Sylvie
Ou sont tes plaisirs
Et tes rires d'enfant
Sylvie
Ou sont tes désirs
De mordre à belles dents
La vie
Éveillant tes jeunes printemps
A l'aube de tes joies
Tu pleures déjà
Pour
Un garçon insensé
Qui un jour
Sans raison a brisé
Pour toujours
Les espoirs de ton coeur
Plein d'amour
Toi tu pleures
Sylvie
Ce que l'on voit fuir
Ne se rattrape pas
Sylvie
Armé d'un sourire
Un inconnu viendra
Ravi
D'apporter des rêves en toi
Par un nouveau bonheur
Au fond de ton coeur
Viens
Car à l'âge d'aimer
Le chagrin
Ne doit pas t'effleurer
Car demain
Peut sombrer ton malheur
Puisque rien
Ne demeure
Sylvie
Quand on a de l'espoir
Tout peux recommencer
Sylvie
Range ton mouchoir
Et repoudre ton nez
Souris
Car la vie ce traîne à tes pieds
Ne la repousse pas
Tu regretteras
Quand
Tes années s'enfuiront
Que le temps
Me donnera raison
Tristement
Tu te diras:"trop tard!"
En fouillant
Ta mémoire
Sylvie
Là tu comprendras
Ce que tu as perdu
Sylvie
Les jours d'autrefois
Ne se revivent plus
Aussi
Ouvre ton coeur à l'inconnu
Qui changera tes jours
Par un cri d'amour
domenica 28 febbraio 2010
JE NE PEUX PLUS RENTRER CHEZ MOI
Je ne peux plus rentrer chez moi
Charles Aznavour
Membran
Anno:2009
Charles Aznavour
Membran
Anno:2009
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sabato 27 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO JE T'ATTENDS
Mes jours passent, mes nuits pleurent
Et pleure le temps
Ma raison sombre et se meurt
Quand meurt le temps
Ce temps mort que je regrette
Tant et tant
Car sans joie ma vie s'arrête
Et je t'attends
J'attends l'air que je respire
Et le printemps
J'attends mes éclats de rire
Et mes vingt ans
Mes mers calmes et mes tempêtes
En même temps
Car sans joie ma vie s'arrête
Et je t'attends
Je t'attends
Viens ne tarde pas
D'où que tu viennes, qui que tu sois
Viens le temps est court
Je t'attends
Mon rêve inconnu
Quel est ton nom, quel est ton but
Le mien c'est l'amour
Pour que mes jours se transforment
Et que vraiment
Ma vie par toi prenne forme
A chaque instant
Parce que le vide me hante
Avec mon sang
Comme un peintre je t'invente
Et je t'attends
Mes doigts par petites touches
Font tes dents
Avant de croquer ta bouche
Eperdument
Mais ces rêves ne me laissent
Que tourments
Car je traîne ma détresse
Et je t'attends
Et pleure le temps
Ma raison sombre et se meurt
Quand meurt le temps
Ce temps mort que je regrette
Tant et tant
Car sans joie ma vie s'arrête
Et je t'attends
J'attends l'air que je respire
Et le printemps
J'attends mes éclats de rire
Et mes vingt ans
Mes mers calmes et mes tempêtes
En même temps
Car sans joie ma vie s'arrête
Et je t'attends
Je t'attends
Viens ne tarde pas
D'où que tu viennes, qui que tu sois
Viens le temps est court
Je t'attends
Mon rêve inconnu
Quel est ton nom, quel est ton but
Le mien c'est l'amour
Pour que mes jours se transforment
Et que vraiment
Ma vie par toi prenne forme
A chaque instant
Parce que le vide me hante
Avec mon sang
Comme un peintre je t'invente
Et je t'attends
Mes doigts par petites touches
Font tes dents
Avant de croquer ta bouche
Eperdument
Mais ces rêves ne me laissent
Que tourments
Car je traîne ma détresse
Et je t'attends
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MOI J' FAIS MON ROND
Moi j' fais mon rond
Charles Aznavour
Intense
Anno:2009
Charles Aznavour
Intense
Anno:2009
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venerdì 26 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO SI TU M'EMPORTES
Si tu m'emportes dans le torrent de joies
De la jeunesse qui s'éveille et parle en toi
Je pourrai sans mesure
Me baigner dans l'eau pure
Et blanche de ton corps
Si tu m'emportes dans ton printemps nouveau
J'y cueillerai la fleur sauvage de ta peau
Avant que de m'étendre
Au jardin des mots tendres
Et fort comme la mort
Rien que toi et moi
La nuit, le jour
Rien que toi et moi
Et pour toujours
Rien que toi et moi
Nous et notre amour
Nous et notre amour
Si tu m'emportes sur le bateau léger
De tes espoirs et de tes rêves insensés
J'amènerai la voile
Et nous ferons escale
Aux rives du bonheur
Si tu m'emportes dans le désert brûlant
Où naissent les folies de ton âme d'enfant
J'y bâtirai un monde
Pour qu'à chaque seconde
On vive coeur à coeur
Rien que toi et moi
La nuit, le jour
Rien que toi et moi
Et pour toujours
Rien que toi et moi
Nous et notre amour
Nous et notre amour
Mais que tu m'emportes vers le printemps, la mer
Dans le torrent de tes idées ou le désert
Qu'importe où tu m'emportes, mais verrouilles la porte
Et viens, viens contre moi
Emporte-moi
De la jeunesse qui s'éveille et parle en toi
Je pourrai sans mesure
Me baigner dans l'eau pure
Et blanche de ton corps
Si tu m'emportes dans ton printemps nouveau
J'y cueillerai la fleur sauvage de ta peau
Avant que de m'étendre
Au jardin des mots tendres
Et fort comme la mort
Rien que toi et moi
La nuit, le jour
Rien que toi et moi
Et pour toujours
Rien que toi et moi
Nous et notre amour
Nous et notre amour
Si tu m'emportes sur le bateau léger
De tes espoirs et de tes rêves insensés
J'amènerai la voile
Et nous ferons escale
Aux rives du bonheur
Si tu m'emportes dans le désert brûlant
Où naissent les folies de ton âme d'enfant
J'y bâtirai un monde
Pour qu'à chaque seconde
On vive coeur à coeur
Rien que toi et moi
La nuit, le jour
Rien que toi et moi
Et pour toujours
Rien que toi et moi
Nous et notre amour
Nous et notre amour
Mais que tu m'emportes vers le printemps, la mer
Dans le torrent de tes idées ou le désert
Qu'importe où tu m'emportes, mais verrouilles la porte
Et viens, viens contre moi
Emporte-moi
giovedì 25 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO LA MAMMA
Ils sont venus,
Il sont tous là,
Dès qu'ils ont entendu ce cri,
Elle va mourir la mamma,
Ils sont venus,
Ils sont tous là,
Y'a même Georgio,
Le fils maudit,
Avec des présents plein les bras.
Tous les enfants jouent en silence,
Autour du lit sur le carreau,
Mais leurs jeux n'ont pas d'importance,
C'est un peu leur dernier cadeau,
A la mamma.
On la réchauffe de baisers,
On lui remonte ses oreillers,
Elle va mourir la mamma,
Sainte Marie,
Pleine de grâce,
Dont la statue est sur la place,
Bien sûr vous lui tendez les bras,
En lui chantant Avé Maria,
Avé Maria.
Y'a tant d'amour,
De souvenirs,
Autour de toi,
Toi, la mamma,
Y'a tant de larmes,
Et de sourires,
A travers toi,
Toi, la mamma.
Et tous les hommes ont eu si chaud,
Sur les chemins de grand soleil,
Elle va mourir la mamma,
Qu'ils boivent frais,
Le vin nouveau,
Le bon vin de la bonne traye,
Tandis que s'entassent pêle mêle,
Sur les bancs foulards et chapeaux,
C'est drôle,
On ne se sent pas triste,
Près du grand lit de l'affection,
Y'a même un oncle guitariste,
Qui joue en faisant attention,
A la mamma.
Et les femmes se souvenant,
Des chansons tristes des veillées,
Elle va mourir la mamma,
Tout doucement les yeux fermés,
Chante comme on berce un enfant,
Après une bonne journée,
Pour qu'il sourit en s'endormant,
Avé Maria,
Y'a tant d'amour,
De souvenirs,
Autour de toi,
Toi, la mamma,
Y'a tant de larmes,
Et de sourires,
A travers toi,
Toi, la mamma,
Que jamais,
Jamais,
Jamais,
Tu nous quitteras !
Il sont tous là,
Dès qu'ils ont entendu ce cri,
Elle va mourir la mamma,
Ils sont venus,
Ils sont tous là,
Y'a même Georgio,
Le fils maudit,
Avec des présents plein les bras.
Tous les enfants jouent en silence,
Autour du lit sur le carreau,
Mais leurs jeux n'ont pas d'importance,
C'est un peu leur dernier cadeau,
A la mamma.
On la réchauffe de baisers,
On lui remonte ses oreillers,
Elle va mourir la mamma,
Sainte Marie,
Pleine de grâce,
Dont la statue est sur la place,
Bien sûr vous lui tendez les bras,
En lui chantant Avé Maria,
Avé Maria.
Y'a tant d'amour,
De souvenirs,
Autour de toi,
Toi, la mamma,
Y'a tant de larmes,
Et de sourires,
A travers toi,
Toi, la mamma.
Et tous les hommes ont eu si chaud,
Sur les chemins de grand soleil,
Elle va mourir la mamma,
Qu'ils boivent frais,
Le vin nouveau,
Le bon vin de la bonne traye,
Tandis que s'entassent pêle mêle,
Sur les bancs foulards et chapeaux,
C'est drôle,
On ne se sent pas triste,
Près du grand lit de l'affection,
Y'a même un oncle guitariste,
Qui joue en faisant attention,
A la mamma.
