyait enfin,
Devant un café crème,
Epuisés, mais ravis,
Faut-il bien que l'on s'aime,
Et que l'on aime la vie.
La Bohème, la Bohème,
Ca voulait dire, on a vingt ans,
La Bohème, la Bohème,
Et nous vivions de l'air du temps.
Quant au hasard des jours,
Je m'en vais faire un tour,
A mon ancienne adresse,
Je ne reconnais plus,
Ni les murs, ni les rues,
Qu'y ont vus ma jeunesse,
En haut d'un escalier,
Je cherche l'atelier dont plus rien ne subsiste,
Dans son nouveau décor,
Momtmartre semble triste,
Et les lilas sont morts.
La Bohème, la Bohème,
On était jeunes,
On était fous,
La Bohème, la Bohème,
Ca ne veut plus rien dire du tout.
Que les moins de vingt ans,
Ne peuvent pas connaître,
Montmartre en ce temps là,
Accrochait ses lilas,
Jusque sous nos fenêtres,
Et si l'humble garni,
Qui nous servait de lit,
Ne payait pas de mine,
C'est là qu'on s'est connu,
Moi qui criait famine et toi,
Qui posait nue,
La Bohème, la Bohème,
Ca voulait dire, on est heureux,
La Bohème, la Bohème,
Nous ne mangions,
Qu'un jour sur deux.
Dans les cafés voisins,
Nous étions quelques uns,
Qui attendions la gloire,
Et bien que miséreux,
Avec le ventre creux,
Nous ne cessions d'y croire,
Et quand quelques bistrots,
Contre un bon repas chaud,
Nous prenaient une toile,
Nous récitions des vers,
Grouppés autour du poêle,
En oubliant l'hiver.
La Bohème, la Bohème,
Ca voulait dire,
Tu es jolie,
La Bohème, la Bohème,
Et nous avions tous du génie.
Souvent il m'arrivait,
Devant mon chevalet,
De passer des nuits blanches,
Retouchant le dessin,
De la ligne d'un sein,
Du galbe d'une hanche,
Et ce n'est qu'au matin,
L'on s'asseyait enfin,
Devant un café crème,
Epuisés, mais ravis,
Faut-il bien que l'on s'aime,
Et que l'on aime la vie.
La Bohème, la Bohème,
Ca voulait dire, on a vingt ans,
La Bohème, la Bohème,
Et nous vivions de l'air du temps.
Quant au hasard des jours,
Je m'en vais faire un tour,
A mon ancienne adresse,
Je ne reconnais plus,
Ni les murs, ni les rues,
Qu'y ont vus ma jeunesse,
En haut d'un escalier,
Je cherche l'atelier dont plus rien ne subsiste,
Dans son nouveau décor,
Momtmartre semble triste,
Et les lilas sont morts.
La Bohème, la Bohème,
On était jeunes,
On était fous,
La Bohème, la Bohème,
Ca ne veut plus rien dire du tout.
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martedì 5 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO IL FAUT SAVOIR
Il faut savoir,
Encore sourire,
Quand le meilleur s'est retiré,
Et qu'il ne reste que le pire,
Dans une vie bête à pleurer,
Il faut savoir,
Coûte que coûte,
Garder toute sa dignité,
Et malgré, ce qu'il en coûte,
S'en aller sans se retourner,
Face au destin,
Qui nous désarme,
Elevant, le bonheur perdu,
Il faut savoir,
Cacher ses larmes,
Mais moi mon coeur,
Je n'ai pas su.
Il faut savoir,
Quitter la table,
Lorsque l'amour est désservit,
Sans s'accrocher l'air pitoyable,
Et paritr sans faire de bruits,
Il faut savoir,
Cacher sa peine,
Sous le masque de tous les jours,
Et retenir les cris de haine,
Qui sont,
Les derniers mots d'amour,
Il faut savoir,
Rester de glace,
Et taire un coeur,
Qui meurt déjà,
Il faut savoir,
Garder la face,
Même moi je t'aime trop,
Même moi je ne peux pas,
Il faut savoir,
Mais moi,
Je ne sais pas.