Et les femmes se souvenant,
Des chansons tristes des veillées,
Elle va mourir la mamma,
Tout doucement les yeux fermés,
Chante comme on berce un enfant,
Après une bonne journée,
Pour qu'il sourit en s'endormant,
Avé Maria,
Y'a tant d'amour,
De souvenirs,
Autour de toi,
Toi, la mamma,
Y'a tant de larmes,
Et de sourires,
A travers toi,
Toi, la mamma,
Que jamais,
Jamais,
Jamais,
Tu nous quitteras !
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mercoledì 24 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO JE HAIS LES DIMANCHES
Tous les jours de la semaine
Sont vides et sonnent le creux
Bien pire que la semaine
Y a le dimanche prétentieux
Qui veut paraître rose
Et jouer les généreux
Le dimanche qui s'impose
Comme un jour bienheureux
Je hais les dimanches!
Je hais les dimanches!
Dans la rue y a la foule
Des millions de passants
Cette foule qui coule
D'un air indifférent
Cette foule qui marche
Comme à un enterrement
L'enterrement d'un dimanche
Qui est mort depuis longtemps
Je hais les dimanches!
Je hais les dimanches!
Tu travailles toute la semaine et le dimanche aussi
C'est peut-être pour ça que je suis de parti pris
Chéri, si simplement tu étais près de moi
Je serais prête à aimer tout ce que je n'aime pas
Les dimanches de printemps
Tout flanqués de soleil
Qui effacent en brillant
Les soucis de la veille
Dimanche plein de ciel bleu
Et de rires d'enfants
De promenades d'amoureux
Aux timides serments
Et de fleurs aux branches
Et de fleurs aux branches
Et parmi la cohue
Des gens, qui, sans se presser
Vont à travers les rues
Nous irions nous glisser
Tous deux, main dans la main
Sans chercher à savoir
Ce qu'il y aura demain
N'ayant pour tout espoir
Que d'autres dimanches
Que d'autres dimanches
Et tous les honnêtes gens
Que l'on dit bien pensants
Et ceux qui ne le sont pas
Et qui veulent qu'on le croit
Et qui vont à l'église
Parce que c'est la coutume
Qui changent de chemises
Et mettent un beau costume
Ceux qui dorment vingt heures
Car rien ne les en empêche
Ceux qui se lèvent de bonne heure
Pour aller à la pêche
Ceux pour qui c'est le jour
D'aller au cimetière
Et ceux qui font l'amour
Parce qu'ils n'ont rien à faire
Envieraient notre bonheur
Tout comme j'envie le leur
D'avoir des dimanches
De croire aux dimanches
D'aimer les dimanches
Quand je hais les dimanches
Sont vides et sonnent le creux
Bien pire que la semaine
Y a le dimanche prétentieux
Qui veut paraître rose
Et jouer les généreux
Le dimanche qui s'impose
Comme un jour bienheureux
Je hais les dimanches!
Je hais les dimanches!
Dans la rue y a la foule
Des millions de passants
Cette foule qui coule
D'un air indifférent
Cette foule qui marche
Comme à un enterrement
L'enterrement d'un dimanche
Qui est mort depuis longtemps
Je hais les dimanches!
Je hais les dimanches!
Tu travailles toute la semaine et le dimanche aussi
C'est peut-être pour ça que je suis de parti pris
Chéri, si simplement tu étais près de moi
Je serais prête à aimer tout ce que je n'aime pas
Les dimanches de printemps
Tout flanqués de soleil
Qui effacent en brillant
Les soucis de la veille
Dimanche plein de ciel bleu
Et de rires d'enfants
De promenades d'amoureux
Aux timides serments
Et de fleurs aux branches
Et de fleurs aux branches
Et parmi la cohue
Des gens, qui, sans se presser
Vont à travers les rues
Nous irions nous glisser
Tous deux, main dans la main
Sans chercher à savoir
Ce qu'il y aura demain
N'ayant pour tout espoir
Que d'autres dimanches
Que d'autres dimanches
Et tous les honnêtes gens
Que l'on dit bien pensants
Et ceux qui ne le sont pas
Et qui veulent qu'on le croit
Et qui vont à l'église
Parce que c'est la coutume
Qui changent de chemises
Et mettent un beau costume
Ceux qui dorment vingt heures
Car rien ne les en empêche
Ceux qui se lèvent de bonne heure
Pour aller à la pêche
Ceux pour qui c'est le jour
D'aller au cimetière
Et ceux qui font l'amour
Parce qu'ils n'ont rien à faire
Envieraient notre bonheur
Tout comme j'envie le leur
D'avoir des dimanches
De croire aux dimanches
D'aimer les dimanches
Quand je hais les dimanches
martedì 23 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO J'EN DEDUIS QUE JE T'AIME
Par la peur de te perdre,
Et de ne plus te voir,
Par ces mondes incensés,
Qui grouillent dans ma tête,
Par ces nuits sans sommeil,
Où la folie me guette,
Quand le doute m'effleure,
Et tend mon coeur de noir.
J'en déduis que je t'aime,
J'en déduis que je t'aime.
Par le temps que je prends,
Pour ne penser qu'à toi,
Par mes règnes de jour,
Où tu règnes en idole,
Par ton corps désiré,
De mon corps qui s'affole,
Et l'angoisse à l'idée,
Que tu te joues de moi,
J'en déduis que je t'aime,
J'en déduis que je t'aime.
Par, le froid qui m'étreinds,
Lorsque je t'apperçois,
Par mon souffle coupé,
Et mon sang qui se glasse,
Par la désolation,
Qui réduit mon espace,
Et le mal,
Que souvent tu me fais,
Malgré toi.
Par la contradiction,
De ma tête et mon coeur,
Par mes vingt ans perdus,
Qu'en toi, je réalise,
Par tes regards lointains,
Qui parfois me suffisent,
Et me font espérer,
En quelques jours meilleurs,
J'en déduis que je t'aime,
J'en déduis que je t'aime,
Par, l'idée que la fin,
Pourrait être un début,
Par mes joies éventrées,
Par ton indifférence,
Par tous les mots d'amour,
Qui restent en souffrnce,
Puique de te les dire,
Est pour moi défendu.
J'endéduis que je t'aime,
J'en déduis,
Mon amour.
Et de ne plus te voir,
Par ces mondes incensés,
Qui grouillent dans ma tête,
Par ces nuits sans sommeil,
Où la folie me guette,
Quand le doute m'effleure,
Et tend mon coeur de noir.
J'en déduis que je t'aime,
J'en déduis que je t'aime.
Par le temps que je prends,
Pour ne penser qu'à toi,
Par mes règnes de jour,
Où tu règnes en idole,
Par ton corps désiré,
De mon corps qui s'affole,
Et l'angoisse à l'idée,
Que tu te joues de moi,
J'en déduis que je t'aime,
J'en déduis que je t'aime.
Par, le froid qui m'étreinds,
Lorsque je t'apperçois,
Par mon souffle coupé,
Et mon sang qui se glasse,
Par la désolation,
Qui réduit mon espace,
Et le mal,
Que souvent tu me fais,
Malgré toi.
Par la contradiction,
De ma tête et mon coeur,
Par mes vingt ans perdus,
Qu'en toi, je réalise,
Par tes regards lointains,
Qui parfois me suffisent,
Et me font espérer,
En quelques jours meilleurs,
J'en déduis que je t'aime,
J'en déduis que je t'aime,
Par, l'idée que la fin,
Pourrait être un début,
Par mes joies éventrées,
Par ton indifférence,
Par tous les mots d'amour,
Qui restent en souffrnce,
Puique de te les dire,
Est pour moi défendu.
J'endéduis que je t'aime,
J'en déduis,
Mon amour.
lunedì 22 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO LE PALAIS DE NOS CHIMERES
Nos nous sommes mariés,
Par un jour de printemps,
Sans prêtre sans mairie,
Sans amis ni parents,
Nous n'avions tout au plus,
Elle et moi que vingt ans,
Mais un désir d'adulte,
Brûlait nos coeurs d'enfants.
L'amour en une nuit,
Emancipa nos coeurs,
Nous étions enlacés,
Tout honte de bonheur,
Dans nos yeux aggrandis,
Ne passait nulle peur,
Car la jeunesse rit,
Quand l'enfance se meurt,
Le palais de nos chimères,
Nous l'avions bâtis sur l'horizon,
Et nous saturions la terre,
Elle et moi,
Comme des vagabonds,
Pour s'abreuver à la source,
De l'amour,
Cet éternel printemps,
Nous pnous partagieons la mousse,
Du château de la rose des vents,
A présent je suis seul,
Et je marche toujours,
Mais quand je sentirai,
Venir mon dernier jour,
Sur la tombe où déjà,
Repose mon amour,
Heureux, j'irais m'étendre,
Et mourir à mon tour,
Et sous la croix nos deux corps dormiront,
Nos yeux seront cernés par le même horizon,
Et de la même terre nous bouches s'empliront,
Quand pour l'éternité,
Nos âmes s'uniront.
Le palis de nos chimères,
A croulé,
Avec mes illusion,
Et sous le poids de ces pierres,
Se lézarde, un coeur de vagabond,
Mon passé qui me domine,
Me pousse, à errer,
Par tous les temps,
Et dormir parmi les ruines,
Du château, de la rose des vents.
Par un jour de printemps,
Sans prêtre sans mairie,
Sans amis ni parents,
Nous n'avions tout au plus,
Elle et moi que vingt ans,
Mais un désir d'adulte,
Brûlait nos coeurs d'enfants.
L'amour en une nuit,
Emancipa nos coeurs,
Nous étions enlacés,
Tout honte de bonheur,
Dans nos yeux aggrandis,
Ne passait nulle peur,
Car la jeunesse rit,
Quand l'enfance se meurt,
Le palais de nos chimères,
Nous l'avions bâtis sur l'horizon,
Et nous saturions la terre,
Elle et moi,
Comme des vagabonds,
Pour s'abreuver à la source,
De l'amour,
Cet éternel printemps,
Nous pnous partagieons la mousse,
Du château de la rose des vents,
A présent je suis seul,
Et je marche toujours,
Mais quand je sentirai,
Venir mon dernier jour,
Sur la tombe où déjà,
Repose mon amour,
Heureux, j'irais m'étendre,
Et mourir à mon tour,
Et sous la croix nos deux corps dormiront,
Nos yeux seront cernés par le même horizon,
Et de la même terre nous bouches s'empliront,
Quand pour l'éternité,
Nos âmes s'uniront.
Le palis de nos chimères,
A croulé,
Avec mes illusion,
Et sous le poids de ces pierres,
Se lézarde, un coeur de vagabond,
Mon passé qui me domine,
Me pousse, à errer,
Par tous les temps,
Et dormir parmi les ruines,
Du château, de la rose des vents.
domenica 21 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO CE SACRÉ PIANO
Ce sacré piano
Placé dans un coin
Voudrait libérer
Sa voix qui déborde
Mais reste accrochée
Au long de ses cordes
Et son vieux clavier
Qu'aucun doigt n'aborde
Espère des mains
Ce sacré piano
Qui semble endormi
Pour l'éternité
Entre quatre planches
Aimerait que ses
Touches noires et blanches
Fussent caressées
Mais nul ne se penche
Sur son corps vieilli
Moi de temps en temps
Quand j'ai de la peine
Je vais doucement
Consoler la sienne
Et tout deux rêvant
De nos joies anciennes
Nous pleurons les jours anciens
Ce sacré piano
Me colle à la peau
Mais plus mes doigts courent
Moins je me délivre
De ce vieil amour
Qui perd l'équilibre
Et compte les jours
Qui lui restent à vivre
Sans repos
Sans repos
Ce sacré piano
Est mon seul ami
Il sait m'étourdir
Sans trop de manières
Et m'aide à franchir
Toutes les barrières
Grâce aux souvenirs
Placés sur la terre
Jalonnant la vie
Ce sacré piano
Attend jour et nuit
Debout dans un coin
Que je le caresse
Comme un pauvre chien
Tirant sur sa laisse
Pour aller vers un
Maître qui le laisse
Pour d'autres amours
Et lorsque je mets
Les doigts sur ses touches
Sur lui dés que j'ai
Mes mains qui se couchent
Le passé renaît
Du fond de sa bouche
Évoquant nos anciens jours
Ce sacré piano
Quand il parle trop
Me remet souvent
Des choses en mémoire
Et remue le temps
Et fait des histoires
Parfois tant et tant
Que je me sépare
De mon vieux piano
De mon vieux piano
De mon vieux piano
Pauvre piano...
Placé dans un coin
Voudrait libérer
Sa voix qui déborde
Mais reste accrochée
Au long de ses cordes
Et son vieux clavier
Qu'aucun doigt n'aborde
Espère des mains
Ce sacré piano
Qui semble endormi
Pour l'éternité
Entre quatre planches
Aimerait que ses
Touches noires et blanches
Fussent caressées
Mais nul ne se penche
Sur son corps vieilli
Moi de temps en temps
Quand j'ai de la peine
Je vais doucement
Consoler la sienne
Et tout deux rêvant
De nos joies anciennes
Nous pleurons les jours anciens
Ce sacré piano
Me colle à la peau
Mais plus mes doigts courent
Moins je me délivre
De ce vieil amour
Qui perd l'équilibre
Et compte les jours
Qui lui restent à vivre
Sans repos
Sans repos
Ce sacré piano
Est mon seul ami
Il sait m'étourdir
Sans trop de manières
Et m'aide à franchir
Toutes les barrières
Grâce aux souvenirs
Placés sur la terre
Jalonnant la vie
Ce sacré piano
Attend jour et nuit
Debout dans un coin
Que je le caresse
Comme un pauvre chien
Tirant sur sa laisse
Pour aller vers un
Maître qui le laisse
Pour d'autres amours
Et lorsque je mets
Les doigts sur ses touches
Sur lui dés que j'ai
Mes mains qui se couchent
Le passé renaît
Du fond de sa bouche
Évoquant nos anciens jours
Ce sacré piano
Quand il parle trop
Me remet souvent
Des choses en mémoire
Et remue le temps
Et fait des histoires
Parfois tant et tant
Que je me sépare
De mon vieux piano
De mon vieux piano
De mon vieux piano
Pauvre piano...
sabato 20 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO TU ÉTAIS TROP JOLIE
Tu étais trop jolie,
Trop jolie mon amour
Ton rire était trop frais
Et ton corps trop parfait
Tu aimais tant la vie,
Tant la vie au grand jour
Que j'en restais parfois
Tout ému près de toi
Mais le vent s'est levé
Dans nos coeurs étonnés
Et quand l'hiver glacé
Est passé
Il a tout dévasté
Emportant mon bonheur,
Ton bonheur pour toujours
Tu étais trop jolie pour moi mon amour
Les jours se succèdent au jour
Et la pluie fait place au soleil
Mais rien jamais rien n'est pareil
Bien que le monde tourne en rond
L'été revient chaque saison
Mais le bonheur est sans retour
Tu étais trop jolie,
Trop jolie mon amour
Tu n'étais qu'une enfant
Vivant intensément
Moi je n'ai pas compris,
Pas compris lorsqu'un jour
La vie que je tenais
S'est enfuie à jamais
Les jours, les mois s'en vont
De saison en saison
Mais dans mon coeur brisé
Déchiré
Ils ont tout dévasté
Emportant mon bonheur,
Ton bonheur pour toujours
Tu étais trop jolie pour vivre mon amour
Trop jolie mon amour
Ton rire était trop frais
Et ton corps trop parfait
Tu aimais tant la vie,
Tant la vie au grand jour
Que j'en restais parfois
Tout ému près de toi
Mais le vent s'est levé
Dans nos coeurs étonnés
Et quand l'hiver glacé
Est passé
Il a tout dévasté
Emportant mon bonheur,
Ton bonheur pour toujours
Tu étais trop jolie pour moi mon amour
Les jours se succèdent au jour
Et la pluie fait place au soleil
Mais rien jamais rien n'est pareil
Bien que le monde tourne en rond
L'été revient chaque saison
Mais le bonheur est sans retour
Tu étais trop jolie,
Trop jolie mon amour
Tu n'étais qu'une enfant
Vivant intensément
Moi je n'ai pas compris,
Pas compris lorsqu'un jour
La vie que je tenais
S'est enfuie à jamais
Les jours, les mois s'en vont
De saison en saison
Mais dans mon coeur brisé
Déchiré
Ils ont tout dévasté
Emportant mon bonheur,
Ton bonheur pour toujours
Tu étais trop jolie pour vivre mon amour
venerdì 19 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO PARCE QUE
Parc' que t'as les yeux bleus
Que tes cheveux s'amusent à défier le soleil
Par leur éclat de feu
Parc'que tu as vingt ans
Que tu croques la vie, comme à un fruit vermeil
Que l'on ceuille en riant,
Tu te crois tout permis,
Et n'en fais qu'à ta tête
Désolée un instant prête à recommencer,
Tu joues avec mon coeur, comme une enfant gâtée,
Qui réclame un joujou pour le réduire en miettes
Parc'que j'ai trop d'amour,
Tu viens voler mes nuits du fond de mon sommeil
Et fais pleurer mes jours.
Mais prends garde, chérie, je ne répond de rien
Si ma raison s'égare, et si je perds patience
Je peux d'un trait rayer nos coeurs d'une existance
Dont tu es le seul but, elle l'unique lien.
Parc'que je n'ai que toi
Mon coeur est mon seul maître et maître de mon coeur
L'amour nous fait la loi
Parc'que tu vis en moi
Et que rien ne remplace les instant de bonheur
Que je prends dans tes bras
Je ne me soucierais, ni de Dieu ni des hommes
Je suis prêt à mourir si tu mourrais un jour
Car la mort n'est qu'un jeu
Comparée à l'amour
Et la vie n'est plus rien sans l'amour qu'elle nous donne
Parc'que je suis au seuil
D'un amour éternel je voudrais que mon coeur
N'en porte pas le deuil
Parce que
Parce que ...
Que tes cheveux s'amusent à défier le soleil
Par leur éclat de feu
Parc'que tu as vingt ans
Que tu croques la vie, comme à un fruit vermeil
Que l'on ceuille en riant,
Tu te crois tout permis,
Et n'en fais qu'à ta tête
Désolée un instant prête à recommencer,
Tu joues avec mon coeur, comme une enfant gâtée,
Qui réclame un joujou pour le réduire en miettes
Parc'que j'ai trop d'amour,
Tu viens voler mes nuits du fond de mon sommeil
Et fais pleurer mes jours.
Mais prends garde, chérie, je ne répond de rien
Si ma raison s'égare, et si je perds patience
Je peux d'un trait rayer nos coeurs d'une existance
Dont tu es le seul but, elle l'unique lien.
Parc'que je n'ai que toi
Mon coeur est mon seul maître et maître de mon coeur
L'amour nous fait la loi
Parc'que tu vis en moi
Et que rien ne remplace les instant de bonheur
Que je prends dans tes bras
Je ne me soucierais, ni de Dieu ni des hommes
Je suis prêt à mourir si tu mourrais un jour
Car la mort n'est qu'un jeu
Comparée à l'amour
Et la vie n'est plus rien sans l'amour qu'elle nous donne
Parc'que je suis au seuil
D'un amour éternel je voudrais que mon coeur
N'en porte pas le deuil
Parce que
Parce que ...