Encore sourire,
Quand le meilleur s'est retiré,
Et qu'il ne reste que le pire,
Dans une vie bête à pleurer,
Il faut savoir,
Coûte que coûte,
Garder toute sa dignité,
Et malgré, ce qu'il en coûte,
S'en aller sans se retourner,
Face au destin,
Qui nous désarme,
Elevant, le bonheur perdu,
Il faut savoir,
Cacher ses larmes,
Mais moi mon coeur,
Je n'ai pas su.
Il faut savoir,
Quitter la table,
Lorsque l'amour est désservit,
Sans s'accrocher l'air pitoyable,
Et paritr sans faire de bruits,
Il faut savoir,
Cacher sa peine,
Sous le masque de tous les jours,
Et retenir les cris de haine,
Qui sont,
Les derniers mots d'amour,
Il faut savoir,
Rester de glace,
Et taire un coeur,
Qui meurt déjà,
Il faut savoir,
Garder la face,
Même moi je t'aime trop,
Même moi je ne peux pas,
Il faut savoir,
Mais moi,
Je ne sais pas.
lunedì 4 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO LE TEMPS DES LOUPS
Regarde-moi
Je suis à vif, je suis à bout
Loin de tes yeux, mes yeux sont fous
Pour toi
J'étranglerai ma rage
Pour toi
Je dompterai l'orage
Broyant d'un coup
Le temps des loups
Écoute-moi
Moi dont le coeur n'est plus qu'un cri
Entre l'enfer et l'infini
Je changerai de Dieu, de vie
Pour toi
Étouffant ma violence
Pour toi
J'inventerai l'enfance
Que désavoue
Le temps des loups
Je veux dans l'onde de tes yeux
Noyer mes haines
Et la soie de tes cheveux
Tresser mes chaînes
Pour voir au vent
De l'amour qui s'ébroue
Jour après jour
S'estomper le temps des loups
Embrasse-moi
Je vaux ce que je vaux sans plus
J'ai les griffes et les dents pointues
Mais j'ai des rêves à coeur veux-tu
Pour toi
Je serai par tendresse
Pour toi
De chair et de faiblesse
Brûlant pour nous
Le temps des loups
Mon pas séparé de ton pas
Court vers l'abîme
Sans toi je serais un paria,
Une victime
Viens me tirer d'un passé
Qui me noue
Le temps d'aimer
Efface le temps des loups
Marche avec moi
Car je veux croire avec candeur
Qu'en les dédales de ton coeur
Un monde naît quand l'autre meurt
Pour toi
Avec ma foi profonde
Pour toi
J'entrerai dans ce monde
Libre de tout
Laissant très loin de nous
Le temps des loups
Je suis à vif, je suis à bout
Loin de tes yeux, mes yeux sont fous
Pour toi
J'étranglerai ma rage
Pour toi
Je dompterai l'orage
Broyant d'un coup
Le temps des loups
Écoute-moi
Moi dont le coeur n'est plus qu'un cri
Entre l'enfer et l'infini
Je changerai de Dieu, de vie
Pour toi
Étouffant ma violence
Pour toi
J'inventerai l'enfance
Que désavoue
Le temps des loups
Je veux dans l'onde de tes yeux
Noyer mes haines
Et la soie de tes cheveux
Tresser mes chaînes
Pour voir au vent
De l'amour qui s'ébroue
Jour après jour
S'estomper le temps des loups
Embrasse-moi
Je vaux ce que je vaux sans plus
J'ai les griffes et les dents pointues
Mais j'ai des rêves à coeur veux-tu
Pour toi
Je serai par tendresse
Pour toi
De chair et de faiblesse
Brûlant pour nous
Le temps des loups
Mon pas séparé de ton pas
Court vers l'abîme
Sans toi je serais un paria,
Une victime
Viens me tirer d'un passé
Qui me noue
Le temps d'aimer
Efface le temps des loups
Marche avec moi
Car je veux croire avec candeur
Qu'en les dédales de ton coeur
Un monde naît quand l'autre meurt
Pour toi
Avec ma foi profonde
Pour toi
J'entrerai dans ce monde
Libre de tout
Laissant très loin de nous
Le temps des loups
domenica 3 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO LA MAMMA
Ils sont venus,
Il sont tous là,
Dès qu'ils ont entendu ce cri,
Elle va mourir la mamma,
Ils sont venus,
Ils sont tous là,
Y'a même Georgio,
Le fils maudit,
Avec des présents plein les bras.