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giovedì 18 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO QUAND J'EN AURAI ASSEZ
Quand j'en aurai assez
Assez
De crever pour toi
Assez
De pleurer pour toi
Assez
De souffrir pour toi
Je sais
Que je resterai
Blessé
Le coeur déchiré
Marqué
Quand j'en aurai assez
Que je serai lassé
Quand j'en aurai assez
Assez
De veiller la nuit
Assez
De crier la nuit
Assez
De trembler la nuit
De peur
Que l'amour que j'ai
Ne meure
Brisant à jamais
Mon coeur
Quand j'en aurai assez
Je pourrai t'oublier
Car tu n'as pas compris
Qu'à travers l'insouciance
Et les gestes anodins
Les mots de tous les jours
Les sourires attendris
Les pressements de mains
Que je venais t'offrir l'amour
Aussi tu m'as détruit
En me faisant si mal
Que je n'ai qu'un espoir
Celui de m'évader
Et de ne plus t'entendre
Et de ne plus te voir
Afin de mieux me libérer
Quand j'en aurai assez
Assez
De me raccrocher
Assez
De te supplier
Assez
Enfin de t'aimer
Je pourrai alors
Rêver
Je pourrai encore
Bâtir
Un merveilleux amour
Un jour
Pour tout recommencer
Assez
De crever pour toi
Assez
De pleurer pour toi
Assez
De souffrir pour toi
Je sais
Que je resterai
Blessé
Le coeur déchiré
Marqué
Quand j'en aurai assez
Que je serai lassé
Quand j'en aurai assez
Assez
De veiller la nuit
Assez
De crier la nuit
Assez
De trembler la nuit
De peur
Que l'amour que j'ai
Ne meure
Brisant à jamais
Mon coeur
Quand j'en aurai assez
Je pourrai t'oublier
Car tu n'as pas compris
Qu'à travers l'insouciance
Et les gestes anodins
Les mots de tous les jours
Les sourires attendris
Les pressements de mains
Que je venais t'offrir l'amour
Aussi tu m'as détruit
En me faisant si mal
Que je n'ai qu'un espoir
Celui de m'évader
Et de ne plus t'entendre
Et de ne plus te voir
Afin de mieux me libérer
Quand j'en aurai assez
Assez
De me raccrocher
Assez
De te supplier
Assez
Enfin de t'aimer
Je pourrai alors
Rêver
Je pourrai encore
Bâtir
Un merveilleux amour
Un jour
Pour tout recommencer
mercoledì 17 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO TOI ET TES YEUX D'ENFANTS
Toi et tes yeux d'enfant
Ton minois charmant
Tu as pris mon coeur
Toi et tes yeux pervers
Sans en avoir l'air
Tu me fais très peur
C'est drôle, l'amour
Complique nos jours
C'est triste et merveilleux
C'est drôle la vie
Ça crée des soucis
Dans le coeur des amoureux
Toi et tes yeux rêveurs
Ta fausse candeur
Tu ne veux rien savoir
Toi et tes yeux de chat
Tu ris aux éclats
Sur mes mots d'espoir
Avec impudeur
Tu griffes mon coeur
Ou fait patte de velours
Moi je joue le jeu
Pour avoir un peu
Un peu d'amour
Toi et tes yeux d'enfant
Et ton coeur changeant
Tu compliques tout
Toi et tes yeux pervers
Tes crises de nerfs
Tu me rendras fou
Tout ce que tu fais
Prouve que tu es
Femme jusqu'au bout des doigts
Je suis en tes mains
Livrés, pieds et poings
Liés soumis à toi
Toi et tes yeux ouverts
Tes phrases amères
Tu le fais du mal
Toi et tes yeux d'enfant
Tu pourrais pourtant
Ce serait normal
Me donner ce rien
Que j'attends en vain
Pour connaître enfin la joie
La joie d'être heureux
D'être aimer un peu
Un petit peu de
Rien qu'un petit peu de
Oui un petit peu de toi
Ton minois charmant
Tu as pris mon coeur
Toi et tes yeux pervers
Sans en avoir l'air
Tu me fais très peur
C'est drôle, l'amour
Complique nos jours
C'est triste et merveilleux
C'est drôle la vie
Ça crée des soucis
Dans le coeur des amoureux
Toi et tes yeux rêveurs
Ta fausse candeur
Tu ne veux rien savoir
Toi et tes yeux de chat
Tu ris aux éclats
Sur mes mots d'espoir
Avec impudeur
Tu griffes mon coeur
Ou fait patte de velours
Moi je joue le jeu
Pour avoir un peu
Un peu d'amour
Toi et tes yeux d'enfant
Et ton coeur changeant
Tu compliques tout
Toi et tes yeux pervers
Tes crises de nerfs
Tu me rendras fou
Tout ce que tu fais
Prouve que tu es
Femme jusqu'au bout des doigts
Je suis en tes mains
Livrés, pieds et poings
Liés soumis à toi
Toi et tes yeux ouverts
Tes phrases amères
Tu le fais du mal
Toi et tes yeux d'enfant
Tu pourrais pourtant
Ce serait normal
Me donner ce rien
Que j'attends en vain
Pour connaître enfin la joie
La joie d'être heureux
D'être aimer un peu
Un petit peu de
Rien qu'un petit peu de
Oui un petit peu de toi
martedì 16 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO AVEC
Avec ton sourire au coin de tes lèvres
Avec ton regard comme empli de fièvre
Tu sembles sortir des mains d'un orfèvre
Et je ne peux que t'aimer mon amour
Avec dans ton coeur des points vulnérables
Avec les fureurs dont tu es capable
Tu es tour à tour l'ange ou bien le diable
Qui vient troubler mes nuits et mes jours
Ceux qui disent
Des sottises
Et prédisent
Notre échec
J'les ignore et t'adore
Plus encore avec
Avec tes façons de fille à la page
Avec tes curieux écarts de language
Le peu de Printemps qui comptent ton âge
Je voudrais bien te garder toujours
Avec dans ta tête un grain de folie
Avec dans ton corps le goût de la vie
J'ai trouvé en toi toute une harmonie
Et je ne peux que t'aimer mon amour
Avec ta puseur mêlée d'indescence
Avec ta candeur frolant l'inconscience
Ta maturité si près de l'enfance
Je voudrais bien te garder toujours
Avec tes chagrins
Tes éclats de voix
Ton rire enfantin
Ta manière à toi
De parler soudain
De n'importe quoi
Et qui vont si bien
Avec toi.
Avec ton regard comme empli de fièvre
Tu sembles sortir des mains d'un orfèvre
Et je ne peux que t'aimer mon amour
Avec dans ton coeur des points vulnérables
Avec les fureurs dont tu es capable
Tu es tour à tour l'ange ou bien le diable
Qui vient troubler mes nuits et mes jours
Ceux qui disent
Des sottises
Et prédisent
Notre échec
J'les ignore et t'adore
Plus encore avec
Avec tes façons de fille à la page
Avec tes curieux écarts de language
Le peu de Printemps qui comptent ton âge
Je voudrais bien te garder toujours
Avec dans ta tête un grain de folie
Avec dans ton corps le goût de la vie
J'ai trouvé en toi toute une harmonie
Et je ne peux que t'aimer mon amour
Avec ta puseur mêlée d'indescence
Avec ta candeur frolant l'inconscience
Ta maturité si près de l'enfance
Je voudrais bien te garder toujours
Avec tes chagrins
Tes éclats de voix
Ton rire enfantin
Ta manière à toi
De parler soudain
De n'importe quoi
Et qui vont si bien
Avec toi.
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lunedì 15 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO CHAQUE FOIS QUE J'AIME
Chaque fois que j'aime
Tout m'enivre et tout me prends
Pourtant c'est toujours pareil et différent
Chaque fois que j'aime
Je redécouvre encore la vie
Et je suis prêt à faire mille folies
C'est comme un premier soleil qui me brûle
Un de ces jours merveilleux de printemps
Qui me tire d'un sommeil ridicule
Le coeur battant
Comme un enfant
Chaque fois que j'aime
Je sais bien que c'est pour toujours
Et je donne à coeur veux-tu de cet amour
C'est toujours de même
Je n'ai rien connu de plus beau
Car chaque fois que j'aime c'est nouveau
Chaque fois que j'aime
Tout en moi paraît anormal
Et mon coeur frappe si fort qu'il m'en fait mal
Chaque fois que j'aime
J'entre dans un monde fermé
Où la raison d'être est aimer pour aimer
Je perds la notion du temps et des choses
Je rêve encore un peu plus chaque jour
Et les questions que souvent je me pose
Tournent autour
De mon amour
Chaque fois que j'aime
Mon bonheur me semble si grand
Que je crois n'avoir jamais aimé autant
C'est toujours de même
J'arrête ma vie et le temps
Car chaque fois que j'aime
Chaque fois que j'aime
Chaque fois que j'aime
J'ai vingt ans
Tout m'enivre et tout me prends
Pourtant c'est toujours pareil et différent
Chaque fois que j'aime
Je redécouvre encore la vie
Et je suis prêt à faire mille folies
C'est comme un premier soleil qui me brûle
Un de ces jours merveilleux de printemps
Qui me tire d'un sommeil ridicule
Le coeur battant
Comme un enfant
Chaque fois que j'aime
Je sais bien que c'est pour toujours
Et je donne à coeur veux-tu de cet amour
C'est toujours de même
Je n'ai rien connu de plus beau
Car chaque fois que j'aime c'est nouveau
Chaque fois que j'aime
Tout en moi paraît anormal
Et mon coeur frappe si fort qu'il m'en fait mal
Chaque fois que j'aime
J'entre dans un monde fermé
Où la raison d'être est aimer pour aimer
Je perds la notion du temps et des choses
Je rêve encore un peu plus chaque jour
Et les questions que souvent je me pose
Tournent autour
De mon amour
Chaque fois que j'aime
Mon bonheur me semble si grand
Que je crois n'avoir jamais aimé autant
C'est toujours de même
J'arrête ma vie et le temps
Car chaque fois que j'aime
Chaque fois que j'aime
Chaque fois que j'aime
J'ai vingt ans
domenica 14 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO HIER ENCORE
Hier encore,
J'avais vingt ans,
Je carressais le temps,
Et jouais de la vie,
Comme on jour de l'amour,
Et je vivais la nuit,
Sans compter sur mes jours,
Qui fuyaient dans le temps,
J'ai fait tant de projets,
Qui sont restés en l'air,
J'ai fondé tant d'espoirs,
Qui se sont envolés,
Que je reste perdu,
Ne sachant où aller,
Les yeux cherchant le ciel,
Et le coeur mis en terre,
Hier encore,
J'avais vingt ans,
Je gaspillais le temps,
En croyant l'arrêter,
Et pour le retenir,
Même le devancer,
Je n'ai fait que courir,
Et me suis essouflé,
Ignorant le passé,
Conjuguant au futur,
Je précédais de moi,
Toute conversation,
Et donnait mon avis que je voulais le beau,
Pour critiquer le monde,
Avec désinvolture,
Hier encore,
J'avais vingt ans,
Mais j'ai perdu mon temps,
A faire des folies,
Qui ne me laissent,
Au fond,
Rien de vraiment précis,
Que quelques rides au front,
Et la peur de l'ennui,
Car mes amours sont mortes,
Avant que d'exister,
Mes amis sont parties et ne reviendront pas,
Par ma faute,
J'ai fait le vide autour de moi,
Et j'ai gâché ma vie,
Et mes jeunes années,
Du meilleur et du pire,
En jetant le meilleur,
J'ai figé mes sourires,
Et j'ai glacé mes pleurs,
Où sont-ils à présent,
A présent,
Mes vingt ans.
J'avais vingt ans,
Je carressais le temps,
Et jouais de la vie,
Comme on jour de l'amour,
Et je vivais la nuit,
Sans compter sur mes jours,
Qui fuyaient dans le temps,
J'ai fait tant de projets,
Qui sont restés en l'air,
J'ai fondé tant d'espoirs,
Qui se sont envolés,
Que je reste perdu,
Ne sachant où aller,
Les yeux cherchant le ciel,
Et le coeur mis en terre,
Hier encore,
J'avais vingt ans,
Je gaspillais le temps,
En croyant l'arrêter,
Et pour le retenir,
Même le devancer,
Je n'ai fait que courir,
Et me suis essouflé,
Ignorant le passé,
Conjuguant au futur,
Je précédais de moi,
Toute conversation,
Et donnait mon avis que je voulais le beau,
Pour critiquer le monde,
Avec désinvolture,
Hier encore,
J'avais vingt ans,
Mais j'ai perdu mon temps,
A faire des folies,
Qui ne me laissent,
Au fond,
Rien de vraiment précis,
Que quelques rides au front,
Et la peur de l'ennui,
Car mes amours sont mortes,
Avant que d'exister,
Mes amis sont parties et ne reviendront pas,
Par ma faute,
J'ai fait le vide autour de moi,
Et j'ai gâché ma vie,
Et mes jeunes années,
Du meilleur et du pire,
En jetant le meilleur,
J'ai figé mes sourires,
Et j'ai glacé mes pleurs,
Où sont-ils à présent,
A présent,
Mes vingt ans.
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sabato 13 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO LE TEMPS
Laisse moi guider tes pas dans l'existance,
Laisse moi la chance de me faire aimer,
Viens comme une enfant au creux de mon épaule,
Laisse moi le rôle,
De te faire oublier:
Le temps qui va,
Le temps qui sommeille,
Le temps sans joie,
Le temps des merveilles,
Le temps d'un jour,
Temps d'une seconde,
Le tempps qui court,
Ou celui qui gronde,
REFRAIN
Le temps,
Le temps,
Le temps et rien d'autre,
Le tien le mien,
Celui qu'on veut notre,
Le temps,
Le temps,
Le temps et rien d'autre,
Le tien le mien,
Celui qu'on veut notre.
Le temps passé,
Celui qui va naître,
Le temps d'aimer,
Et de disparaître,
Le temps des pleurs,
Le temps de la chance,
Le temps qui meurt,
Le temps des vacances.
REFRAIN
Le temps glorieux,
Le temps d'avant guerre,
Le temps des jeux,
Le temps des affaires,
Le temps joyeux,
Le temps des mensonges,
Le temps frileux,
Et le temps des songes.
REFRAIN
Le temps des crue,
Le temps des folies,
Le temps perdu,
Le temps de la vie,
Le temps qui vient,
Jamais ne s'arrête,
Et, je sais bien,
Que la vie est faite,
Du temps des une et du temps des autres,
Le tien le mien,
Peut devenir notre,
Le temps des uns et le temps des autres,
Le tien le mien,
Peut devenir notre,
Le temps,
Le temps des uns et le temps des autres,
Le tien le mien,
Peut devenir notre,
Le temps des uns et le temps des autre,
Le tien le mien,
Peut devenir notre,
Le temps,
Le temps,
Le temps,
Le temps.
Laisse moi la chance de me faire aimer,
Viens comme une enfant au creux de mon épaule,
Laisse moi le rôle,
De te faire oublier:
Le temps qui va,
Le temps qui sommeille,
Le temps sans joie,
Le temps des merveilles,
Le temps d'un jour,
Temps d'une seconde,
Le tempps qui court,
Ou celui qui gronde,
REFRAIN
Le temps,
Le temps,
Le temps et rien d'autre,
Le tien le mien,
Celui qu'on veut notre,
Le temps,
Le temps,
Le temps et rien d'autre,
Le tien le mien,
Celui qu'on veut notre.
Le temps passé,
Celui qui va naître,
Le temps d'aimer,
Et de disparaître,
Le temps des pleurs,
Le temps de la chance,
Le temps qui meurt,
Le temps des vacances.
REFRAIN
Le temps glorieux,
Le temps d'avant guerre,
Le temps des jeux,
Le temps des affaires,
Le temps joyeux,
Le temps des mensonges,
Le temps frileux,
Et le temps des songes.
REFRAIN
Le temps des crue,
Le temps des folies,
Le temps perdu,
Le temps de la vie,
Le temps qui vient,
Jamais ne s'arrête,
Et, je sais bien,
Que la vie est faite,
Du temps des une et du temps des autres,
Le tien le mien,
Peut devenir notre,
Le temps des uns et le temps des autres,
Le tien le mien,
Peut devenir notre,
Le temps,
Le temps des uns et le temps des autres,
Le tien le mien,
Peut devenir notre,
Le temps des uns et le temps des autre,
Le tien le mien,
Peut devenir notre,
Le temps,
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venerdì 12 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO IL TE SUFFISAIT QUE JE T'AIME
Nous avions vingt ans,
Toi et moi,
Quand on a sous le même toi,
Combattu la misère ensemble,
Nous étions encore presque enfant,
Et l'on disait en nous voyant,
"Regardez, comme ils se ressemblent",
Nous avons la main dans la main,
Surmontés les coups du destin,
Et résolu bien des problèmes,
Le ventre vide en privation,
Tu te nourrissais d'illusions,
Il te suffisait que je t'aime,
Nous avons lutté tant d'années,
Que la fortune s'est donnée,
Et l'âge a pris ton insouciance,
Tu te traînes comme un fardeau,
Et ne ris plus à tout propos,
Et pleurs, ton adolescence,
Et passe du matin au soir,
Des heures devant ton miroir,
Essayant des fars et des crèmes,
Et moi, je regrette parfois,
Le temps ou pour forger tes joies,
Il et suffisait que je t'aime.
Si je le pouvais mon amour,
Pour toi j'arrêterais le cours,
Des heures qui vont et s'éteignent,
Mais je ne peux rien y changer,
Car je suis comme toi logé,
Tu le sais à la même enseigne,
Ne cultive pas les regrets,
Car on ne récolte jamais,
Que les sentiments que l'on sême,
Fait comme au temps des années d'Or,
Et souviens qu'hier encore,
Il te suffisait que je t'aime.
Pour moi, rien n'a vraiment changé,
Je n'ai pas cesser de t'aimer,
Car tu as toujours tout le charme,
Que tu avais ce jour bénit,
Où devant Dieu tu as dit oui,
Avec des yeux baignés de larmes;
Le printemps passe et puis l'été,
Mais l'automne a des joies cachées,
Qui te faut découvrir toi même,
Oublie la cruauté du temps,
Et rappelle toi qu'à vingt ans,
Il te suffisait que je t'aime .
Toi et moi,
Quand on a sous le même toi,
Combattu la misère ensemble,
Nous étions encore presque enfant,
Et l'on disait en nous voyant,
"Regardez, comme ils se ressemblent",
Nous avons la main dans la main,
Surmontés les coups du destin,
Et résolu bien des problèmes,
Le ventre vide en privation,
Tu te nourrissais d'illusions,
Il te suffisait que je t'aime,
Nous avons lutté tant d'années,
Que la fortune s'est donnée,
Et l'âge a pris ton insouciance,
Tu te traînes comme un fardeau,
Et ne ris plus à tout propos,
Et pleurs, ton adolescence,
Et passe du matin au soir,
Des heures devant ton miroir,
Essayant des fars et des crèmes,
Et moi, je regrette parfois,
Le temps ou pour forger tes joies,
Il et suffisait que je t'aime.
Si je le pouvais mon amour,
Pour toi j'arrêterais le cours,
Des heures qui vont et s'éteignent,
Mais je ne peux rien y changer,
Car je suis comme toi logé,
Tu le sais à la même enseigne,
Ne cultive pas les regrets,
Car on ne récolte jamais,
Que les sentiments que l'on sême,
Fait comme au temps des années d'Or,
Et souviens qu'hier encore,
Il te suffisait que je t'aime.