Tous les enfants jouent en silence,
Autour du lit sur le carreau,
Mais leurs jeux n'ont pas d'importance,
C'est un peu leur dernier cadeau,
A la mamma.
On la réchauffe de baisers,
On lui remonte ses oreillers,
Elle va mourir la mamma,
Sainte Marie,
Pleine de grâce,
Dont la statue est sur la place,
Bien sûr vous lui tendez les bras,
En lui chantant Avé Maria,
Avé Maria.
Y'a tant d'amour,
De souvenirs,
Autour de toi,
Toi, la mamma,
Y'a tant de larmes,
Et de sourires,
A travers toi,
Toi, la mamma.
Et tous les hommes ont eu si chaud,
Sur les chemins de grand soleil,
Elle va mourir la mamma,
Qu'ils boivent frais,
Le vin nouveau,
Le bon vin de la bonne traye,
Tandis que s'entassent pêle mêle,
Sur les bancs foulards et chapeaux,
C'est drôle,
On ne se sent pas triste,
Près du grand lit de l'affection,
Y'a même un oncle guitariste,
Qui joue en faisant attention,
A la mamma.
Et les femmes se souvenant,
Des chansons tristes des veillées,
Elle va mourir la mamma,
Tout doucement les yeux fermés,
Chante comme on berce un enfant,
Après une bonne journée,
Pour qu'il sourit en s'endormant,
Avé Maria,
Y'a tant d'amour,
De souvenirs,
Autour de toi,
Toi, la mamma,
Y'a tant de larmes,
Et de sourires,
A travers toi,
Toi, la mamma,
Que jamais,
Jamais,
Jamais,
Tu nous quitteras !
Il sont tous là,
Dès qu'ils ont entendu ce cri,
Elle va mourir la mamma,
Ils sont venus,
Ils sont tous là,
Y'a même Georgio,
Le fils maudit,
Avec des présents plein les bras.
Tous les enfants jouent en silence,
Autour du lit sur le carreau,
Mais leurs jeux n'ont pas d'importance,
C'est un peu leur dernier cadeau,
A la mamma.
On la réchauffe de baisers,
On lui remonte ses oreillers,
Elle va mourir la mamma,
Sainte Marie,
Pleine de grâce,
Dont la statue est sur la place,
Bien sûr vous lui tendez les bras,
En lui chantant Avé Maria,
Avé Maria.
Y'a tant d'amour,
De souvenirs,
Autour de toi,
Toi, la mamma,
Y'a tant de larmes,
Et de sourires,
A travers toi,
Toi, la mamma.
Et tous les hommes ont eu si chaud,
Sur les chemins de grand soleil,
Elle va mourir la mamma,
Qu'ils boivent frais,
Le vin nouveau,
Le bon vin de la bonne traye,
Tandis que s'entassent pêle mêle,
Sur les bancs foulards et chapeaux,
C'est drôle,
On ne se sent pas triste,
Près du grand lit de l'affection,
Y'a même un oncle guitariste,
Qui joue en faisant attention,
A la mamma.
Et les femmes se souvenant,
Des chansons tristes des veillées,
Elle va mourir la mamma,
Tout doucement les yeux fermés,
Chante comme on berce un enfant,
Après une bonne journée,
Pour qu'il sourit en s'endormant,
Avé Maria,
Y'a tant d'amour,
De souvenirs,
Autour de toi,
Toi, la mamma,
Y'a tant de larmes,
Et de sourires,
A travers toi,
Toi, la mamma,
Que jamais,
Jamais,
Jamais,
Tu nous quitteras !