Pour moi, rien n'a vraiment changé,
Je n'ai pas cesser de t'aimer,
Car tu as toujours tout le charme,
Que tu avais ce jour bénit,
Où devant Dieu tu as dit oui,
Avec des yeux baignés de larmes;
Le printemps passe et puis l'été,
Mais l'automne a des joies cachées,
Qui te faut découvrir toi même,
Oublie la cruauté du temps,
Et rappelle toi qu'à vingt ans,
Il te suffisait que je t'aime .
giovedì 11 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO TU T'AMUSES
Tu t'amuses de tout
Parce que t'as dix-huit ans
Tu t'amuses de tout
Et ris à pleine gorge
Et ris à pleine voix
Et ris à pleine dents
D'un rire qui désarme
Par lequel je comprends
Que tu te voudrais femme
Quand tu n'es qu'une enfant
Tu joues avec mon coeur
Parce qu'il rebondit bien
Tu joues avec mon coeur
Comme avec une balle
Comme un enfant
Comme un pantin
Mi-féroce et mi-tendre
Au gré de ton humeur
Tu ne veux pas comprendre
Pourquoi peux battre un coeur
Tu t'amuses de moi
Parce que tu veux savoir
Tu t'amuses de moi
Pour connaître ta force
Connaître tes atouts
Connaître ton pouvoir
C'est dans le fond ma douce
Plus simple que tu crois
Moi mon passé me pousse
Le tien est devant toi
Tu te payes de ma vie
Parc'elle a fait son temps
Tu te payes de ma vie
Au prix de mes angoisses
Au prix de mes douleurs
Au prix de mes tourments
Je suis à retour d'âme
Et à perte de joie
Et mon coeur ne réclame
Qu'un mot d'amour de toi
Qui t'amuses de tout
Qui t'amuses de tout
De mon coeur, de mes joies
Tu t'aimes de moi
Parce que t'as dix-huit ans
Tu t'amuses de tout
Et ris à pleine gorge
Et ris à pleine voix
Et ris à pleine dents
D'un rire qui désarme
Par lequel je comprends
Que tu te voudrais femme
Quand tu n'es qu'une enfant
Tu joues avec mon coeur
Parce qu'il rebondit bien
Tu joues avec mon coeur
Comme avec une balle
Comme un enfant
Comme un pantin
Mi-féroce et mi-tendre
Au gré de ton humeur
Tu ne veux pas comprendre
Pourquoi peux battre un coeur
Tu t'amuses de moi
Parce que tu veux savoir
Tu t'amuses de moi
Pour connaître ta force
Connaître tes atouts
Connaître ton pouvoir
C'est dans le fond ma douce
Plus simple que tu crois
Moi mon passé me pousse
Le tien est devant toi
Tu te payes de ma vie
Parc'elle a fait son temps
Tu te payes de ma vie
Au prix de mes angoisses
Au prix de mes douleurs
Au prix de mes tourments
Je suis à retour d'âme
Et à perte de joie
Et mon coeur ne réclame
Qu'un mot d'amour de toi
Qui t'amuses de tout
Qui t'amuses de tout
De mon coeur, de mes joies
Tu t'aimes de moi
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mercoledì 10 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO A MA FILLE
Je sais qu'un jour viendra,
Car la vie le commande,
Ce jour que j'appréende,
Ou tu nous quiterras,
Je sais qu'un jour viendra
Ou triste et solitaire,
En soutenant ta mère,
Et en traînant mes pas,
Je rentrerai chez nous,
Dans un chez nous désert,
Je rentrerai chez nous,
Ou tu ne seras pas.
Toi tu ne verras rien,
Des choses de mon coeur,
Tes yeux seront crevés de joie,
Et de bonheur,
Et j'aurais un rectus,
Que tu ne connais pas,
Qui semble être un sourire,
Emu, mais ne l'est pas,
En taisant ma douleur,
A ton bras fièrement,
Je guiderais tes pas,
Quoi que j'en pense ou dise,
Dans le recueillement d'une paisible église,
Pour aller te donner à l'homme de ton choix,
Qui te dévétira du nom qui est le notre,
Pour t'en donner un autre que tu ne connais pas,
Je sais qu'un jour viendra,
Tu atteindras cet âge,
Ou l'on force les cages,
Ayant trouvé sa voie,
Je sais qu'un jour viendra,
L'âge t'auras fleurie,
Et l'aube de ta vie,
Ailleurs, se lèvera.
Et seul, avec ta mère,
Le jour comme la nuit,
L'été comme l'hiver,
Nous aurons un peu froid.
Et lui qui ne sait rien du mal qu'on s'est donné,
Lui, qui n'aura rien fait pour murrir tes années,
Lui qui viendra voler,
Ce dont j'ai le plus peur,
Notre part de passé,
Notre part de bonheur.
Cet étranger sans nom, sans visage,
Oh combien je le hais,
Et pourtant,
S'il doit de rendre heureuse,
Je n'aurais envers lui nulle pensée haineuse,
Mais je lui offrirais mon coeur avec ta main,
Je ferais tout cela, en sachant que tu l'aimes,
Simplement car je t'aime le jour,
Ou il viendra .
Car la vie le commande,
Ce jour que j'appréende,
Ou tu nous quiterras,
Je sais qu'un jour viendra
Ou triste et solitaire,
En soutenant ta mère,
Et en traînant mes pas,
Je rentrerai chez nous,
Dans un chez nous désert,
Je rentrerai chez nous,
Ou tu ne seras pas.
Toi tu ne verras rien,
Des choses de mon coeur,
Tes yeux seront crevés de joie,
Et de bonheur,
Et j'aurais un rectus,
Que tu ne connais pas,
Qui semble être un sourire,
Emu, mais ne l'est pas,
En taisant ma douleur,
A ton bras fièrement,
Je guiderais tes pas,
Quoi que j'en pense ou dise,
Dans le recueillement d'une paisible église,
Pour aller te donner à l'homme de ton choix,
Qui te dévétira du nom qui est le notre,
Pour t'en donner un autre que tu ne connais pas,
Je sais qu'un jour viendra,
Tu atteindras cet âge,
Ou l'on force les cages,
Ayant trouvé sa voie,
Je sais qu'un jour viendra,
L'âge t'auras fleurie,
Et l'aube de ta vie,
Ailleurs, se lèvera.
Et seul, avec ta mère,
Le jour comme la nuit,
L'été comme l'hiver,
Nous aurons un peu froid.
Et lui qui ne sait rien du mal qu'on s'est donné,
Lui, qui n'aura rien fait pour murrir tes années,
Lui qui viendra voler,
Ce dont j'ai le plus peur,
Notre part de passé,
Notre part de bonheur.
Cet étranger sans nom, sans visage,
Oh combien je le hais,
Et pourtant,
S'il doit de rendre heureuse,
Je n'aurais envers lui nulle pensée haineuse,
Mais je lui offrirais mon coeur avec ta main,
Je ferais tout cela, en sachant que tu l'aimes,
Simplement car je t'aime le jour,
Ou il viendra .
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martedì 9 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO JE T'AIMAIS TANT
Nous n'avions pas un sou en poche
Mais nous étions riche d'aimer
Aimer pour aimer
Sans arrière-pensées
Plus ou moins moches
Nous étions livrés à nous-mêmes
Rien ne comptait que notre amour
Et jour après jour
On se posait toujours
Qu'un seul problème
Est-ce que tu m'aimes
Je t'aimais tant mon amour
Je t'aimais tant mon amour
Je t'aimais tant, tant
Tant, tant, tant
Mon amour
Par l'amour, par l'alcool, par force
Nous arrachions la vie au temps
Vivant tant et tant
Qu'on oubliait souvent
Nos joies de gosses
Nous avions les yeux de l'enfance
Et des rêves aux creux de nos mains
Et rien jamais rien
Ne nous étonnait moins
Que l'imprudence
Que l'imprudence
Je t'aimais tant mon amour
Je t'aimais tant mon amour
Je t'aimais tant, tant
Tant, tant, tant
Mon amour
La folie, la furie, la rage
Ont saccagé notre bonheur
Douleur, ma douleur
Tu as laissé ton coeur
Dans cet orage
Car l'amour a claqué la porte
Me laissant seul plein de regrets
Jamais, plus jamais
Je vous reverrai
Mes amours mortes
Que tout emporte
Je t'aimais tant mon amour
Je t'aimais tant mon amour
Je t'aimais tant, tant
Tant, tant, tant
Mon amour
Mais nous étions riche d'aimer
Aimer pour aimer
Sans arrière-pensées
Plus ou moins moches
Nous étions livrés à nous-mêmes
Rien ne comptait que notre amour
Et jour après jour
On se posait toujours
Qu'un seul problème
Est-ce que tu m'aimes
Je t'aimais tant mon amour
Je t'aimais tant mon amour
Je t'aimais tant, tant
Tant, tant, tant
Mon amour
Par l'amour, par l'alcool, par force
Nous arrachions la vie au temps
Vivant tant et tant
Qu'on oubliait souvent
Nos joies de gosses
Nous avions les yeux de l'enfance
Et des rêves aux creux de nos mains
Et rien jamais rien
Ne nous étonnait moins
Que l'imprudence
Que l'imprudence
Je t'aimais tant mon amour
Je t'aimais tant mon amour
Je t'aimais tant, tant
Tant, tant, tant
Mon amour
La folie, la furie, la rage
Ont saccagé notre bonheur
Douleur, ma douleur
Tu as laissé ton coeur
Dans cet orage
Car l'amour a claqué la porte
Me laissant seul plein de regrets
Jamais, plus jamais
Je vous reverrai
Mes amours mortes
Que tout emporte
Je t'aimais tant mon amour
Je t'aimais tant mon amour
Je t'aimais tant, tant
Tant, tant, tant
Mon amour
lunedì 8 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO QUE C'EST TRISTE VENISE
Que c'est triste Venise,
Au temps des amours mortes,
Que c'est triste Venise,
Quand on ne s'aime plus,
On cherche encore des mots,
Mais l'ennui les emporte,
On voudrait bien pleurer,
Mais on ne le peut plus,
Que c'est triste Venise,
Lorsque les barcarolles,
Ne viennent souligner que des silences creux,
Et que le coeur se serre,
En voyant les gondoles,
Abriter le bonheur de couples amoureux.
Que c'est triste Venise,
Au temps des amours mortes,
Que c'est triste Venise,
Quand on ne s'aime plus,
OLes musées, les églises,
Ouvrent en vain leur portes,
Inutiles beautées devant nos yeux déçus,
Que c'est triste,
Le soir sur la Lagune,
Quand on cherche une main,
Que l'on ne vous tend pas,
Et que l'ironise,
Devant le clair de lune,
Pour tenter d'oublier,
Ce qu'on ne se dit pas.
Adieu, tous les pigeons,
Qui nous ont fait escorte,
Adieu pont des soupirs,
Adieu rêves perdus,
C'est trop triste Venise,
Au temps des amours mortes,
C'est trop triste Venise,
Quand on ne s'aime plus.
Au temps des amours mortes,
Que c'est triste Venise,
Quand on ne s'aime plus,
On cherche encore des mots,
Mais l'ennui les emporte,
On voudrait bien pleurer,
Mais on ne le peut plus,
Que c'est triste Venise,
Lorsque les barcarolles,
Ne viennent souligner que des silences creux,
Et que le coeur se serre,
En voyant les gondoles,
Abriter le bonheur de couples amoureux.
Que c'est triste Venise,
Au temps des amours mortes,
Que c'est triste Venise,
Quand on ne s'aime plus,
OLes musées, les églises,
Ouvrent en vain leur portes,
Inutiles beautées devant nos yeux déçus,
Que c'est triste,
Le soir sur la Lagune,
Quand on cherche une main,
Que l'on ne vous tend pas,
Et que l'ironise,
Devant le clair de lune,
Pour tenter d'oublier,
Ce qu'on ne se dit pas.
Adieu, tous les pigeons,
Qui nous ont fait escorte,
Adieu pont des soupirs,
Adieu rêves perdus,
C'est trop triste Venise,
Au temps des amours mortes,
C'est trop triste Venise,
Quand on ne s'aime plus.
domenica 7 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO LIBERTÉ
Liberté, liberté,
Qu'as-tu fait liberté
De ceux là qui voulaient te défendre
Les voilà tes amis
Ils étaient trop petits
Et déjà le bourreau va les pendre
Ils aimaient bien leurs enfants
Ils aimaient bien leurs parents
Et pas qu'un peu le vin rouge et l'amour
Mais quelque chose manquait
Qu'ils ne pouvaient expliquer
Et c'était toi liberté des beaux jours
Avec une rose au chapeau
Bien plus jolie qu'un drapeau
Droit devant eux un jour s'en sont allés
Mais ils n'ont pas fait quatre pas
Que les sergents étaient là
Qui les tenaient au bout des pistolets
N'as-tu pas de visage, liberté:
L'un joyeux l'autre grave?
Liberté, liberté,
Qu'as-tu fait liberté
De ceux-là qui t'ont crue sur parole
Ils ne t'ont jamais vu
Ils ne te verront plus
Liberté fameux rêve des hommes
Ils ne rêvaient que de toi
Ils ne vivaient que par toi
Et c'est pour toi qu'ils prieront dans le ciel
Rien n'a changé dans leur coeur
Ils n'ont pas froid, n'ont pas peur
C'est toujours toi liberté leur soleil
Et quand on les a condamnés
Ils ont salué sans pleurer
Et l'un l'autre ils se sont embrassés
Ils ont crié: "Vive le roi,
Vive la reine et la loi,
Mais vive aussi, vive la liberté"
Qu'as-tu fait liberté
De ceux là qui voulaient te défendre
Les voilà tes amis
Ils étaient trop petits
Et déjà le bourreau va les pendre
Ils aimaient bien leurs enfants
Ils aimaient bien leurs parents
Et pas qu'un peu le vin rouge et l'amour
Mais quelque chose manquait
Qu'ils ne pouvaient expliquer
Et c'était toi liberté des beaux jours
Avec une rose au chapeau
Bien plus jolie qu'un drapeau
Droit devant eux un jour s'en sont allés
Mais ils n'ont pas fait quatre pas
Que les sergents étaient là
Qui les tenaient au bout des pistolets
N'as-tu pas de visage, liberté:
L'un joyeux l'autre grave?
Liberté, liberté,
Qu'as-tu fait liberté
De ceux-là qui t'ont crue sur parole
Ils ne t'ont jamais vu
Ils ne te verront plus
Liberté fameux rêve des hommes
Ils ne rêvaient que de toi
Ils ne vivaient que par toi
Et c'est pour toi qu'ils prieront dans le ciel
Rien n'a changé dans leur coeur
Ils n'ont pas froid, n'ont pas peur
C'est toujours toi liberté leur soleil
Et quand on les a condamnés
Ils ont salué sans pleurer
Et l'un l'autre ils se sont embrassés
Ils ont crié: "Vive le roi,
Vive la reine et la loi,
Mais vive aussi, vive la liberté"
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sabato 6 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO A TOUT JAMAIS
Quand nous aurons fermé les yeux
À tout jamais, à tout jamais
À l'instant du dernier adieu
J'en aurai encore du regret
J'en aurai encore du remords
Et partirai avec ma peine
Et pour peu que je me souvienne
Ce mal n'en sera que plus fort
Car nous avons fermé nos coeurs
À tout jamais, à tout jamais
Pour remplacer tant de bonheur
Par du chagrin et des regrets
Lorsque les siècles bout à bout
À tout jamais, à tout jamais
Aurons mis le passé sur nous
Et que l'oubli sera complet
S'il reste encore une lueur
S'il reste encore un rien de flamme
Sous la cendre tiède de l'âme
Qui paraît-il jamais ne meurt
Pour trouver le calme infini
À tout jamais, à tout jamais
Tout comme au temps de notre vie
Mon amour je te chercherai
T'appellerai
Te trouverai
Te garderai
À tout jamais
À tout jamais, à tout jamais
À l'instant du dernier adieu
J'en aurai encore du regret
J'en aurai encore du remords
Et partirai avec ma peine
Et pour peu que je me souvienne
Ce mal n'en sera que plus fort
Car nous avons fermé nos coeurs
À tout jamais, à tout jamais
Pour remplacer tant de bonheur
Par du chagrin et des regrets
Lorsque les siècles bout à bout
À tout jamais, à tout jamais
Aurons mis le passé sur nous
Et que l'oubli sera complet
S'il reste encore une lueur
S'il reste encore un rien de flamme
Sous la cendre tiède de l'âme
Qui paraît-il jamais ne meurt
Pour trouver le calme infini
À tout jamais, à tout jamais
Tout comme au temps de notre vie
Mon amour je te chercherai
T'appellerai
Te trouverai
Te garderai
À tout jamais
venerdì 5 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO HEUREUX AVEC DES RIENS
Le samedi quand on a oublié l'heure
Que le métro a cessé son va-et-vient
Sans nous presser en marchant vers ta demeure
On est heureux avec des riens
Chaque dix pas, sous une porte cochère
On se blottit et nos deux corps n'en font qu'un
Loin du regard malicieux des réverbères
On est heureux avec des riens
Le jour qui cherche à se lever
Nous dit "Allez
Reprenez votre chemin "
On obéit juste un instant
Evidemment
Pour s'arrêter un peu plus loin
Notre parcours est semé de fantaisie
De rires clairs s'élançant vers le matin
Rien ne nous sert de nous compliquer la vie
On est heureux avec des riens
Nous jouons à nos rencontrer
Et pour flirter
C'est occasion rêvée
Pour ce, j'appelle à mon secours
Les mots d'amour
Que j'avais dit le premier jour
Mais lentement nous arrivons de la sorte
Dans ton quartier, dans ta rue et c'est la fin
Faut ce qu'il faut quelques pas et c'est ta porte
Ta main se crispe dans ma main
Nous restons là frissonnant de tout notre être
Quelques instants que l'on vole au lendemain
Puis regardons tristement vers ta fenêtre
Où ta maman veille sans fin
On se donne un dernier baiser
Et puis ca y est
Jusqu'à samedi prochain
Une voix dit en mon coeur lourd
Encore huit jours
Pour être heureux avec des riens
Mais quand j'aurai trouvé un meublé
Pour te garder
J'irai demander ta main
Et avec une augmentation
De mon patron
Nous serons heureux
Heureux avec des riens.
Que le métro a cessé son va-et-vient
Sans nous presser en marchant vers ta demeure
On est heureux avec des riens
Chaque dix pas, sous une porte cochère
On se blottit et nos deux corps n'en font qu'un
Loin du regard malicieux des réverbères
On est heureux avec des riens
Le jour qui cherche à se lever
Nous dit "Allez
Reprenez votre chemin "
On obéit juste un instant
Evidemment
Pour s'arrêter un peu plus loin
Notre parcours est semé de fantaisie
De rires clairs s'élançant vers le matin
Rien ne nous sert de nous compliquer la vie
On est heureux avec des riens
Nous jouons à nos rencontrer
Et pour flirter
C'est occasion rêvée
Pour ce, j'appelle à mon secours
Les mots d'amour
Que j'avais dit le premier jour
Mais lentement nous arrivons de la sorte
Dans ton quartier, dans ta rue et c'est la fin
Faut ce qu'il faut quelques pas et c'est ta porte
Ta main se crispe dans ma main
Nous restons là frissonnant de tout notre être
Quelques instants que l'on vole au lendemain
Puis regardons tristement vers ta fenêtre
Où ta maman veille sans fin
On se donne un dernier baiser
Et puis ca y est
Jusqu'à samedi prochain
Une voix dit en mon coeur lourd
Encore huit jours
Pour être heureux avec des riens
Mais quand j'aurai trouvé un meublé
Pour te garder
J'irai demander ta main
Et avec une augmentation
De mon patron
Nous serons heureux
Heureux avec des riens.
giovedì 4 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO UNE ENFANT
Une enfant, une enfant de seize ans
Une enfant du printemps
Couchée sur le chemin...
Elle vivait dans un de ces quartiers
Où tout le monde est riche à crever
Elle avait quitté ses parents
Pour suivre un garçon, un bohème
Qui savait si bien dire "je t'aime"
Ça en devenait bouleversant
Et leurs deux coeurs ensoleillés
Partirent sans laisser d'adresse
Emportant juste leur jeunesse
Et la douceur de leur péché
Une enfant, une enfant de seize ans
Une enfant du printemps
Couchée sur le chemin...