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sabato 2 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO LES GALETS D'ETRETAT
La mer à Étretat,
Lorsque l'hiver fait rage,
A la beauté sauvage
Que je retrouve en toi
En vague se déchaîne
Écumante de haine
Mais belle malgré tout
Et toi comme la mer
Furieuse sous l'orage
Tu broies sur ton passage
Ce qui gêne tes pas
Ton coeur est plus amer
Que l'eau morte des plages
Et froid comme sont froids
Les galets d'Étretat
Les galets d'Étretat
La mer à Étretat
Est sans couleur précise
Tantôt bleue, tantôt grise
Comme tes yeux parfois
Tranquille ou en fureur
Elle court au rivage
Qu'elle frôle ou saccage
Au grés de son humeur
Et toi comme la mer
Furieuse sous l'orage
Tu broies sur ton passage
Ce qui gêne tes pas
Ton coeur est plus amer
Que l'eau morte des plages
Et froid comme sont froids
Les galets d'Étretat
Les galets d'Étretat
Mais saurais-je jamais
Quel est ton vrai visage
Celui fait à l'image
De mon espoir en toi
Ou l'autre plus secret
Fuyant comme un mirage
Qui éclairait pour moi
Les galets d'Étretat
Lorsque l'hiver fait rage,
A la beauté sauvage
Que je retrouve en toi
En vague se déchaîne
Écumante de haine
Mais belle malgré tout
Et toi comme la mer
Furieuse sous l'orage
Tu broies sur ton passage
Ce qui gêne tes pas
Ton coeur est plus amer
Que l'eau morte des plages
Et froid comme sont froids
Les galets d'Étretat
Les galets d'Étretat
La mer à Étretat
Est sans couleur précise
Tantôt bleue, tantôt grise
Comme tes yeux parfois
Tranquille ou en fureur
Elle court au rivage
Qu'elle frôle ou saccage
Au grés de son humeur
Et toi comme la mer
Furieuse sous l'orage
Tu broies sur ton passage
Ce qui gêne tes pas
Ton coeur est plus amer
Que l'eau morte des plages
Et froid comme sont froids
Les galets d'Étretat
Les galets d'Étretat
Mais saurais-je jamais
Quel est ton vrai visage
Celui fait à l'image
De mon espoir en toi
Ou l'autre plus secret
Fuyant comme un mirage
Qui éclairait pour moi
Les galets d'Étretat
venerdì 1 gennaio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO HOSANNA!
Marie a souffert, Marie a donné
Naissance à minuit sonné
A l'enfant de Dieu
Les hommes l'ont su, ils ont entonné
Un alléluia glorieux
Comme pour remercier les cieux
Hosanna! Hosanna!
Marie le monde court vers toi
Il veut voir l'enfant de ta chair
Et savoir comment il se nomme
Hosanna! Hosanna!
Ton fils Jésus deviendra roi
Roi des Juifs et de l'univers
Et régnera sur tous les hommes
Marie frémi, Marie a prié
Comme tous agenouillée
Près de l'enfant
Jésus a souri, il a regardé
Les hommes venus humblement
Les bras encombrés de présents
Hosanna! Hosanna!
Marie a enfanté un roi
Courez de par les continents
Colporter la bonne nouvelle
Hosanna! Hosanna!
Cloches sonnez, jouez hautbois
Il est né le divin enfant
Cette nuit sera éternelle
Naissance à minuit sonné
A l'enfant de Dieu
Les hommes l'ont su, ils ont entonné
Un alléluia glorieux
Comme pour remercier les cieux
Hosanna! Hosanna!
Marie le monde court vers toi
Il veut voir l'enfant de ta chair
Et savoir comment il se nomme
Hosanna! Hosanna!
Ton fils Jésus deviendra roi
Roi des Juifs et de l'univers
Et régnera sur tous les hommes
Marie frémi, Marie a prié
Comme tous agenouillée
Près de l'enfant
Jésus a souri, il a regardé
Les hommes venus humblement
Les bras encombrés de présents
Hosanna! Hosanna!
Marie a enfanté un roi
Courez de par les continents
Colporter la bonne nouvelle
Hosanna! Hosanna!
Cloches sonnez, jouez hautbois
Il est né le divin enfant
Cette nuit sera éternelle
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