Leurs coeurs n'avaient pas de saisons
Et ne voulaient pas de prison
Tous deux vivaient au jour le jour
Ne restant jamais à la même place
Leurs coeurs avaient besoin d'espace
Pour contenir un tel amour
Son présent comme son futur
C'était cet amour magnifique
Qui la berçait comme d'un cantique
Et perdait ses yeux dans l'azur
Une enfant, une enfant de seize ans
Une enfant du printemps
Couchée sur le chemin...
Mais son amour était trop grand
Trop grand pour l'âme d'une enfant
Elle ne vivait que par son coeur
Et son coeur se faisait un monde
Mais Dieu n'accepte pas les mondes
Dont il n'est pas le Créateur
L'amour étant leur seul festin
Il la quitta pour quelques miettes
Alors sa vie battit en retraite
Et puis l'enfant connut la faim
Une enfant, une enfant de seize ans
Une enfant du printemps
Couchée sur le chemin
...morte!...
Ahaaa...
Une enfant du printemps
Couchée sur le chemin...
Elle vivait dans un de ces quartiers
Où tout le monde est riche à crever
Elle avait quitté ses parents
Pour suivre un garçon, un bohème
Qui savait si bien dire "je t'aime"
Ça en devenait bouleversant
Et leurs deux coeurs ensoleillés
Partirent sans laisser d'adresse
Emportant juste leur jeunesse
Et la douceur de leur péché
Une enfant, une enfant de seize ans
Une enfant du printemps
Couchée sur le chemin...
Leurs coeurs n'avaient pas de saisons
Et ne voulaient pas de prison
Tous deux vivaient au jour le jour
Ne restant jamais à la même place
Leurs coeurs avaient besoin d'espace
Pour contenir un tel amour
Son présent comme son futur
C'était cet amour magnifique
Qui la berçait comme d'un cantique
Et perdait ses yeux dans l'azur
Une enfant, une enfant de seize ans
Une enfant du printemps
Couchée sur le chemin...
Mais son amour était trop grand
Trop grand pour l'âme d'une enfant
Elle ne vivait que par son coeur
Et son coeur se faisait un monde
Mais Dieu n'accepte pas les mondes
Dont il n'est pas le Créateur
L'amour étant leur seul festin
Il la quitta pour quelques miettes
Alors sa vie battit en retraite
Et puis l'enfant connut la faim
Une enfant, une enfant de seize ans
Une enfant du printemps
Couchée sur le chemin
...morte!...
Ahaaa...
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mercoledì 3 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO A T'REGARDER
Tout le jour tu es loin de moi
Mais lorsque tombe la nuit
Que tu viens dormir prés de moi
J'oublie toute ma vie
Quand se ferment sur notre amour
Les portes de ton sommeil
En moi que de tourments s'éveillent
À te regarder
J'ai le coeur qui soupire
Je voudrais crier, sangloter ou bien rire
À te regarder
Je sens comme une angoisse
Si tu savais ce que tu tiens de place
À te regarder
J'ai le coeur qui chavire
Et mes pensées
Me font mal, me déchirent
Si tu devais rêver à quelqu'un d'autre
Et partager ces joies qui sont les nôtres
À te regarder
Quand la peur me domine
Pour arracher ce cri de ma poitrine
Je veux t'éveiller, te voir devenir blême
Et m'effondrer en te criant: "Je t'aime"
Mais lorsque tombe la nuit
Que tu viens dormir prés de moi
J'oublie toute ma vie
Quand se ferment sur notre amour
Les portes de ton sommeil
En moi que de tourments s'éveillent
À te regarder
J'ai le coeur qui soupire
Je voudrais crier, sangloter ou bien rire
À te regarder
Je sens comme une angoisse
Si tu savais ce que tu tiens de place
À te regarder
J'ai le coeur qui chavire
Et mes pensées
Me font mal, me déchirent
Si tu devais rêver à quelqu'un d'autre
Et partager ces joies qui sont les nôtres
À te regarder
Quand la peur me domine
Pour arracher ce cri de ma poitrine
Je veux t'éveiller, te voir devenir blême
Et m'effondrer en te criant: "Je t'aime"
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martedì 2 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO AU PRINTEMPS TU REVIENDRAS
Le soleil a déserté notre village
Et la neige est venue recouvrir nos toits
Toi tu es partie pour suivre un vagabond volage
Mon amour au printemps tu reviendras
Tu avais pourtant cousu ta robe blanche
Jour et nuit filait l'aiguille entre tes doigts
Elle attend ton corps comme j'attends mon jour de chance
Mon amour au printemps tu reviendras
La la la la la la la la la la la la la
La la la la la la la la la la la la la
Je t'attends il n'y a que toi dans mon âme
Priant Dieu car je suis sûr qu'il m'entendra
Je ne pleure plus j'ai déjà tant versé de larmes
Mon amour au printemps tu reviendras
Tu viendras là où les souvenirs t'appellent
Tu viendras lorsque l'autre te quittera
Pour chercher l'oubli contre mon coeur toujours fidèle
Mon amour au printemps tu reviendras
La la la la la la la la la la la la la
La la la la la la la la la la la la la
Je saurai changer ta vie parce que je t'aime
Je réchaufferai ton coeur qui aura froid
Puis l'oubli viendra et nous serons heureux quand même
Mon amour au printemps tu reviendras
Mais si tu ne devais plus franchir la porte
Je le sais mon coeur je ne survivrais pas
Et l'été prochain je veux qu'en terre l'on me porte
Mon amour si au printemps tu ne viens pas
Je me mêlerai aux cendres de nos amours mortes
Mais au printemps je sais que tu reviendras
La la la la la la la la la la la la la
La la la la la la la la la la la la la
Mon amour au printemps tu reviendras
Et la neige est venue recouvrir nos toits
Toi tu es partie pour suivre un vagabond volage
Mon amour au printemps tu reviendras
Tu avais pourtant cousu ta robe blanche
Jour et nuit filait l'aiguille entre tes doigts
Elle attend ton corps comme j'attends mon jour de chance
Mon amour au printemps tu reviendras
La la la la la la la la la la la la la
La la la la la la la la la la la la la
Je t'attends il n'y a que toi dans mon âme
Priant Dieu car je suis sûr qu'il m'entendra
Je ne pleure plus j'ai déjà tant versé de larmes
Mon amour au printemps tu reviendras
Tu viendras là où les souvenirs t'appellent
Tu viendras lorsque l'autre te quittera
Pour chercher l'oubli contre mon coeur toujours fidèle
Mon amour au printemps tu reviendras
La la la la la la la la la la la la la
La la la la la la la la la la la la la
Je saurai changer ta vie parce que je t'aime
Je réchaufferai ton coeur qui aura froid
Puis l'oubli viendra et nous serons heureux quand même
Mon amour au printemps tu reviendras
Mais si tu ne devais plus franchir la porte
Je le sais mon coeur je ne survivrais pas
Et l'été prochain je veux qu'en terre l'on me porte
Mon amour si au printemps tu ne viens pas
Je me mêlerai aux cendres de nos amours mortes
Mais au printemps je sais que tu reviendras
La la la la la la la la la la la la la
La la la la la la la la la la la la la
Mon amour au printemps tu reviendras
lunedì 1 febbraio 2010
BIGLIETTI CHARLES AZNAVOUR, TESTO C'EST FINI
Je ne peux détacher
Mes yeux de ton visage
Et ne peux m'empêcher
De penser à demain
Qui s'annonce déjà
Comme un mauvais orage
Qui lavera nos rires
A l'eau de mon chagrin
J'ai le coeur déchiré
Et j'ai mal de comprendre
Que les mots que tu dis
Veulent tous dire adieu
Je regarde sans voir
J'écoute sans entendre
Le chagrin me surprend
Debout silencieux
Je rêve de passé
Quand le présent t'emporte
Qu'il ne me reste plus
Qu'à te serrer la main
Je voudrais la garder
Mais nos amours sont mortes
A deux pas de mon coeur
Tu es déjà si loin
C'est fini fini fini fini fini fini fini
Se peut-il qu'un bonheur
Qui tenait tant de place
Et donnait tant de joie
Disparaisse à jamais
Effaçant de ta vie
Même jusqu'à la trace
Du moindre souvenir
Que l'amour nous a fait
Je ne sais comment faire
Et je ne sais que dire
Je veux paraître fort
Une dernière fois
Les larmes au coin des yeux
Je me force à sourire
D'un sourire forcé
Qui ne te trompe pas
Trop lâche pour mourir
Bien qu'effrayé de vivre
Je compte sur l'oubli
Pour trouver le repos
Il faudra m'habituer
Dans les années à suivre
A des jours sans ta voix
A des nuits sans ta peau
C'est fini fini fini fini fini fini fini...
Mes yeux de ton visage
Et ne peux m'empêcher
De penser à demain
Qui s'annonce déjà
Comme un mauvais orage
Qui lavera nos rires
A l'eau de mon chagrin
J'ai le coeur déchiré
Et j'ai mal de comprendre
Que les mots que tu dis
Veulent tous dire adieu
Je regarde sans voir
J'écoute sans entendre
Le chagrin me surprend
Debout silencieux
Je rêve de passé
Quand le présent t'emporte
Qu'il ne me reste plus
Qu'à te serrer la main
Je voudrais la garder
Mais nos amours sont mortes
A deux pas de mon coeur
Tu es déjà si loin
C'est fini fini fini fini fini fini fini
Se peut-il qu'un bonheur
Qui tenait tant de place
Et donnait tant de joie
Disparaisse à jamais
Effaçant de ta vie
Même jusqu'à la trace
Du moindre souvenir
Que l'amour nous a fait
Je ne sais comment faire
Et je ne sais que dire
Je veux paraître fort
Une dernière fois
Les larmes au coin des yeux
Je me force à sourire
D'un sourire forcé
Qui ne te trompe pas
Trop lâche pour mourir
Bien qu'effrayé de vivre
Je compte sur l'oubli
Pour trouver le repos
Il faudra m'habituer
Dans les années à suivre
A des jours sans ta voix
A des nuits sans ta peau
C'est fini fini fini fini fini fini fini...
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